Difficile lorsque l’on a un physique de gros dur d’assumer ses faiblesses, pourtant, Étienne Boulay n’a pas hésité à le faire en janvier dernier.
À ce moment-là il avait publiquement annoncé devoir aller une seconde fois en thérapie pour s’occuper un peu de lui même et exorciser certains de ses démons intérieurs.
Pour la première fois, hier 6 mars, l’ex-joueur des Alouettes s’est exprimé au micro de l’émission Puisqu’il faut se lever menée par Paul Arcand sur les ondes de 98,5 FM.
À l’antenne, Boulay revient sur son année 2016 qui a été très chargée professionnellement.
« Ça a été travail, travail, famille, famille et moi je me suis oublié là dedans », explique-t-il en ajoutant que «ce qui devait arriver arriva, l’élastique s’est étiré ».
C’est à ce moment-là que le sportif a senti la brèche se rouvrir : « dans ce processus-là tranquillement je me suis rouvert la porte et je me suis dit peut-être que je suis capable de prendre un verre ici, là, et que je suis capable de faire certains trucs, visiblement c’était une très mauvaise idée », raconte-t-il.
Après avoir passé un mois en thérapie, Étienne Boulay semble aller mieux, bien mieux.
« C’est probablement la meilleure décision que j’ai prise, aujourd’hui je suis bien, je me sens d’attaque », ajoute le québécois de 33 ans.
Désormais, Étienne Boulay peut profiter sereinement de la famille recomposée qu’il forme depuis plusieurs années avec Maïka Desnoyers.
Les deux ont accueilli leur premier enfant ensemble, Anna, en 2014.
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