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Des probiotiques pour vaincre les allergies saisonnières

Des chercheurs néerlandais ont découvert que certains probiotiques pourraient combattre les allergies saisonnières causées par le pollen des plantes.
 
En fait, ce sont les probiotiques avec la bactérie Lactobacillus qui sont efficaces, selon les tests cliniques effectués auprès de 62 personnes pendant deux ans. Ces participants avaient une rhinite allergique liée au pollen du bouleau.
 
Cinq souches de probiotiques ont été testées et quatre se sont montrées efficaces, abaissant le taux d’immunoglobulines E, qui sont responsables des crises d’allergie.
 
Les patients ont reçu un yogourt avec une des cinq souches ou un yogourt inactif ne contenant aucune bactérie.
 
Selon le Clinical and Experimental Allergy, les chercheurs ont non seulement identifié les souches efficaces, mais ils connaissent les doses nécessaires pour avoir des résultats. Cela ouvre la voie à des traitements possibles à base de probiotiques pour les allergies saisonnières.
 
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Les formules de lait hypoallergénique pour bébé sont inefficaces

Les parents peuvent cesser de se préoccuper à propos des formules hypoallergéniques de lait pour bébés. En effet, une étude menée par des chercheurs de Melbourne fait la lumière sur l’absence des bienfaits reliés à ce type de lait.

Selon news.smh.com.au, plus de 600 bébés provenant de familles avec un historique de diverses allergies ont été suivis dans le cadre de la recherche. Certains étaient nourris avec du lait de vache, d’autre avec du lait de soya, et enfin, le groupe restant consommait différentes formules de lait hypoallergénique. Ces dernières, en principe, aident à prévenir les allergies telles que l’eczéma, l’asthme et les rhinites allergiques.

Des tests d’allergie ont été effectués sur chaque enfant suivi à 6, 12 et 24 mois. Par la suite, les enfants prenant part à l’étude ont été revus à l’âge de 6 ou 7 ans. Les résultats sont probants. Formule hypoallergénique ou non, les enfants présentaient les mêmes risques d’exposition aux allergies communes.

Adrian Low, qui a chapeauté la recherche à l’Institut pour enfants de Murdoch, peut désormais affirmer que la publicité et les croyances entourant l’utilisation des formules de lait spécifiques de la prévention des allergies sont erronées. Au contraire, il affirme qu’une fois de plus, c’est le lait maternel qui est le plus bénéfique pour les nourrissons et qui représente la meilleure garantie pour prévenir le développement ultérieur d’allergies.

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Un lait maternisé ne peut prévenir les allergies

On lit dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology que les laits maternisés dits sans danger pour les bébés à risque d’allergies alimentaires ne le seraient pas, en fait. C’est ce que vient de démontrer une récente étude du Royal Children’s Hospital de Melbourne en Australie.

Au total, cette étude a porté sur 620 enfants considérés comme étant très à risque de devenir allergiques.

Des bébés à qui l’on a donné une telle formule, après la fin de l’allaitement, étaient tout aussi fragiles quant au développement d’une allergie que d’autres poupons nourris d’un lait maternisé habituel ou de soya.

On ne recommande donc pas l’usage de ces formules comme moyen de prévention des allergies alimentaires à la suite de l’allaitement, pour les enfants qui présentent des risques importants d’une telle sensibilité.

Il demeure finalement que le lait maternel comporte des bénéfices nutritionnels et pour la santé en général que les formules pour bébé ne peuvent égaliser.

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Les allergies réduisent la qualité de vie

Une étude irlandaise a levé le voile sur des répercussions peu discutées des allergies alimentaires chez les enfants, lisons-nous sur Medical News Today. Il semble que les peurs des parents se transposent souvent chez l’enfant et peuvent avoir des conséquences importantes.

Après que l’on ait questionné 250 personnes vivant dans différents endroits du monde, on a remarqué que l’anxiété liée à la nourriture était très présente chez les jeunes allergiques. Les enfants sont très souvent réticents à essayer de nouveaux aliments, de peur d’une réaction.
 
