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Le diagnostic précoce de la démence est primordial

D’après le rapport annuel de l’organisme Alzheimer’s Disease International, 75 % des 36 millions de personnes atteintes de démence n’ont pas reçu de diagnostic et n’ont aucun traitement, ce qui pourrait pourtant améliorer grandement leur qualité de vie.
 
On dénonce le fait que la démence est bien souvent perçue comme un processus normal du vieillissement, mais ce n’est pas le cas. Cette façon de voir les choses retarde donc le diagnostic précoce.
 
Dépister rapidement la démence permet de traiter la personne par des médicaments et un suivi psychologique. Cela améliore la mémoire et permet de conserver plus longtemps son indépendance et sa qualité de vie.
 
Aussi, il est plus facile de conseiller les aidants naturels qui verront leur humeur s’améliorer et leur fatigue diminuer.
 
Un diagnostic précoce retarde également l’entrée dans une résidence pour personnes âgées et permet des économies à l’État.
 
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L’alcool peut protéger de la démence

Une nouvelle étude révèle que de boire de l’alcool de façon modérée protègerait contre la démence, surtout pour les personnes âgées.
 
Les buveurs sociaux auraient jusqu’à 23 % moins de risques de développer la maladie d’Alzheimer et d’autres formes de démence, rapporte le Neuropsychiatric Disease and Treatment.
 
Boire modérément équivaudrait à un ou deux verres par jour, alors que de 3 à 5 verres seraient considérés comme un abus. Selon les recherches menées sur 365 000 personnes, l’abus accroit les risques de démence.
 
Le vin serait aussi plus bénéfique que la bière, et ce, peu importe que vous soyez une femme ou un homme. Les résultats sont les mêmes.
 
On recommande même aux personnes qui ne boivent pas du tout de commencer à le faire un peu afin de réduire les risques de maladies plus tard.
 
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Manger les pépins de raisins pour la mémoire

Habituellement, lorsqu’on mange des raisins, on se débarrasse des pépins. Pourtant, on devrait plutôt les garder.
 
Selon une étude parue dans le Medical News Today, l’extrait des pépins de raisins serait bon pour la mémoire des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
 
L’extrait polyphénolique des pépins contient des composés utiles pour restaurer la mémoire des personnes âgées, en plus de pouvoir améliorer les capacités cognitives et logiques.
 
Ce sont en fait les polyphénols, que l’on retrouve dans la chair du raisin, mais aussi dans les graines, qui jouent ce rôle important, selon la découverte des chercheurs de l’École de médecine Mount Sinai.
 
Il s’agit là de résultats plutôt prometteurs qui peuvent ouvrir la voie à d’éventuels traitements à base de pépins de raisins pour restaurer la mémoire des personnes malades.
 
L’Alzheimer est la forme la plus courante de démence et se caractérise principalement par des pertes de mémoire de plus en plus grandes.
 
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Nouvelle vertu pour le café

Une nouvelle étude de l’Université de South Florida suggère qu’une composante inconnue du café protègerait contre la maladie de l’Alzheimer.

Les chercheurs viennent de publier les résultats de leur recherche dans le Journal of Alzheimer’s Disease.

Réalisées sur des souris, les recherches ont trouvé qu’un élément du café interagissait afin d’augmenter la pression sanguine, un facteur important du combat de la maladie de l’Alzheimer.

Grâce à ces recherches, pour la première fois, des évidences démontrent que le café offre une certaine protection contre les problèmes de mémoire. Ces évidences ne se retrouvent pas dans les autres boissons caféinées ou le café décaféiné.

Les prochains défis des chercheurs sont d’identifier quelle est cette composante du café. D’ici là, ils croient que la consommation modérée de café jumelée à de l’exercice physique régulier et à des exercices mentaux pourrait réduire les risques de développer l’Alzheimer ou du moins, ralentir sa progression.

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Un test sanguin pour diagnostiquer la maladie d’Alzheimer

Un nouveau test pour diagnostiquer la maladie d’Alzheimer pourrait bientôt être offert sur le marché.
 
Jusqu’ici, il n’existait aucun outil permettant de déceler de façon définitive la maladie d’Alzheimer. Toutefois, grâce à une équipe québécoise, cela serait maintenant possible.
 
En effet, des chercheurs du Centre universitaire de santé McGill ont créé un test sanguin qui permet le diagnostic précoce de la maladie.
 
Ce test est basé sur le processus biochimique. Il permet non seulement de déceler la maladie très tôt, mais aussi de la différencier des autres types de démences.
 
Il existe une hormone spécifique dans le cerveau qui permet ce diagnostic. Chez les personnes qui n’ont pas la maladie d’Alzheimer, les chercheurs ont réussi à en augmenter la production, mais l’oxydation du sang n’a pas permis d’augmenter cette hormone chez celles qui étaient atteintes de la maladie.
 
Les résultats de cette recherche, menée en collaboration avec une équipe de l’Université de la Californie à San Diego, ont été publiés dans le Journal of Alzheimer’s Disease.
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Le lithium pour ralentir la maladie d’Alzheimer

Le lithium est utilisé depuis longtemps, notamment pour combattre la dépression, mais il serait aussi utile contre la maladie d’Alzheimer.
 
Le British Journal of Psychiatry rapporte qu’un essai clinique a été effectué sur 41 personnes de plus de 60 ans avec une légère déficience cognitive, qui mène souvent à l’Alzheimer.
 
