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Une molécule pleine de promesses

Une équipe de scientifiques de l’Institut Buck et du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ont découvert une molécule qui ralentirait la progression de la maladie d’Alzheimer chez les souris.

En injectant la molécule netrin-1 chez les rongeurs, les plaques amyloïdes dans le cerveau ont diminué au point de rétablir les capacités cognitives des souris.

Avec des résultats aussi encourageants, les chercheurs espèrent maintenant développer un médicament à base de netrin-1 afin de traiter éventuellement la maladie d’Alzheimer.

Tous les détails concernant cette recherche sont publiés dans la revue médicale Cell death and differentiation.

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Les résultats d’une journée consacrée à la mémoire

Dans le cadre de la Journée nationale d’évaluation de la mémoire, la Fondation d’Alzheimer pour les proches aidants au Canada (FAPAC) a fait connaître les résultats d’un sondage qui nous apprend que 65 % des participants ayant subi un dépistage étaient inquiets d’une défaillance de la mémoire.

Cette inquiétude ne les pousse toutefois pas à consulter un professionnel de la santé, alors que seulement 12 % en ont parlé à leur médecin.

Le 12 novembre dernier se tenait une journée consacrée au dépistage des troubles de la mémoire à l’échelle nationale. Près de 1 000 personnes se sont prévalues des évaluations gratuites.

Les candidats ont mentionné avoir participé à cet évènement pour plusieurs raisons, dont les oublis fréquents (46 %) dont ils souffraient ou encore, l’inquiétude d’être touché par la maladie d’Alzheimer comme l’un des membres de leur famille (21 %).

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Étude clinique pour un traitement de l’Alzheimer

Le Dr N. P. Vasavan Nair et son équipe de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas à Montréal vont effectuer des essais cliniques pour un médicament innovateur qui pourrait traiter les patients atteints, de façon modérée, de la maladie d’Alzheimer.

« La plupart des thérapies actuelles concernant l’Alzheimer traitent les symptômes qui lui sont associés, mais non la maladie en tant que telle. Notre objectif consiste à déterminer si ce médicament de recherche peut aider à contrôler la progression de l’Alzheimer », a indiqué le chercheur.

2 050 patients participeront à cette étude visant à analyser si le médicament élimine la protéine bêta-amyloïde qui cause les dommages au cerveau.

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Les vertus d’un médicament gastro-intestinal

Un médicament mis au point il y a plus de 80 ans pour le traitement de la diarrhée et d’autres troubles gastro-intestinaux, le clioquinol, aurait des vertus anti-vieillissement, selon des chercheurs de l’Université McGill à Montréal.

En agissant sur la protéine CLK-1, appelée familièrement « clock-1 », le médicament semble ralentir la progression des maladies d’Alzheimer, de Parkinson et de Huntingdon.

« Le clioquinol est un puissant inhibiteur de CLK-1. Comme la protéine CLK-1 influence la longévité chez les invertébrés et les souris et comme il s’agit de trois maladies neurodégénératives liées à l’âge, nous avons formulé l’hypothèse que le clioquinol a un effet sur celles-ci parce qu’il ralentit le processus du vieillissement », a expliqué l’auteur derrière ces résultats, le Dr Siegfried Hekimi.

Ce dernier apporte tout de même un peu de nuances sur les effets du clioquinol sur le vieillissement. « Nous ne souhaitons pas que les gens commencent à expérimenter le produit sur eux-mêmes. Le clioquinol présente un potentiel de toxicité élevé si on en fait un emploi abusif; des recherches plus poussées devront être réalisées », a-t-il conclu.

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De nouvelles statistiques concernant l’Alzheimer

Selon une récente étude menée par la Société Alzheimer du Canada, même les baby-boomers peuvent être frappées par la maladie d’Alzheimer et par d’autres formes de démence.

Environ 71 000 personnes de moins de 65 ans sont aux prises avec la maladie neurodégénérative au pays, ce qui représente 15 % des 500 000 Canadiens souffrant d’Alzheimer.

Pour le président de la société, cette statistique signifie que les réseaux de santé publics risquent d’être engorgés et de déstabiliser l’économie. À titre d’exemple, d’ici 5 ans, 250 000 personnes pourraient recevoir un diagnostic d’Alzheimer ou d’une autre forme de démence, pour atteindre 1 à 1,3 million de cas en 2040.

