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Des anticorps spécifiques pour protéger les connexions des neurones contre la maladie d’Alzheimer

Une équipe de l’University College London a découvert que des anticorps spécifiques pouvaient freiner la maladie d’Alzheimer sur des souris. 

Les travaux publiés dans le Journal of Neuroscience expliquent que ces anticorps bloquent le processus de désintégration des synapses qui sont confrontées à la protéine B-amyloïde.
 
Dans la maladie d’Alzheimer, on note un dépôt anormal de la protéine B-amyloïde dans le cerveau, ce qui endommage les connexions entre les neurones, les synapses, causant ainsi le déclin des facultés cérébrales.
 
Les anticorps spécifiques freinent la protéine liée nommée DKK1, ce qui ralentit les effets toxiques de la protéine B-amyloïde.
 
« Ces nouveaux résultats soulèvent l’hypothèse que cibler cette protéine DKK1 pourrait offrir un traitement efficace pour protéger les synapses de l’effet toxique des B-amyloïdes, mentionne le Dr Patricia Salinas. Malgré des avancées significatives dans la compréhension des mécanismes moléculaires impliqués dans la maladie d’Alzheimer, aucun traitement efficace n’est disponible en ce moment pour arrêter la progression de cette maladie dévastatrice. »
 
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Nouvel espoir contre la maladie d’Alzheimer

L’Aricept est déjà utilisé pour traiter des formes modérées de démence comme la maladie d’Alzheimer. Mais les chercheurs viennent de découvrir avec surprise que ce médicament peut aussi freiner la maladie à un stade plus avancé. 

Selon le New England Journal of Medicine, les patients qui continuent de prendre l’Aricept connaissent un déclin cognitif beaucoup moins important que ceux qui ont pris un placebo. On note aussi de meilleurs résultats de mémorisation, d’orientation et d’expression orale.
 
«Les effets bénéfiques constatés en poursuivant un traitement avec l’Aricept ont été cliniquement importants et supérieurs à ce qui avait été observé chez des patients atteints d’une forme moins aiguë d’Alzheimer», expliquent les médecins.
 
Le principal auteur des travaux, le professeur Robert Howard du King’s College London ajoute : «Alors que les malades avancent vers des formes plus graves d’Alzheimer, les médecins sont confrontés à la décision difficile de continuer à les traiter avec l’Aricept car jusqu’à présent il y avait peu d’indications cliniques pour les guider. Maintenant, pour la première fois, nous disposons d’indications solides et irréfutables que ce médicament aide les patients à des stades plus avancés et graves de cette maladie. »
 
Rappelons que selon les données de l’Organisation mondiale de la santé, la maladie d’Alzheimer touche 18 millions de personnes.
 
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Un nouveau marqueur de la maladie d’Alzheimer a été découvert

Un nouveau marqueur impliqué dans la maladie d’Alzheimer a été découvert, permettant de prévoir la vitesse du déclin cognitif dans les années qui suivent le diagnostic de la maladie. 

L’étude parue dans la revue Neurology indique qu’un taux élevé de la protéine VILIP-1 dans le liquide céphalorachidien, aux premiers stades de la maladie, indiquerait un déclin cognitif beaucoup plus rapide.
 
« VILIP-1 paraît être un très bon indicateur des dommages subis par les cellules cérébrales résultant de la maladie d’Alzheimer », mentionne la Dre Rawan Tarawneh.
 
En fait, la protéine agit comme un capteur du calcium dans les cellules cérébrales. Elle est libérée dans le liquide cérébrospinal lorsque les cellules du cerveau sont affectées.
 
Ces résultats obtenus sur 60 patients doivent être confirmés par des recherches plus approfondies et à plus grande échelle.
 
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Les anesthésies répétées causent des problèmes de mémoire

Les premiers travaux publiés dans la revue Anesthesiology démontrent que les anesthésies répétées déclenchent le même processus que la maladie d’Alzheimer chez des souris, causant donc des problèmes de mémoire irréversibles.
 
