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Une conférence gratuite sur l’Alzheimer à Québec

Si vous souhaitez en apprendre plus sur la maladie d’Alzheimer et les maladies associées, vous êtes invité à vous joindre aux spécialistes de 18 h 15 à 19 h 20 au Hilton Québec.

La conférence est donnée dans le cadre du 2e Congrès québécois sur la maladie d’Alzheimer. Le congrès se tiendra du 5 au 7 novembre.

L’épidémiologie des démences sera abordée par la Pr Sandrine Andrieu, une épidémiologue qui vient de France.

Dans le communiqué de presse soumis par la Société d’Alzheimer de Québec, on rapporte que la maladie atteindra 115 millions de personnes mondialement d’ici 2050, soit dans 35 ans.

Le congrès vise le partage de connaissances des divers spécialistes présents, notamment en ce qui a trait aux percées et enjeux de la maladie.

En plus des 400 participants de tous les milieux de la santé, le ministre de la Santé du Québec, Dr Gaétan Barrette, sera présent.

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Attention femmes stressées, vous êtes plus à risque de démence

L’étude dont il est question a été menée sur une période de 40 ans. Elle révèle que les femmes qui sont anxieuses ou qui ont des sautes d’humeur à l’âge adulte ont plus de risque de développer des maladies neurodégénératives plus tard.

Les commentaires de Dre Lena Johannsson ont été rapportés dans la revue scientifique Neurology. « La majorité des recherches sur l’Alzheimer ont été portées sur les facteurs tels que l’éducation, le cœur et le sang, les traumatismes crâniens, la génétique et l’historique médical familial. »

Cette nouvelle étude, réalisée par la Suisse, s’est attardée sur de nouveaux facteurs. « La personnalité peut influencer les risques de démence des individus, puisqu’elle a des conséquences sur le comportement, le style de vie ou les réactions au stress. »

En tout, 800 femmes âgées en moyenne de 46 ans au début de la recherche ont été suivies pendant environ 38 ans. Elles remplissaient régulièrement des tests de mémoire et des questionnaires sur leur style de vie.

Science World Report mentionne que celles qui ont obtenu les cotes de stress les plus élevées se sont révélées deux fois plus à risque de souffrir de démence.

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Le curcuma pour éloigner le risque d’Alzheimer?

Cette épice originaire de l’Inde est reconnue depuis longtemps pour ses nombreuses vertus pour la santé. Notamment, le curcuma est anti-inflammatoire, aide à la digestion, protège contre les maladies cardiovasculaires et représente un puissant antioxydant.

Parmi les composantes de cette épice se retrouve le turmérone. Top Santé rapporte que des études ont été menées sur des rongeurs en laboratoire pour analyser l’effet du turmérone sur le cerveau.

L’injection de cette molécule aurait stimulé la croissance des cellules nerveuses. Un autre test par immersion de cellule dans un concentré de turmérone a permis la spécialisation des cellules souches du cerveau. Un résultat supposant un rôle important dans la régénération cellulaire.

« Il est possible que les cellules du cerveau puissent se réparer plus rapidement sous l’effet du curcuma », informent les scientifiques, qui sont convaincus par les résultats.

Les Indiens sont friands du curcuma. Selon legout.com, ils en consomment quotidiennement de 1 à 2 grammes. Ils connaissent d’ailleurs très bien ses vertus.

Le curcuma peut accompagner tous les plats, de la viande au poisson, en passant par le riz et même les desserts à base de fruits.

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L’Alzheimer efface la mémoire, mais pas les émotions

« Cela confirme que la vie émotionnelle d’un patient souffrant d’Alzheimer est vivante et fonctionnelle », affirme Edmarie Guzman-Vélez, un étudiant en psychologie responsable de l’étude.

Pour en arriver à cette conclusion, 17 patients atteints de la maladie dégénérative ainsi que 17 personnes en parfaite santé ont été comparés sur une base émotionnelle.

Les deux groupes ont visionné 20 minutes de films tristes ou joyeux. Ces vidéos, peu importe si la personne appartenait à un groupe ou l’autre, ont déclenché des larmes ou des rires, tel qu’attendu.