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La glycémie, liée à l’Alzheimer?

Selon le Dr Robert Vassar et son équipe, de l’école de médecine Feinberg, affiliée à l’Université Northwestern de Chicago, la diminution du débit sanguin dans le cerveau favorisait la formation de plaques de protéines, ce qui pourrait expliquer l’apparition de la maladie neurodégénérative d’Alzheimer.

« Ces résultats sont importants, puisque ça suppose que le flux sanguin dans le cerveau peut être une approche intéressante pour prévenir ou traiter la maladie d’Alzheimer », suggère le Dr Vassar.

Pour les besoins de l’étude, le chercheur et ses collègues ont analysé des cerveaux humains et de rongeurs pour y découvrir que la protéine elF2alpha est altérée quand le cerveau ne reçoit pas suffisamment de sang. Cette protéine est à l’origine de la formation des plaques amyloïdes.

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Un autre espoir débouté concernant la maladie d’Alzheimer

Selon une recherche publiée dans le Journal de l’association médicale américaine, les extraits de ginkgo biloba sont inefficaces pour ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer et la démence.

3 000 patients âgés de plus de 75 ans ont participé à cette étude qui a duré 6 ans. Au début des travaux, menés par des chercheurs de l’Université de Virginie, 20 % des participants souffraient de démence et ce taux est passé à une personne sur trois à la fin de l’étude.

Les 120 mg de ginkgo biloba consommés deux fois par jour n’ont eu aucun effet positif sur les symptômes de la maladie neurodégénérative. Pire encore, le produit naturel semble avoir augmenté le risque d’accident vasculaire cérébral chez les patients.

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Des tests peu concluants pour traiter l’Alzheimer

Des chercheurs de l’Université Yale et du Laboratoire Merck ont effectué des essais cliniques avec un médicament qui devait traiter la maladie d’Alzheimer. Ce traitement consistait à stimuler l’hormone IGF-1 afin de ralentir la progression de la maladie neurodégénérative.

Or, les travaux menés sur des souris n’ont mené à aucun résultat concluant, alors que des recherches précédentes démontraient que cette hormone réduisait l’accumulation de plaques séniles dans le cerveau des rongeurs.

« Ces résultats laissent penser que le ciblage de ce système hormonal ne constitue sans doute pas une approche efficace pour ralentir le rythme de progression de la maladie d’Alzheimer », a annoncé, avec un certain dépit, J. J. Sevigny du Laboratoire Merck.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans la revue scientifique Neurology.

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Test gratuit pour dépister les troubles de mémoire

Dans le cadre de la Journée nationale d’évaluation de la mémoire, qui se tiendra le 18 novembre prochain, la Fondation d’Alzheimer pour les proches aidants au Canada (FAPAC) va faire passer des tests gratuits afin d’évaluer la mémoire des participants.

Cette initiative de la FAPAC a pour but de dépister, de manière précoce, des troubles de la mémoire et de favoriser une intervention appropriée.

Les personnes qui ont des antécédents familiaux de la maladie d’Alzheimer ou qui éprouvent des problèmes de mémoire sont particulièrement ciblées par cette campagne de prévention.

L’opération se tiendra dans plus de 50 magasins Wal-Mart, 10 pharmacies London Drugs, ainsi que dans les centres d’accueil, les maisons de soins infirmiers et les cabinets de professionnels de la santé.

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Les lignes à haute tension ne sont pas sans danger

Une équipe de chercheurs suisses affirment que les personnes qui habitent à moins de 50 mètres d’une ligne à haute tension sont plus à risque d’être touchés par la maladie d’Alzheimer.

En analysant les autopsies de 9 200 personnes, décédées entre 2000 et 2005 de la maladie neurodégénérative, les scientifiques ont découvert que 20 d’entre elles avaient habité à proximité d’une ligne à haute tension. Plus le nombre d’années de voisinage augmente, plus le risque d’Alzheimer augmente, jusqu’à 100 % pour 15 ans de proximité.

Cette recherche est la première à se pencher sur les liens potentiels entre les champs électromagnétiques et la maladie d’Alzheimer. Les chercheurs de l’Université de Berne affirment que d’autres études devront corroborer ces résultats.