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Nouveaux essais cliniques pour un vaccin contre l’Alzheimer

Un vaccin contre l’Alzheimer continue son processus de développement en Europe. On entre maintenant en deuxième phase des essais cliniques et le vaccin sera testé sur 420 personnes atteintes de la maladie.
En phase 1, il y a cinq mois, le vaccin a été jugé sécuritaire et bien toléré.
 
Le vaccin appelé AD02 a été créé en Autriche par la compagnie Affisis, mais sa licence appartient à GlaxoSmithKline.
 
Les premiers résultats devraient être connus en 2012.
 
L’AD02 combat la formation de plaques au cerveau, ce qui bloque les signaux nerveux. C’est ce qui est à l’origine de la maladie dégénérative. Le vaccin doit permettre la production d’anticorps qui s’attaquent à la protéine qui provoque la formation des plaques.
 
Rappelons que ce n’est pas la première fois que l’on tente de faire approuver un vaccin contre l’Alzheimer. En 2001, des tests avaient été interrompus aux États-Unis et en Europe en raison de graves effets secondaires d’un premier vaccin. Puis, en 2005, c’était au tour de la Suède de tenter l’expérience, en vain.
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Des combinaisons alimentaires pour prévenir l’Alzheimer

Une recherche menée à la Faculté de médecine de l’Université Columbia à New York affirme qu’une combinaison de poissons, de fruits, de légumes, d’un peu de viandes rouges et de produits laitiers pourrait diminuer les risques de développer la maladie d’Alzheimer.
 
2 148 personnes de 65 ans ont été suivies pendant quatre ans. Aucune ne souffrait de démence au début de l’étude. Elles ont dû répondre à un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires et ont été évaluées tous les 18 mois.
 
Au cours de la recherche, 253 personnes ont développé la maladie d’Alzheimer.
 
Les chercheurs ont découvert que les combinaisons alimentaires pouvaient offrir une protection contre la maladie, rapportent les Archives of Neurology.
 
Mis à part les poissons et les fruits, l’huile d’olive, les noix, les tomates, le poulet, les légumes comme les épinards et ceux de couleurs sombres abaissaient aussi le risque d’Alzheimer, en plus d’une faible consommation de produits laitiers, de beurre et de viandes rouges.
 
Certains nutriments comme les vitamines B12 et E, l’acide folique et les acides gras oméga-3 et 6 sont les meilleurs contre la maladie. Par contre, les acides gras saturés augmentent les risques de souffrir de démence.
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Être heureux protègerait contre l’Alzheimer

Pour les personnes âgées, avoir un but dans la vie, se sentir encore utile, rester en contact avec ses proches et se sentir aimé diminuent les risques d’être atteint de la maladie d’Alzheimer.
 
Une étude menée sur 950 personnes en bonne santé mentale a dévoilé ce nouveau facteur non négligeable.
 
Selon TopSanté, les participants devaient répondre à des questions sur leur vie familiale, sentimentale et professionnelle. On a noté que plus les réponses aux questions étaient positives, plus les risques de souffrir d’une maladie neurologique étaient diminués.
 
En d’autres mots, les personnes qui sont heureuses et qui mènent une vie qui correspond à leurs désirs sont mieux protégées contre la maladie. Le bonheur jouerait donc un rôle primordial contre cette pathologie.
 
On estime qu’au Canada seulement, 290 000 personnes de plus de 65 ans souffrent de la maladie d’Alzheimer. Cette maladie dégénérative est notamment causée par des plaques séniles ou amyloïdes causant la mort des neurones du cerveau qui provoque la démence et les pertes de mémoire.
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Il est maintenant possible de détecter l’Alzheimer très tôt

Une équipe de l’Université Laval, à Québec, a mis au point un simple test de résonnance magnétique qui permet de diagnostiquer la maladie d’Alzheimer à un stade très précoce.
 
Ce test mesure les tissus du cerveau. Lorsque la personne souffre d’Alzheimer, ceux-ci s’amincissent. Les médecins peuvent donc voir la mort des neurones causée par la maladie et observent une atrophie du cerveau.
 