Parallèlement, une étude italienne a pour sa part relevé que 75 % des enfants allergiques étaient réticents à essayer de nouveaux aliments. La même proportion d’enfants trouvent aussi que leur alimentation est monotone, ce qui est logique dans ce cas.
 
Presque le même nombre de parents avouent être peu confiants quant à l’étiquetage et avoir peur que leur enfant goûte à de nouveaux aliments. Et puisque peu de restaurants offrent des options aux personnes atteintes d’allergies, les sorties familiales sont réduites.

Tristement, il semble que près du cinquième des jeunes allergiques ne participe pas aux fêtes en raison de leur condition. Grand nombre de ces enfants sont finalement plus anxieux que les autres et se sentent différents.

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Les animaux domestiques sont bons pour les bébés

Selon une étude de l’Hôpital Henry Ford de Détroit parue dans Clinical & Experimental Allergy, les animaux domestiques aideraient les jeunes enfants à se protéger des allergies.

Pour tirer cette conclusion, les chercheurs ont suivi 566 participants nés en 1987 et 1989. Des relevés sanguins ont été pris, puis une enquête quant à l’historique des animaux domestiques de la maison a été réalisée 18 ans plus tard.
 
Il semble donc qu’un bébé étant en contact chez lui avec un chat durant sa première année de vie a près de la moitié moins de risques de développer une allergie à cet animal. Un phénomène semblable a été remarqué pour le chien.
 
Les garçons de l’étude qui avaient vécu avec un chien durant la même période étaient moins enclins que les autres à en être allergiques à l’âge de 18 ans.

Si l’on peut affirmer, en regard de cette recherche, que l’exposition à un animal domestique n’augmente pas les risques d’allergies, on peut aussi constater encore une fois que les expériences vécues en début de vie ont une influence sur l’état de santé futur.

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Les allergies sont prévisibles avant la naissance

Selon une étude de l’Université de Marbourg, en Allemagne, la santé de la future mère peut avoir un impact sur les allergies du bébé à naître.

Ainsi, comme nous l’apprenons sur Medical News Today, plusieurs facteurs de risque peuvent aussi s’appliquer durant la grossesse, non pas seulement durant la vie entamée d’un enfant.
 
Par exemple, si l’on reprend l’idée déjà connue de l’immunité contre l’asthme en fonction d’un milieu de vie rural, il semble que cette protection soit déjà en route avant la naissance.
 
De la même façon, un environnement stérile pourrait augmenter les risques d’allergies, tant lors de la grossesse que durant l’enfance. L’exposition de la future mère aux microbes jouerait donc un rôle important quant à la réponse immune.
 
On suggère aussi que les probiotiques peuvent prévenir ces problèmes de santé dès le moment de la grossesse.
 
L’augmentation des cas des dernières années porte finalement le problème sur les facteurs environnementaux. En effet, l’environnement demeure, tant durant la grossesse qu’après la naissance de l’enfant, un facteur prédominant de l’apparition des allergies.

On a remarqué certaines répercussions de l’exposition au pollen et à des allergènes provenant de la pollution quant à l’augmentation du nombre d’enfants allergiques.

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À propos du lait de vache et des noix avant six mois

On conseille généralement aux parents de ne pas donner de lait de vache ou de noix aux très jeunes enfants, souhaitant ainsi prévenir certaines allergies. Or, selon une récente étude néerlandaise, bannir des aliments ne constituerait pas une prévention en tant que telle.

Des chercheurs de l’Université Erasmus à Rotterdam ont évalué les symptômes d’asthme et d’eczéma chez 7 000 enfants, et ce, jusqu’à ce que ces derniers aient atteint l’âge de 4 ans.
 
Après avoir isolé certaines variables, ils ont pu admettre qu’aucun lien notable n’a pu être établi entre la consommation de certains aliments jugés à risque et le développement de l’asthme ou de l’eczéma.
 