En interrogeant les participants sur ce qu’ils venaient de voir, informe Science World Report, ceux souffrant d’Alzheimer avaient bien entendu moins de souvenirs. Néanmoins, leurs émotions étaient aussi vives que celles des participants en santé, même s’ils ne se rappelaient pas pour quelle raison.

Pour Guzman-Vélez, cela constitue une preuve que « les soins prodigués par les intervenants et leurs petites attentions comptent réellement ».

L’étude se retrouve dans la revue scientifique Cognitive and Behavioral Neurology.

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L’Alzheimer efface la mémoire, mais pas les émotions

« Cela confirme que la vie émotionnelle d’un patient souffrant d’Alzheimer est vivante et fonctionnelle », affirme Edmarie Guzman-Vélez, un étudiant en psychologie responsable de l’étude.

Pour en arriver à cette conclusion, 17 patients atteints de la maladie dégénérative ainsi que 17 personnes en parfaite santé ont été comparés sur une base émotionnelle.

Les deux groupes ont visionné 20 minutes de films tristes ou joyeux. Ces vidéos, peu importe si la personne appartenait à un groupe ou l’autre, ont déclenché des larmes ou des rires, tel qu’attendu.

En interrogeant les participants sur ce qu’ils venaient de voir, informe Science World Report, ceux souffrant d’Alzheimer avaient bien entendu moins de souvenirs. Néanmoins, leurs émotions étaient aussi vives que celles des participants en santé, même s’ils ne se rappelaient pas pour quelle raison.

Pour Guzman-Vélez, cela constitue une preuve que « les soins prodigués par les intervenants et leurs petites attentions comptent réellement ».

L’étude se retrouve dans la revue scientifique Cognitive and Behavioral Neurology.

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Le temps, notre pire ennemi

Les conséquences du manque de temps sont désormais catastrophiques. Cet élément rarissime nous enlise dans le stress, l’anxiété, la frustration et l’irritabilité. Mais encore, il affecte nos relations et notre estime de soi également, puisque la performance est reliée au temps.

Selon le Figaro, des experts croient même que l’Alzheimer sera désormais conséquent de ce sentiment d’urgence qui nous rend confus et désorientés.

D’autre part, à force de remplir notre temps, chaque minute, nous fuyons la réalité vers une autre, virtuelle, des téléréalités, des médias sociaux et de la technologie. Selon des psychologues, nous vivons tellement à court terme que nous n’arrivons plus à penser à long terme.

Résultat, une problématique qui nous fait rencontrer des obstacles dont nous réalisons l’impact trop tard. Voilà pourquoi les relations sont si éphémères. Elles se passent dans le présent uniquement.

La solution? Faire des choix, c’est-à-dire renoncer à plusieurs choses, plutôt que de tenter de tout faire, puisque l’urgence, désormais, fait état d’un mal-être de plus en plus généralisé.

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Une carence d’une protéine naturelle en lien avec la démence

Les chercheurs ne cessent jamais leurs démarches pour trouver le ou les responsables de la démence, dont la forme la plus courante est la maladie de l’Alzheimer.

Récemment, les experts de l’Université de Warwick ont découvert un manque au niveau d’une protéine naturelle chez les gens atteints de démence. Il s’agit de la MK2/3, une protéine qui favorise les changements structurels et physiologiques de cellules situées dans le système nerveux.

C’est la Dre Sonia Correa, responsable de l’étude, qui a expliqué la teneur de l’étude dans un communiqué. « Comprendre les fonctions cérébrales à partir des sous-cellules jusqu’au niveau systémique est vital si nous souhaitons être en mesure de développer des méthodes pour contrecarrer les changements qui surviennent avec l’âge. »

La protéine MK2/3 est en lien direct avec les notions de communication et l’habileté du cerveau à acquérir de nouveaux souvenirs.

« La détérioration des fonctions du cerveau se produit habituellement lorsque nous sommes plus âgés, mais lorsqu’il s’agit de la démence ou d’autres maladies neurodégénératives, cela peut se produire plus tôt », explique Correa.

Les détails de la recherche peuvent être consultés dans la revue Nature Communications.