L’équipe, dirigée par Simon Duchesne, a obtenu de très bons résultats lors des premiers essais avec un taux de réussite de 92 %.
 
Avec ce nouvel outil, on souhaite que les dépistages précoces permettent de mieux traiter les patients et d’éviter les dommages au cerveau.
 
On estime qu’au Canada seulement, 290 000 personnes de plus de 65 ans souffrent de la maladie d’Alzheimer. Cette maladie dégénérative est notamment causée par des plaques séniles ou amyloïdes causant la mort des neurones du cerveau qui provoque la démence et les pertes de mémoire.
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Les tomates pour préserver la mémoire

TopSanté rapporte que des chercheurs français de l’INSERM viennent de découvrir que la tomate diminue les pertes de mémoire.
 
Connue pour ses vertus contre les maladies cardiovasculaires et contre certains cancers, dont celui de la prostate, la tomate aurait aussi des propriétés pour prévenir de la maladie d’Alzheimer.
 
Il semble qu’une carence en caroténoïdes serait responsable du vieillissement cérébral qui provoque les pertes de mémoire.
 
Or, la tomate est extrêmement riche en lycopène et zéaxanthine, qui sont de puissants antioxydants qui combattent le stress oxydatif. C’est ce dernier qui est le plus grand facteur de la mort des cellules du cerveau.
 
Ces antioxydants se retrouvent également dans les fruits et légumes verts, les pamplemousses et les pastèques, mais c’est sans doute la tomate qui en contient le plus.
 
Cette nouvelle découverte pourra mener à établir un régime alimentaire spécifique pour les personnes à risque de développer la maladie d’Alzheimer.
 
Rappelons également que de bonnes nuit de sommeil et l’exercice physique régulier maintiennent non seulement la bonne santé physique, mais également la santé cérébrale.
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Un traitement contre la maladie d’Alzheimer

Le professeur Étienne-Émile Baulieu et son équipe de chercheurs de l’Institut de recherche française INSERM viennent de trouver ce qui pourrait s’avérer être un traitement contre la maladie d’Alzheimer.

Depuis longtemps, on sait que la protéine tau joue un rôle dans l’apparition de certaines démences, dont l’Alzheimer. Une présence anormale de cette protéine détruit les neurones et affecte les connexions nerveuses.

La nouvelle découverte démontre que la protéine FKBP52, déjà présente dans le cerveau, peut détruire la tau et freiner son accumulation dans les cellules nerveuses, empêchant ainsi le développement de la maladie.

Les chercheurs souhaitent trouver un moyen d’accélérer son action afin de contrer la protéine tau. On espère donc trouver LA protéine anti-Alzheimer.

L’Alzheimer touche environ 280 000 Canadiens âgés de plus de 65 ans. Cette nouvelle découverte pourrait mener à des diagnostics beaucoup plus précoces, sans compter que la maladie pourrait enfin être traitée pour de bon.

Les recherches sur la maladie d’Alzheimer sont nombreuses et plusieurs spécialistes souhaitent arriver à diagnostiquer la maladie 15 à 20 ans avant qu’elle ne s’enclenche.

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Détecter l’Alzheimer 20 ans plus tôt

Le journal Alzheimer’s & Dementia rapporte que les premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer peuvent être observés chez les patients environ 20 ans avant le diagnostic.

Le Dr Barry Reisberg, directeur du programme d’éducation et de ressources sur l’Alzheimer du Centre médical Langone à l’Université de New York, a dirigé une étude menée sur 213 adultes pendant en moyenne 7 ans, mais avec un historique de données collectées sur 20 ans.

On a constaté que les personnes âgées en bonne santé qui ont des pertes de mémoire subjectives ont 4,5 fois plus de chances de développer une perte cognitive ou de la démence éventuellement.

Selon les chercheurs, les problèmes de mémoire devraient être traités comme tout autre problème de santé. Ainsi, si votre mémoire vous joue des tours, il serait préférable d’en parler à votre médecin, qui pourra effectuer quelques examens de vérification.

On estime qu’un homme sur huit et une femme sur quatre souffriront de la maladie d’Alzheimer dans leur vie. D’ici vingt ans, ce nombre pourrait doubler.

