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Prévenir l’Alzheimer avec l’huile de poisson

L’huile de poisson, riche en oméga-3, est connue pour être bénéfique pour la protection cardiovasculaire, pour l’arthrite rhumatoïde et même, selon certaines recherches, pour la dépression et les troubles de l’humeur.

Voilà qu’une nouvelle étude américaine de l’Hôpital du Rhode Island indique que l’huile de poisson pourrait aider à prévenir l’Alzheimer en aidant à préserver les fonctions cognitives et réduire les risques d’atrophie cérébrale des gens d’âge mûr.

La prise régulière d’huile de poisson a permis de découvrir que les fonctions cognitives sont mieux conservées chez la majorité des gens d’un âge avancé qui en consomment.

Sur 819 personnes qui ont participé à l’étude publiée dans la revue Alzheimer’s & Dementia, les IRM et tests neuropsychologiques de ces patients ont fait la preuve « que les sujets au fonctionnement cognitif normal qui prenaient des compléments à l’huile de poisson enregistraient un rétrécissement cérébral moindre dans les zones neurologiques clés, en comparaison avec les personnes qui ne prenaient pas ces compléments », a remarqué Lori Daiello, spécialiste de la maladie d’Alzheimer à l’Hôpital du Rhode Island.

Top Santé propose de retrouver les 500 mg d’AEP et d’ADH, les deux acides gras de type oméga-3 nécessaires quotidiennement, en capsules, dans 50 grammes de sardines, 100 grammes de crevettes ou encore 20 grammes de maquereau de l’Atlantique.

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Alzheimer : les patients devraient jardiner

Selon une étude britannique de l’Université d’Exeter parue dans le Journal de l’American Medical Directors Association, il est encore difficile de comprendre pourquoi le jardinage aurait un effet bénéfique sur les personnes atteintes de l’Alzheimer ou de toute autre forme de démence.

Cependant, diverses situations provoquées ou liées au hasard et expériences ont permis à l’entourage des personnes souffrant d’Alzheimer de s’apercevoir que lorsque leur proche malade se retrouvait dans un jardin ou encore jardinait, il était plus détendu et se remémorait plus souvent des souvenirs.

Une méta-analyse de 17 études scientifiques a permis de constater que le bien-être des patients, de leur famille et du personnel de santé augmentait lorsque les malades étaient dans un jardin. Ce lieu aiderait également à favoriser l’activité physique en s’occupant des fleurs et des légumes. Il donnerait des sujets de conversation aux malades et à leurs proches, qui seraient davantage portés à échanger et arriver à se remémorer de meilleurs jours.

« Il existe de vrais intérêts à améliorer des symptômes de la démence sans l’usage de médicaments. Nous pensons que jardiner pourrait être profitable aux personnes atteintes de démence, en leur fournissant une stimulation sensorielle et un environnement qui déclenche des souvenirs. Les malades auront non seulement l’occasion de se détendre dans un cadre apaisant, mais aussi de se rappeler les compétences et les habitudes qu’ils ont eu la jouissance d’avoir dans le passé », explique Rebecca Whear, l’une des chercheuses de l’étude.

Chaque année dans le monde, ce sont 7,7 millions de nouveaux cas de démence qui sont identifiés, chiffre Top Santé.

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Des problèmes d’odorat et de vue pourraient diagnostiquer l’Alzheimer

Il semblerait que certains examens de la vue permettraient d’identifier avec précision les personnes qui perdent la mémoire et qui sont atteintes de l’Alzheimer. Grâce à un examen de la vue, on pourrait observer une accumulation de protéine bêta-amyloïde dans le cerveau.

De plus, selon les conclusions de quatre études présentées à l’Alzheimer’s Association International Conference (AAIC) 2014, « la diminution de la capacité à identifier les odeurs est significativement associée à une perte de fonction des cellules du cerveau et à la progression de la maladie d’Alzheimer.» relate Santé Log.

Ces deux nouveaux éléments dans la recherche de la maladie sont très positifs, car en plus d’être peu coûteux et accessibles à tous, ils ne sont pas invasifs et sont très précoces, car « cliniquement, aujourd’hui, la détection n’est possible qu’aux derniers stades de développement, alors que les dommages au cerveau sont déjà constitués », explique le Pr Heather Snyder, directrice des opérations médicales et scientifiques de l’Association Alzheimer.

Même si ces résultats prometteurs semblent une excellente manière de prévenir la maladie, d’autres études doivent être effectuées. La porte s’ouvre cependant sur l’espoir et offre la possibilité aux gens de poser des questions s’ils sont victimes d’un trouble de l’odorat.

