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Des impulsions électriques pour traiter l’Alzheimer

Les personnes qui ont reçu un diagnostic de la maladie d’Alzheimer à un stade précoce pourraient bénéficier d’une méthode pour améliorer leur mémoire, rapportent les Annals of Neurology.

 

Le Dr Andres M. Lozano et son équipe du Toronto Western Hospital mentionnent que la technique présentement utilisée pour la maladie de Parkinson, pourrait être la clé pour l’Alzheimer, également. Cette technique est sans danger et a recours à des implants installés dans le cortex.

Ensuite, des impulsions électriques stimulent le cerveau. Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, le Dr. Lozano mentionne que cela stimulerait les neurones et réparerait les cellules endommagées.

L’expérience a été tentée sur six patients : deux ont vu leur état s’améliorer, deux n’ont pas observé de changement et dans deux cas, l’état des patients s’est détérioré. C’est tout de même plus de la moitié qui a vu une amélioration ou une détérioration moins importante que prévu.

On souhaite maintenant faire le test sur une cinquantaine de patients afin de confirmer les résultats.

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De longues études préservent de la maladie d’Alzheimer

La revue américaine Brain révèle que toutes les capacités intellectuelles que l’on développe avant l’âge de 25 ans nous permettent de conserver nos fonctions cognitives en vieillissant.
 
Selon l’étude d’une équipe de l’Université de Cambridge, des chercheurs américains et finlandais ont observé 832 personnes âgées. On note que les lésions cérébrales (souvent typique de la maladie d’Alzheimer) vont apparaître tôt ou tard. Cela est inévitable, peu importe le niveau d’études complété.
 
Toutefois, on observe que les personnes qui ont fait de longues études n’ont pas souffert de l’Alzheimer de leur vivant, comparativement à celles qui ont eu une courte scolarité. Plus les études sont longues et plus il y aurait un contrôle sur l’apparition des lésions cérébrales.
 
Toutefois, cela est surtout significatif avec les capacités acquises avant l’âge de 25 ans. La profession, elle, joue un moindre rôle dans l’apparition de la maladie.
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Une grosse tête protège contre l’Alzheimer

Avoir une grosse tête pourrait offrir une protection contre la maladie d’Alzheimer, selon ce qu’avancent des chercheurs allemands dans le magazine Neurology.
 
Après avoir étudié 270 patients atteints de la maladie d’Alzheimer, on a constaté que ceux ayant une circonférence de tête plus grande avaient plus de mémoire et étaient plus en mesure de raisonner correctement.
 
Pour évaluer l’ampleur de la maladie chez les patients, on les a soumis à des tests de mémoire et de capacités cognitives ainsi qu’à des scanneurs cérébraux. On a ensuite mesuré la circonférence de leur crâne.
 
Ceux ayant une plus grosse tête ont obtenu de meilleurs résultats, même s’ils avaient une perte neuronale semblable aux autres.
 
Pour chaque pourcentage de neurones perdus, un gain de 1 cm de circonférence à la tête augmentait les résultats de 6 %.
 
On croit qu’une plus grosse tête équivaut à un plus gros cerveau, donc plus de réserves en neurones pour compenser les pertes.
 
La taille du crâne peut être influencée par le mode de vie, surtout durant les premières années de vie, car déjà à 6 ans, le cerveau a atteint 93 % de sa taille finale. Une malnutrition ou une maladie infantile peut en affecter le développement.
 
« Améliorer les conditions de vie prénatale et au cours des premières années de vie pourrait augmenter de manière significative la réserve cérébrale et avoir ainsi un impact sur le risque de développer la maladie d’Alzheimer ou sur la sévérité des symptômes de la maladie », déclare le Dr Robert Perneczky.
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Prévention de l’Alzheimer

D’après le Daily Mail, on diminuerait nos chances de faire de l’Alzheimer un jour en buvant du thé ou du café, en mangeant des noix, en faisant de l’exercice sur une base régulière et en prenant un peu de soleil, selon des scientifiques de l’Université de la Californie.

Ce sont donc diverses manières de lutter contre les futures pertes de mémoire et de garder l’Alzheimer au loin.

Comme la population devient de plus en plus âgée à travers le monde, le nombre de personnes aux prises avec l’Alzheimer devrait considérablement augmenter au cours des prochaines années.

Boire une tasse de thé ou de café aide passablement à se protéger contre cette maladie. En fait, cela réduirait même les pertes de mémoire de 40 %, selon une recherche présentée à l’International Conference on Alzheimer Disease à Hawaï.

Des scientifiques estiment que les personnes de plus de 65 ans qui boivent du thé régulièrement font preuve, s’il y a lieu, de moins de signes de démence que celles qui n’en boivent pas autant.

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Une prise de sang pour détecter l’Alzheimer

C’est au tour de la maladie d’Alzheimer de pouvoir être bientôt détectée par un simple test sanguin.

Des chercheurs britanniques, dirigés par le professeur Madhav Thambisetty du King’s College de Londres, mentionnent que la prise de sang pourrait diagnostiquer la maladie jusqu’à 10 ans avant que les premiers signes n’apparaissent.

En fait, il se trouve qu’une forte concentration de la protéine clusterine dans le sang serait un signe annonciateur que la maladie pourrait se déclencher.

Selon les Archives of General Psychiatry, ce diagnostic précoce permettrait de traiter les patients beaucoup plus tôt et ainsi diminuer les effets dévastateurs de la maladie.

Rappelons qu’en mars dernier, des chercheurs de l’Université Laval avaient mis au point une technique par résonnance magnétique qui permettait de détecter la maladie d’Alzheimer dès les premiers signes.