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Les ondes des cellulaires protègeraient la mémoire

Une équipe de l’université de la Floride, qui mesurait les effets des ondes électromagnétiques des téléphones portables sur le cerveau des souris, a eu toute une surprise en constatant que ces ondes avaient un effet protecteur contre la maladie d’Alzheimer et permettaient même de faire régresser la maladie.

Longtemps on a cru que les cellulaires étaient plutôt une cause de tumeur au cerveau, voilà pourquoi les résultats de cette nouvelle étude, publiée dans le Journal of Alzheimer Disease, en ont surpris plus d’un.

Les chercheurs ont soumis une centaine de souris à des ondes électromagnétiques émises par les cellulaires à raison d’une à deux heures par jour pendant sept à huit mois. Certains rongeurs avaient été génétiquement modifiés et avaient l’Alzheimer. On a constaté qu’une exposition tôt à l’âge adulte offrait une protection pour la mémoire des souris et ainsi protégeait de l’Alzheimer. De plus, les ondes avaient même rétabli le fonctionnement normal de la mémoire des souris malades et elles n’avaient développé aucun cancer.

Les chercheurs pensent maintenant que s’ils parviennent à trouver la bonne fréquence des ondes électromagnétiques, cela pourrait représenter un avancement majeur dans le traitement de la maladie.

Pendant ce temps en Italie, on a mis au point une nouvelle technique de scanneur du cerveau qui permet de détecter l’Alzheimer dès les premiers signes, même avant les pertes de mémoire.

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Cancer et Alzheimer sont incompatibles

Des chercheurs ont noté que le cancer et l’Alzheimer sont des maladies qui semblent s’éviter.

Selon le journal Neurology, une étude d’une durée de cinq ans sur 3 020 personnes de 65 ans et plus a démontré ce fait intéressant.

Les personnes atteintes d’Alzheimer avaient 64 % moins de risques de se retrouver à l’hôpital pour un cancer. L’inverse se produit également, alors que les personnes cancéreuses ont 43 % moins de chances de développer cette maladie neurodégénérative que les personnes n’ayant aucune tumeur.

Au début de cette étude, on a noté que 164 personnes avaient la maladie d’Alzheimer et que 522 avaient un cancer. Durant les cinq années du projet de recherche, on a enregistré 478 cas de démence et 376 cas de cancer.

Même si les recherches doivent être approfondies pour en arriver à confirmer les résultats, on mentionne que ce phénomène n’est pas seulement dû au fait qu’une personne ayant l’une des maladies mourrait avant de développer l’autre pathologie.

Les deux maladies présentent un dérèglement cellulaire. Pour l’Alzheimer, on note une mort excessive des cellules, alors que pour le cancer, il y a une augmentation dans le développement des cellules. On croit qu’en identifiant les liens entre les deux maladies, on arriverait à mieux comprendre chacune d’elle.

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L’Alzheimer reliée à l’appétit?

Des chercheurs viennent de découvrir un tout nouveau facteur dans le développement de la maladie d’Alzheimer et d’autres formes de démence. Il semble que le taux de leptine, cette hormone qui gère l’appétit, joue un rôle sur l’apparition de la maladie.

Selon l’équipe de l’École de médecine de l’Université de Boston, qui a publié ses résultats dans le Journal de l’Association médicale américaine, un haut niveau de leptine protègerait contre les formes de démence.

De précédentes études mentionnaient que la leptine augmentait les facultés de mémoire chez les animaux, ce qui confirme donc la présente étude. Cette hormone enclenche une série de réactions dans le système nerveux central. Elle est produite après un repas pour dire au cerveau que la personne a assez mangé.

L’étude a été menée sur des centaines de personnes âgées et on a constaté que chez celles qui avaient un bas niveau de leptine, le quart développait de l’Alzheimer. Chez les personnes ayant un taux de leptine normal, les risques de développer l’Alzheimer étaient de l’ordre de 6 %.

Cette découverte pourrait maintenant permettre de diagnostiquer la maladie grâce au taux de leptine et ainsi mener à de meilleurs traitements.