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Une prise de sang pour dénicher le cancer

Un test sanguin développé par l’Organisation japonaise des nouvelles énergies et technologies industrielles (Nedo) pourrait faire en sorte qu’à compter de 2019, 13 sortes de cancers soient dépistés, grâce à un prélèvement sanguin.

Les cancers de l’estomac, de l’œsophage, du poumon, du foie, des voies biliaires, du pancréas, du côlon, de l’ovaire, de la prostate, de la vessie et les cancers du sein sont les plus susceptibles d’être trouvés à l’aide d’une seringue.

L’équipe asiatique croit même que le test sanguin permettrait de détecter le sarcome et les tumeurs gliales (cérébrales) et découvrir de façon précoce des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer, écrit Top Santé.

Évalué à près de 80 millions de dollars canadiens, le projet scientifique tentera de découvrir des molécules « marqueurs » des cancers. Dans le corps humain, il y aurait plus de 2 500 sortes de molécules qui pourraient servir de marqueurs.

 « Cette méthode est beaucoup plus rapide que la batterie d’examens parfois lourds existant actuellement », a confié Tomomitsu Hotta président du Nedo.

En parallèle, les États-Unis et l’école de médecine de Stanford sont également sur le dossier du CAPP-Seq : un test sanguin apte à réaliser la même mission.  

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Du poisson au four ou grillé pour une meilleure santé cérébrale

Ce sont les chercheurs de l’Université de médecine de Pittsburgh qui affirment que peu importe la concentration d’oméga-3 comprise dans le poisson, c’est la régularité de sa consommation qui importe pour la santé cérébrale.

Comme le rapporte Science World Report, le Dr James T. Becker est catégorique. D’ici 2040, il estime à 80 millions le nombre de personnes recevront un diagnostic de démence. Bien entendu, les conséquences sur les familles des malades seront lourdes, mais le système de santé en souffrira aussi grandement.

La population étant vieillissante, les chercheurs encouragent donc les gens, dès qu’ils le peuvent, à inclure ces acides gras élevés en antioxydants dans leur alimentation. Les oméga-3 sont également présents en grande quantité dans les noix, les graines et certaines huiles.

Ils ne font pas que maintenir, mais améliorent la santé du cerveau et diminuent donc les risques d’Alzheimer. « Notre étude démontre que les gens qui mangent du poisson cuit ou grillé, mais pas frit ont un cerveau plus volumineux dans les régions associées à la mémoire et aux réponses cognitives. »

Les résultats ont été publiés dans la revue American Journal of Preventive Medicine.

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La dépression peut entraîner l’Alzheimer

En Angleterre, plus de 50 000 personnes quittent leur emploi chaque année pour prendre soin d’une personne atteinte de démence. Des experts se sont penchés sur cette triste réalité et ont finalement trouvé un lien entre la dépression et la déficience cognitive légère.

C’est une étude de l’Université Rush dans l’Illinois qui a réussi à prouver que la dépression et la démence sont deux maladies indépendantes l’une de l’autre, donc qui ne se développent pas à partir des mêmes problèmes sous-jacents dans le cerveau, mentionne The Telegraph.

Cependant, la démence peut être une conséquence de la dépression chez les personnes âgées. Ainsi, celles qui ont des symptômes courants, comme vivre dans la solitude et avoir une perte d’appétit importante, peuvent souffrir de dépression, qui peut provoquer une déficience cognitive légère. Cette déficience peut conduire rapidement vers la perte des capacités de raisonnement et de la mémoire, et contribuer à la maladie d’Alzheimer.

Pour le Dr Wilson, auteur de l’étude parue dans la revue Neurology, il y a de l’espoir. « Si nous pouvons cibler, prévenir ou traiter la dépression et les causes de stress, nous pourrons aider les gens à maintenir la pensée et les capacités de mémoire durant la vieillesse, et ainsi prévenir la maladie d’Alzheimer. »

1764 hommes et femmes âgés de plus de 77 ans, qui n’avaient aucun problème de mémoire au début de chaque année où commençaient les analyses, soit pendant huit ans, ont participé à l’étude. Parmi ces gens, 680 sont décédés au cours de l’étude. Sur 922 survivants, 52 % ont développé une déficience cognitive légère, et 18 % sont devenus victimes de la démence.