On a ainsi démontré qu’il y a eu 50 % moins de déclin chez les personnes qui prenaient 150 mg de lithium par jour, comparativement aux autres qui prenaient un placebo.
 
Tous les participants de l’étude ont connu un déclin de leurs capacités cognitives, mais celui-ci était beaucoup moins prononcé chez ceux ayant reçu le lithium. Cela suggère donc que le médicament offrirait une protection et permettrait de ralentir la progression de la maladie.
 
Bien que les résultats soient encourageants, il est encore trop tôt pour donner une conclusion définitive. De plus grands essais cliniques sont nécessaires, mais cela requiert également plus d’investissements dans les recherches sur la maladie d’Alzheimer.
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Une courte marche suffit pour prévenir la maladie d’Alzheimer

Nous savions que l’exercice physique était bon non seulement pour la santé globale, mais aussi pour celle du cerveau. Toutefois, on ignorait pourquoi exactement.
 
Cette fois, on croit que c’est en raison du fait que l’exercice augmente la circulation du sang vers le cerveau, ce qui permettrait de « nettoyer » l’organe des matières qui peuvent entraîner la maladie d’Alzheimer.
 
Le Telelgraph rapporte que des chercheurs de l’Institute for Exercise and Envrionmental Medicine du Texas Health Presbyterian Hospital à Dallas se sont penchés sur la question et ont constaté que l’exercice contribue effectivement à prévenir la maladie dégénérative du cerveau.
 
« D’abord, le sang apporte l’oxygène, le glucose et les autres nutriments essentiels à la bonne santé du cerveau. Deuxièmement, le sang lave le cerveau des déchets métaboliques tels que la protéine bêta-amyloïde libérée dans les vaisseaux sanguins et impliquée dans le développement de la maladie d’Alzheimer », expliquent les chercheurs.
 
Des femmes âgées de 60 ans et plus qui marchaient trois à quatre fois par semaine, à raison de 30 à 50 minutes chaque fois, ont participé à cette recherche. Même avec cet exercice modéré, les résultats étaient bons.
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Soigner l’Alzheimer avec des somnifères?

Selon The Telegraph, une entreprise de recherche du Royaume-Uni, CPS Research, dirigera de prochains essais cliniques quant à un médicament comprenant de la mélatonine. Cette hormone du sommeil pourrait réduire les symptômes de démence.

Toute personne ayant reçu un diagnostic d’Alzheimer et qui reçoit déjà un traitement pourrait faire partie de cette recherche.
 
Le Melatonine in Alzheimer’s Disease Project espère ainsi trouver 50 patients pour mener à bien la recherche. Le projet sera d’une durée de six mois.
 
Rappelons que la principale cause de la démence est la maladie d’Alzheimer, mais d’autres conditions affectant le cerveau pourraient aussi en être la source.
 
La mélatonine est habituellement employée pour traiter les problèmes de sommeil. Elle est reconnue pour ne pas avoir d’effets secondaires. Dans le présent projet de recherche, on administrera un médicament portant le nom de Circadin.

On espère, en diminuant les symptômes de patients atteints de démence, améliorer leur qualité de vie ainsi que celle de leur famille.

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Des exercices de mémoire peuvent ralentir l’Alzheimer

Il semble que certains exercices pour entraîner la mémoire pourraient donner l’espoir aux personnes susceptibles de développer la maladie d’Alzheimer de retarder l’apparition des premiers symptômes.
 
Ceci serait possible grâce à la plasticité du cerveau. On croyait que le cerveau la perdait avec le temps. Or, des travaux d’une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal démontrent le contraire, selon les observations faites sur 30 personnes.
 
« Il est possible de mettre en branle des processus compensatoires et qui sont visibles avec l’imagerie fonctionnelle », explique la neuropsychologue Sylvie Belleville.
 
Ce programme d’une dizaine d’heures donnerait des résultats pour le moins surprenants. Pour l’instant, il est encore trop tôt pour déterminer pendant combien de temps les symptômes de la maladie peuvent être retardés.
 
De plus, il faut également faire attention aux différents programmes informatiques pour la mémoire vendus sur le marché. « Cela ne veut cependant pas dire que tous les programmes sur le marché peuvent avoir le même effet », explique la Dre Belleville au Brain: Journal of Neurology.
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Un vent d’espoir pour la maladie d’Alzheimer

La recherche pour la maladie d’Alzheimer et autres pathologies neurologiques fait face à un grand obstacle chaque fois. Aucun médicament n’a pu être administré directement dans le cerveau, car aucun n’a pu traverser la barrière hématocéphalique qui protège le cerveau contre les toxines.
 
Un vent d’espoir vient toutefois de se lever grâce à des chercheurs de l’Université d’Oxford. Selon le Nature Biotechnology, ils sont parvenus à franchir cette barrière en administrant de minuscules particules dégagées naturellement par les cellules. On les appelle les exosomes.
 
Injectées dans le sang, elles ont franchi la barrière de protection chez des souris. C’est donc la toute première fois qu’un médicament a pu être administré directement dans le cerveau et éteindre le gène lié à la maladie d’Alzheimer.
 
Plusieurs mesures de sécurité devront être prises et de nombreuses autres recherches seront faites avant de tester cette méthode sur l’humain. Si les résultats sont aussi prometteurs, cela permettrait de traiter des maladies comme l’Alzheimer, le Parkinson ou la dystrophie musculaire.