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Une équipe de chercheurs trace un lien entre l’Alzheimer et le diabète de type II

Le Daily Mail (UK) rapporte d’étonnantes affirmations de la part d’une équipe de chercheurs américains basée à l’Université d’Albany, dans l’État de New York.

Ces spécialistes tracent un lien entre deux des maladies les plus terribles de notre époque, soit la maladie d’Alzheimer et le diabète de type II. Pour l’équipe représentée par un certain Ewan McNay, il existe plusieurs parallèles qui semblent indiquer que « l’Alzheimer et le diabète de type II sont en fait la même maladie ».

Il semble que si on analyse les symptômes de l’Alzheimer, dont les fameuses plaques amyloïdes dont on parle de plus en plus récemment, on pourrait considérer la maladie comme l’un des stages avancés, voire finaux, du diabète de type II.

Un excès d’insuline découlant de cette dernière pourrait provoquer d’importants changements au cerveau, et ainsi empêcher d’importantes fonctions chimiques de jouer leur rôle.

Même si cette théorie peut surprendre et nécessite davantage de recherches, plusieurs spécialistes avaient déjà soupçonné un risque accru de développement de l’Alzheimer chez les personnes atteintes de diabète de type II, corroborant ainsi les conclusions de l’équipe américaine.

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Des baisses statistiques des cas de démence

Bien que les cas de démence, par exemple en ce qui concerne la maladie d’Alzheimer, sont pris au sérieux et confrontés plus que jamais par les spécialistes, il semble que ceux-ci soient généralement en baisse et moins hâtifs, selon des chiffres étonnants rapportés par Santé Log.

En fait, il semble qu’au cours des dernières années, les maladies dégénératives cérébrales liées au vieillissement, comme l’Alzheimer, ont ralenti en termes de progression moyenne, et frapperaient même plus tard dans la vie de plusieurs patients qu’auparavant.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer le phénomène, à commencer par l’amélioration de la technologie et des soins de santé dans de tels cas, ainsi qu’une meilleure sensibilisation aux facteurs qui peuvent encourager le développement, à court ou très long terme, de maladies comme l’Alzheimer.

Du nombre, bien sûr, l’alimentation, le tabagisme, les habitudes en termes d’activité physique, le taux de sucre et le poids moyen.

Même si le combat contre la démence due au vieillissement n’en est pas à ses dernières batailles, les spécialistes américains (Californie, Michigan, Washington) qui publient leurs observations croient qu’il est important d’être optimiste et de continuer à miser sur la prévention pour les années à venir, le temps que l’on développe de nouveaux traitements.

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Le risque d’Alzheimer désormais détecté chez le nourrisson?

Une recherche a été menée par des spécialistes de l’Université Brown et du Banner Alzheimer Institute. Ceux-ci ont observé le cerveau et l’ADN de plus de 160 enfants de 2 à 25 mois. Ils ont pu établir un lien concluant entre la variante du gène APOE, le APOE4, et le risque de développer la maladie d’Alzheimer.

En comparant l’imagerie cérébrale des porteurs du gène APOE4 à celle des autres bébés, les chercheurs ont remarqué une croissance anormale de certaines régions du cerveau par rapport à d’autres. Une seconde comparaison a été effectuée avec l’imagerie cérébrale de patients atteints de l’Alzheimer. Ceux-ci présentaient les mêmes anomalies.

Comme l’indique JAMA Neurology, bien que cette étude se doit d’être considérée comme préliminaire, elle démontre cependant la possibilité de détection très précoce de signes précurseurs de la maladie d’Alzheimer. Par conséquent, elle ouvre la porte à de nouvelles avenues thérapeutiques préventives pour les jeunes qui seront prédisposés à la maladie.

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Le jogging et le vélo seraient aussi bénéfiques pour le cerveau

S’offrir un jogging ou une randonnée de vélo de façon régulière n’aurait pas que des impacts positifs sur votre santé physique, semble-t-il, alors que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude sur le sujet qui vante les bienfaits des exercices aérobiques sur le cerveau.