Après une anesthésie générale, il est normal que la personne ait des troubles cognitifs d’orientation spatiale ou temporelle dans les heures ou les jours qui suivent la chirurgie. Habituellement, ces troubles sont rapidement réversibles.
 
Cependant, après plusieurs anesthésies générales, les séquelles seraient permanentes, selon ce qui a été observé sur les souris. Le sévoflurane, l’agent anesthésiant couramment utilisé, finirait par modifier la protéine Tau impliquée dans la dégénérescence des neurones.
 
Maintenant, les scientifiques feront des études plus approfondies sur l’humain afin de confirmer ces résultats.
 
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Un vaccin prometteur contre la maladie d’Alzheimer

Des chercheurs français ont testé un vaccin expérimental sur des souris et celui-ci semble les protéger de la démence de type Alzheimer.
 
Nous savons que cette maladie neurodégénérative est notamment causée par l’accumulation de la protéine Tau dans le cerveau, ce qui détruit les neurones.
 
Cette protéine est naturellement présente dans le cerveau, mais les mécanismes qui modifient sa structure demeurent encore flous.
 
Le vaccin administré à des souris transgéniques stimulait leur système immunitaire contre les ravages de la protéine Tau.
 
« En sélectionnant une séquence présente uniquement sur la forme pathologique de Tau, nous voulions absolument épargner les protéines saines. Certains essais de vaccination dirigés contre la protéine Tau en général ont en effet conduit à des catastrophes chez la souris », mentionne le chercheur Luc Buée au Current Alzheimer Research.
 
Le vaccin donné à un stade précoce de la maladie sur les souris permettait à ces dernières de conserver une bonne mémoire à court terme.
 
Ceci fait donc naître un nouvel espoir, bien que de nombreuses recherches sur le sujet doivent maintenant être approfondies.

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Des changements d’alimentation pour prévenir l’Alzheimer

Une équipe de l’Oregon Health & Science University confirme les bienfaits des oméga-3, que l’on retrouve dans les poissons gras et les suppléments, sur le cerveau.
 
En effet, les personnes âgées qui avaient un haut niveau d’oméga-3 ont obtenu de meilleurs résultats à des tests de mémoire.
 
Des imageries du cerveau ont également confirmé que les oméga-3 et les vitamines D, B, C et E étaient liés à un volume cérébral plus important.
 
Il est donc encourageant de constater qu’avec un ajustement de son alimentation, il est possible de freiner le rétrécissement du cerveau qui caractérise le déclin cognitif.
 
Par contre, les chercheurs ont aussi observé que les personnes avec un niveau élevé de gras trans dans le sang ont obtenu de moins bons résultats aux tests de mémoire et elles avaient moins de tissus cérébraux. Peu d’études avaient lié le gras trans avec le déclin cognitif jusqu’à présent.
 
Il n’existe encore aucun moyen fiable de prévenir la maladie d’Alzheimer et les autres démences, mais certains facteurs peuvent aider à prévenir ou ralentir leur progression, comme avoir une alimentation équilibrée, faire de l’exercice régulièrement, maintenir une bonne santé, ne pas fumer et contrôler sa pression sanguine et son niveau de cholestérol.
 
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Un test sanguin pour prédire l’Alzheimer

Avec la population vieillissante et le nombre de cas d’Alzheimer en augmentation, les recherches sont nombreuses pour trouver un moyen de contrer la maladie, mais également pour effectuer des diagnostics beaucoup plus précoces.
 
Une petite étude publiée dans le Translational Psychiatry démontre qu’un simple test sanguin pourrait éventuellement prédire la maladie, avant même que les premiers troubles de mémoire apparaissent.
 
Certaines cellules sanguines pourraient être utilisées pour distinguer les personnes qui en sont aux premiers stades de la démence.
 