Cela corrobore les résultats de quelques précédentes recherches. On croit de plus en plus qu’il ne serait pas nécessaire d’éviter des aliments potentiellement allergiques chez de jeunes enfants qui se portent bien.
 
On pense donc remettre sérieusement en question les recommandations actuelles quant à l’attente d’intégration de certains aliments dans le menu des bébés, même s’ils sont âgés de moins de six mois.

Les résultats complets de cette nouvelle investigation sont parus dernièrement dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

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Les personnes asthmatiques souffrent plus d’allergies alimentaires

Le Journal of Allergy and Clinical Immunology dévoile une nouvelle étude sur un lien possible entre l’asthme et les allergies alimentaires. Effectivement, on dénote plus d’allergies chez les personnes qui souffrent d’asthme.
 
Une analyse sanguine a été faite auprès de 8 023 personnes âgées de 1 à 60 ans afin de déceler des allergies aux arachides, au lait, aux œufs et aux crevettes.
 
Les données sont probantes, les personnes asthmatiques ont deux fois plus de chances de souffrir d’allergies à ces aliments, surtout si leur asthme est sévère. Les enfants et les hommes sont également les plus touchés par les allergies alimentaires, comparativement aux femmes.
 
De plus, il n’est pas surprenant d’apprendre que l’allergie la plus fréquente est celle aux arachides qui, au fil des ans, connaît une croissance un peu inquiétante.
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Mon enfant a-t-il un rhume ou des allergies?

Puisque leurs symptômes se ressemblent, le rhume et les allergies saisonnières sont difficiles à reconnaître. Pour s’y retrouver, on peut déceler quelques signes donnés par une spécialiste de la Loyola University en Illinois, Hannah Chow.

Comme l’a expliqué Dre Chow à Medical News Today, l’ultime différence entre un rhume et des allergies est l’apparition de fièvre. En effet, la fièvre accompagne un virus, non pas une réaction allergique.

De plus, si l’écoulement nasal et la toux sont des symptômes se retrouvant chez l’un et l’autre, certains indices peuvent guider les parents.
 
Par exemple, pour reconnaître les allergies, on doit faire l’observation des yeux et du nez qui piquent. Les yeux rougissent souvent, à cause de l’irritation. De plus, si la toux peut être présente, elle n’est jamais prédominante.
 
Quant au rhume, il ne cause pas d’irritation entraînant le picotement des yeux, bien qu’ils puissent rougir pendant la maladie. La toux y est très présente. Finalement, le rhume est contagieux, alors que les allergies ne le sont pas.

En conclusion, Dre Chow soutient que la meilleure façon de prévenir ou de limiter les symptômes des allergies est encore d’éviter le plus possible l’exposition aux facteurs allergènes.

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Le choc anaphylactique mieux compris

Jusqu’ici, on croyait que les chocs anaphylactiques étaient causés par le fait que des anticorps peu nombreux activaient des cellules rares qui libéraient de puissants médiateurs chimiques en quelques minutes.
 
Toutefois, des chercheurs français de l’Institut Pasteur ont découvert que ce sont plutôt les anticorps présents en plus grand nombre dans le sang, les IgG, et les globules blancs qui jouent un rôle important dans le déclenchement d’un choc anaphylactique.  
Ce genre de choc est provoqué par une réaction allergique aiguë et très sévère. L’anaphylaxie cause un état de choc et peut même entraîner la mort en seulement quelques minutes, rappelle le Journal of Clinical Investigation.
 
Cette forte réaction est notamment causée par des médicaments, des aliments ou encore par le venin d’insectes.
 
Les chercheurs sont donc parvenus à faire la lumière sur le phénomène grâce à un modèle animal. Si les résultats se confirment chez l’humain, cela permettrait de créer de nouvelles thérapies pour mieux contrôler l’anaphylaxie.