Crédit photo : Kasia Bialasiewicz / BigStockphoto.com

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Une avancée majeure pour l’Alzheimer

Des tests effectués sur plus de 1000 personnes ont détecté un groupe de protéines dans le sang qui peut prédire le commencement de la maladie avec une précision de 87 %.

La recherche a été publiée dans la revue spécialisée Alzheimer’s & Dementia et sera utilisée pour améliorer les essais dans le cadre de nouvelle médication pour la démence.

Le réseau BBC rappelle que dans la dernière décennie (2002-2012), toutes les recherches pour prévenir ou renverser le processus de la maladie de l’Alzheimer ont échoué à 99,6 %.

Les médecins croient que ces échecs sont dus à des traitements trop tardifs, les symptômes apparaissant environ 10 ans après le déclenchement de la maladie.

Ce nouveau test sanguin, mis au point par diverses universités et industries scientifiques, devrait faire une différence. Ils ont été en mesure de détecter chez les participants, près de 9 fois sur 10, ceux qui développeraient la maladie l’année suivante.

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Gardez votre cerveau actif pour éloigner la démence

La nouvelle étude publiée dans la revue JAMA Neurology stipule qu’en « termes de prévention de la dépréciation cognitive [mentale], l’éducation et le maintien de l’activité cérébrale sont importants ».

Les résultats de ce processus ont démontré que peu importe le niveau d’éducation des candidats ou de leurs activités quotidiennes, l’effet bénéfique demeure le même.

Ce sont 2000 participants de 70 à 89 ans, patients de la clinique Mayo, qui se sont prêtés au jeu. Parmi eux, 1700 avaient encore un système cognitif « normal », alors que 300 souffraient d’une « légère dépréciation cognitive ».

Parmi eux, ceux qui avaient poursuivi divers apprentissages et maintenu leur stimulation intellectuelle avaient réussi à retarder les premiers symptômes de la démence, et ce, parfois jusqu’à 9 ans.

Même les participants porteurs du gène APOE, qui favorise l’Alzheimer, avaient retardé la maladie.

Cependant, Prashanthi Vemuri, spécialiste en radiologie à la clinique Mayo, spécifie que « la stimulation intellectuelle » est aussi importante avant le 3e âge.

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Nouveau traitement prometteur contre l’Alzheimer

Un nouveau traitement, maintenant considéré comme « prometteur » par les spécialistes, aurait passé une nouvelle étape après des tests concluants effectués sur des rongeurs, dévoile The National Library of Medicine.

C’est un nouveau médicament, le 2-PMAP, qui aurait démontré des effets plus qu’intéressants sur des souris, rapporte cette même source, en coupant de moitié les niveaux de bêta amyloïde.

Cette dernière est la protéine qui serait largement associée au développement de la maladie d’Alzheimer, un fait confirmé par plusieurs autres études et spécialistes depuis un bon moment déjà.

La stratégie derrière ces tests et la création du 2-PMAP est de contrer les effets de l’Alzheimer avant sa progression.

« La clé est de prévenir le processus de la maladie pour éviter qu’il n’aille trop loin. Ce que nous voulons d’un médicament préventif contre l’Alzheimer, c’est qu’il réduise le bêta amyloïde, tout en demeurant sécuritaire à long terme », explique le Dr Martin Sadowski, auteur principal de l’étude et professeur au NYU Langone Medical Center.

D’autres essais sont à prévoir pour tester plus amplement les bienfaits du 2-PMAP.

Les résultats de cette plus récente étude ont été publiés dans la version en ligne des Annals of Neurology.

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Une étude estime que certains antidépresseurs peuvent ralentir l’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer pourrait-elle être freinée dans son développement par certains types d’antidépresseurs? Voilà la question qui se pose à la suite du dépôt d’une nouvelle étude sur le sujet.

L’étude en question, par ailleurs rapportée par The National Library of Medicine, constate que certains types de traitements contre la dépression semblent capables de limiter les niveaux de protéines responsables du blocage cérébral observable chez les patients souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Le traitement mentionné dans cette étude préliminaire est le Celexa, qui possède plusieurs descendants du genre de la même famille. Quelques options sont possibles, donc, selon les chercheurs de l’Université de la Pennsylvanie à la tête de cette recherche.

« C’est le premier pas dans l’effort de se diriger vers un traitement préventif. Jusqu’à maintenant, les spécialistes ont concentré leurs efforts sur le traitement de l’Alzheimer en soi, mais il semble que ça se produit trop tard », explique la Dre Yvette Sheline, auteure de l’étude.