Des chercheurs finlandais ont fait des tests sur 143 personnes avec une déficience cognitive légère, 37 personnes avec l’Alzheimer et 46 personnes en santé.
 
Après 31 mois, 52 personnes qui avaient des troubles légers ont développé la maladie d’Alzheimer. Toutes affichaient un changement dans la composition chimique de leur sang, ce qui pourrait être le signe des changements qui s’opèrent dans le cerveau.
 
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Un nouveau moyen pour détecter les premiers signes d’Alzheimer

Des chercheurs allemands mettent au point un tout nouveau test qui permettra de détecter la maladie d’Alzheimer à un stade précoce.
 
Jusqu’à maintenant, seule une numérisation du cerveau, pour mesurer les changements dans celui-ci, peut réellement détecter l’Alzheimer et les autres formes de démence.
 
Avec un aérosol nasal qui détecterait une protéine néfaste liée à la démence, on pourrait établir un diagnostic beaucoup plus tôt et plus simplement. De quoi améliorer aussi les traitements pour ralentir la progression de la maladie.
 
Les symptômes comme une confusion, une mauvaise mémoire, des sautes d’humeur et des problèmes d’élocution observés chez les patients qui souffrent d’Alzheimer sont également retrouvés dans les cas d’autres maladies. Les médecins doivent donc procéder à la numérisation du cerveau pour réellement détecter la maladie d’Alzheimer.
 
Le Daily Mail rapporte que la muqueuse nasale peut montrer que la protéine tau est endommagée, ce qui conduit à la mort des cellules du cerveau.
 
La protéine tau est aussi présente dans les yeux, mais des tests à cet organe sont beaucoup plus inconfortables.
 
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La consommation de somnifères augmente le risque d’Alzheimer

Des recherches réalisées par le Département d’épidémiologie de l’Université de Bordeaux, en France, et dévoilées ce mois-ci dans la revue Sciences et Avenir, démontrent qu’il y a bien une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer.

Le professeur Bernard Bégaud, pharmaco-épidémiologiste à l’Université de Bordeaux, explique : « Pour les anxiolytiques, la durée du traitement excède souvent les douze semaines. Or, c’est la chronicité de la consommation de ces psychotropes qui est mise en cause dans cette étude. »

Avant que la maladie d’Alzheimer ne soit diagnostiquée, les patients présentent souvent des troubles du sommeil, de l’anxiété, voire de la dépression. Les médecins leurs prescrivent donc régulièrement des d’anxiolytiques et des somnifères.

En comparant les consommateurs et non-consommateurs de benzodiazépines, les chercheurs bordelais ont alors mis en évidence le lien entre la prise chronique (pour une période allant de deux ans à plus de dix ans) de ces psychotropes et le risque d’Alzheimer. La majoration du risque fait un bond de 20 à 50 %.

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Des épices antivieillissement

MedicMagic mentionne qu’il existe un moyen simple de contrer le vieillissement. En effet, vous pouvez simplement opter pour l’ajout d’épices à vos plats.

C’est le cas par exemple de l’ail, reconnu pour être efficace contre les virus et les bactéries. De plus, il réduit le mauvais cholestérol et la pression artérielle. On ajoute que l’ail aide à ralentir le déclin de la mémoire.

Le Ginkgo, quant à lui, augmente le flux sanguin vers le cerveau, ce qui aide les gens atteints de démence et de la maladie d’Alzheimer.

Autre épice de choix, le ginseng, qui améliore l’élasticité de la peau et le renforcement musculaire. De plus, il améliore le système digestif et éveille le désir sexuel. 

La menthe poivrée, pour sa part, aide à une meilleure digestion et possède de nombreux antioxydants qui aident à prévenir le cancer, les maladies cardiaques et les maladies liées au vieillissement.

Finalement, le curcuma devrait aussi avoir sa place dans votre armoire, lui qui aide à réduire la douleur et l’inflammation dues au vieillissement. Il est également reconnu pour ses bienfaits contre l’Alzheimer.