Au Canada, on estime à 620 000 personnes atteintes et d’ici une génération, ce nombre doublera.

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La dépression augmente les risques de démence

La dépression pourrait augmenter considérablement les risques de développer certains types de démences plus tard, dont la maladie d’Alzheimer.

Une nouvelle étude parue dans la revue Neurology renforce donc l’hypothèse d’un lien entre la dépression et la démence. Les scientifiques ne s’expliquent toutefois pas le phénomène. Par contre, on croit que l’inflammation du cerveau qui se produit lors d’une dépression peut jouer un rôle, de même que certaines protéines présentent dans le cerveau, ainsi que le style de vie de la personne.

La présente recherche a été réalisée sur 1 000 personnes qui ne souffraient pas de démence au début de l’étude. Cent vingt-cinq ont été classées comme dépressives. Après 17 ans de recherches, 164 personnes souffraient de démence, dont 136 avaient l’Alzheimer. De ces malades, 22 % avaient été classés comme dépressifs au début, comparativement à 16,6 % chez ceux qui ne présentaient pas de symptômes de dépression.

Des études plus approfondies sont maintenant nécessaires pour confirmer les résultats.

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Le jus de pomme améliore l’humeur des personnes ayant l’Alzheimer

Des chercheurs américains de l’Université Massachusetts-Lowell ont découvert que le jus de pomme améliorait l’humeur des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, rapporte l’American Journal of Alzheimer’s Disease & Other Dementias
 
Après avoir fait des tests sur 21 personnes hospitalisées, atteintes de la maladie à des niveaux modérés et sévères, on a constaté que deux verres de 120 ml de jus de pomme par jour réduisaient de 27 % les symptômes comportementaux et psychotiques qui sont associés à la démence.
 
Ceci améliore non seulement le quotidien des patients, mais aussi celui des personnes qui en prennent soin, réduisant leur charge de travail et la rendant plus facile également.
 
Les changements les plus importants ont été observés au niveau de l’anxiété des personnes malades, de l’agitation et des délires.
 
Selon Ruth Remington, professeure associée des soins infirmiers de l’université et ses collègues, le jus de pomme devrait être considéré comme un complément intéressant qui agit directement sur la baisse de moral qui accompagne la maladie d’Alzheimer.
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Aucun moyen de prévenir ou de ralentir l’Alzheimer

Un comité d’experts des National Institutes of Health aux États-Unis a été chargé de faire le point en ce qui concerne la prévention de la maladie d’Alzheimer, mais aussi des troubles cognitifs liés au vieillissement.
 
Selon eux, il n’existe aucune preuve scientifique valable pour recommander certaines méthodes contre les pathologies.
 
Aucun médicament, aucun supplément ou changement de mode de vie ne peut prévenir l’apparition de l’Alzheimer ou en ralentir la progression.
 
Les médicaments inhibiteurs de la cholinestérase utilisés pour ralentir la maladie ne peuvent la prévenir. Même chose pour les antihypertenseurs ou les hormones de remplacement.
 
L’espoir se pose dorénavant sur de présentes recherches sur l’efficacité des antidépresseurs, des oméga-3 et de l’activité physique et intellectuelle. Il semblerait toutefois que ce ne soit pas très encourageant pour le moment. Le comité mentionne que les effets ne sont que très modestes jusqu’à maintenant.
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L’obésité influencée par la taille du cerveau

Il semblerait que l’obésité ait un lien avec un cerveau de moindre volume, selon des chercheurs de la faculté de médecine de l’Université de Boston.
 
De plus, selon leurs observations, l’obésité augmenterait le risque de développer de la démence, comme l’Alzheimer.
 
733 personnes, dont la moyenne d’âge était de 60 ans, ont participé à cette étude. Les chercheurs ont mesuré leur indice de masse corporelle (IMC), leur graisse abdominale et le volume de leur cerveau grâce à l’imagerie par résonnance magnétique (IRM). De plus, on a observé la densité des plaques dans leur cerveau, qui caractérisent souvent les maladies comme l’Alzheimer.
 
« Nos résultats confirment la relation entre l’accroissement de l’IMC et la réduction du volume du cerveau, chez les sujets les plus âgés et d’âge moyen, observée précédemment dans un groupe de moins de 300 sujets. Encore plus important, ces données montrent un lien plus fort entre l’obésité, particulièrement l’excès de graisse se trouvant dans les viscères, et un risque accru de démence et de maladie d’Alzheimer », mentionne le Dr Sudha Seshadri.
 
Ces découvertes pourraient donc conduire à de nouvelles stratégies de prévention. Selon les données de 2005 de l’Organisation mondiale de la santé, 4,6 millions de nouveaux cas de démence sont enregistrés chaque année dans le monde.
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Les maladies neurodégénératives auraient toutes un point en commun

Des chercheurs américains et français viennent de découvrir que les maladies neurodégénératives auraient toutes un point un commun, soit la structure de leurs protéines.
 
Ce type de maladies comme le Parkinson ou l’Alzheimer se caractérise par le dépôt de protéines qui s’accumulent dans les tissus du cerveau et causent des dommages irréversibles.
 
En ce moment, on tente d’obtenir en 3D la structure atomique de ces dépôts afin d’en comprendre le mécanisme.
 
Toutefois, avec cette découverte d’un point commun entre les maladies neurodégénératives, on espère avoir une meilleure compréhension des maladies, mais surtout pouvoir mieux diagnostiquer les risques de développer la maladie.
 
On souhaite également que cela mène à la création de nouveaux médicaments qui permettraient notamment de freiner la formation des dépôts dans les tissus.