Des propos rassurants dans le dossier de l’une des maladies les plus terrifiantes, alors que la recherche se poursuit de plus belle.

Les conclusions de la Dre Yvette Sheline et son équipe ont été publiées dans le magazine Science Translational Medicine.

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La caféine permettrait de lutter contre le développement de l’Alzheimer

Une nouvelle étude avance et confirme que la caféine permettrait bel et bien de lutter contre le développement de la démence et de la maladie d’Alzheimer, rapporte Santé Log.

C’est une équipe de l’Université de Bonn, en Allemagne, et de l’Université de Lille, en France, qui s’est penchée sur les effets bienfaiteurs présumés de la caféine en prévention de l’Alzheimer.

L’équipe conjointe franco-allemande a rapidement observé les effets protecteurs de la caféine sur des souris, qui se voyaient mieux protégées contre le développement de certaines protéines (notamment la protéine Tau) associées à la maladie d’Alzheimer.

Cette récente étude va de pair avec de précédentes recherches sur le sujet, qui confirmaient presque toutes les effets préventifs du café et de la caféine sur la mémoire et le déclin cognitif.

Les effets seraient observables à la suite d’une consommation « régulière à modérée », ce qui laisse entendre que les accros du café possèdent un avantage marqué en prévention de l’Alzheimer.

D’autres études seront nécessaires avant de confirmer ces observations, mais les chercheurs ont bon espoir de pouvoir confirmer la théorie, et même d’utiliser d’autres molécules relatives à la caféine pour possiblement créer une forme de traitement de la maladie.

Les conclusions tirées de l’étude franco-allemande ont été publiées dans le magazine Neurobiology of Aging.

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Des médecins s’inquiètent d’éventuels surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer

Pourrait-on voir un phénomène de surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer dans le futur, notamment avec la hausse des cas potentiels liés au vieillissement global de la population? C’est la conclusion que proposent des médecins britanniques dans une nouvelle étude, rapporte Top Santé.

Ces derniers estiment à 44 millions le nombre de personnes qui souffrent de troubles et déclins cognitifs, un nombre qui pourrait tripler d’ici 2050.

La hausse ouvre donc la porte aux diagnostics de plus en plus hâtifs, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi puisque la maladie d’Alzheimer peut être ralentie lorsque prise en charge rapidement.

Mais il existe un piège. « Fixer des objectifs pour le nombre de diagnostics de la maladie d’Alzheimer est dangereux. Le désir de faire grimper les taux pourrait pousser certaines personnes à être diagnostiquées à tort », explique le Dr Martin Brunet.

De nombreuses autres maladies et divers autres troubles de santé font également partie de ce qu’on appelle communément la « démence », et les médecins britanniques s’inquiètent de voir les patients qui en souffrent être mal diagnostiqués et, par conséquent, traités.

On estime cependant que la maladie d’Alzheimer représente jusqu’à 80 % des cas reconnus de démence.

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Le test sanguin de dépistage de la maladie d’Alzheimer semble fonctionner

Du nouveau dans le dossier de l’élaboration d’un test sanguin capable de détecter les premières traces de la maladie d’Alzheimer, rapporte The National Library of Medicine, alors que la méthode s’annonce prometteuse.

Une nouvelle étude en provenance de l’Université Georgetown vante les mérites de ce test sanguin, qui pourrait prédire jusqu’à 90 % le risque de développement de la maladie d’Alzheimer chez un individu.

Le Dr Howard Federoff, qui dirige l’étude, estime que les résultats du test sont aussi surprenants que prometteurs, et qu’ils démontrent qu’il est possible de prédire les risques d’Alzheimer grâce à l’analyse de plusieurs symptômes et facteurs.

Le but ultime est bien entendu d’être en mesure d’identifier le plus de patients à risque d’Alzheimer le plus tôt possible, afin de les traiter rapidement.

« Les biomarqueurs sanguins représentent une bonne et utile option… plus accessible, moins invasive, plus facile à utiliser et moins onéreuse. Plusieurs tests sont en développement, et plus d’investissements sont nécessaires de façon urgente », explique quant à elle Maria Carrillo, la vice-présidente des relations scientifiques et médicales de l’Association contre l’Alzheimer.

D’autres essais sont donc à effectuer sur ce nouveau test sanguin, mais les premiers résultats rendent la communauté scientifique plus qu’optimiste.

Les conclusions de l’étude de Georgetown ont été publiées dans le journal Nature Medicine.