Des activités comme la course et la bicyclette, donc, pourraient améliorer les capacités de la mémoire, en plus d’optimiser les performances du cerveau en général, selon les chercheurs texans en tête de la recherche.

Du coup, on peut prétendre que de tels impacts minimiseraient les risques de démence ou d’Alzheimer en vieillissant, croient également les experts.

On explique le phénomène notamment par une meilleure circulation sanguine au niveau des vaisseaux du cerveau, un effet particulièrement bienfaiteur chez les gens qui franchissent le cap de la cinquantaine.

L’équipe de l’Université du Texas croit donc qu’il est fort avantageux d’allier exercices aérobiques aux exercices mentaux (mots croisés, jeux vidéo ou interactifs, etc.), afin d’optimiser ses chances de vieillir en santé et de réduire les risques de maladies dégénératives.

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Apprendre une seconde langue pourrait freiner le développement de l’Alzheimer

Top Santé rapporte une étude qui étonne et qui rappelle à quel point les actions et la stimulation mentale d’un individu peut faire varier le destin de sa santé à long terme.

Cette fois, une équipe de chercheurs d’Édimbourg, en Écosse, a établi par le biais de ses recherches que les personnes qui parlaient plusieurs langues, soit au moins une de plus que leur langue maternelle, pouvaient voir le développement de la maladie d’Alzheimer et de la démence être retardé de plusieurs années.

Jusqu’à cinq ans, dans certains cas, peut-on lire dans cette recherche, une cause à effet des plus inattendues pour les amateurs de langues étrangères.

Les chercheurs impliqués dans l’étude ne s’en cachent pas, les raisons de ce phénomène restent à être éclaircies et expliquées. Ils sont cependant convaincus de ce qu’ils avancent, après avoir testé la nouvelle théorie lors d’essais sur des sujets volontaires.

On croit pour l’instant que la conversion entre les langues nécessite un effort de la part du cerveau comparable à une gymnastique mentale, ce qui permettrait de le garder plus en forme, plus longtemps.

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Cinéma

Julianne Moore atteinte d’Alzheimer sur grand écran

L’actrice hollywoodienne, Julianne Moore, sera l’héroïne de Still Alice, un drame qui la mettra dans la peau d’une femme frappée prématurément par la maladie dégénératived’Alzheimer.

Le long métrage s’intéressera à Alice Howland, professeure en psychologie cognitive au sein de la prestigieuse université américaine Harvard. Le petit monde bien rangé de la quinquagénaire s’écroulera avec l’apparition des premiers signes de la maladie d’Alzheimer, rapporte Variety.

Still Alice s’inspire d’un livre du même nom de Lisa Genova. Cette professeure d’université en neuroscience a puisé dans son travail et dans sa propre expérience pour ce premier roman autopublié en 2007, avant de devenir un bestseller.

Julianne Moore amorcera le tournage du film mi-février à New York. L’actrice tournera sous la direction de Richard Glatzer et Wash Westmoreland, duo de réalisateurs derrière les films indépendants Echo Park, L.A. (2006) et The Last of Robin Hood (2013).

Julianne Moore tourne en ce moment dans The Hunger Games: Mockingjay – Part 1 et Part 2 sous la direction de Francis Lawrence.
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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

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Le sommeil ciblé en prévention de la maladie d’Alzheimer

Alors que les recherches pour traiter, prévenir et enrayer l’Alzheimer vont bon train, et que plusieurs essais semblent prometteurs et en apprennent davantage sur ce qui cause la terrible maladie, la course au traitement préventif bat son plein.

De plus en plus de tests et d’analyses comparatives permettent de mieux comprendre ou plutôt de voir l’évolution de la maladie. On n’a qu’à penser à ces fameuses plaques cérébrales (ou amyloïdes) identifiées récemment par les chercheurs, et qui sont l’indicateur principal du développement actif ou éventuel de la maladie d’Alzheimer.

Mais alors, comment en freiner l’évolution? Selon ce que rapporte The National Library of Medicine, l’une de ces solutions pourrait se trouver dans de bonnes nuits de sommeil, tout simplement.

Adam Spira, de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, croit qu’il existe effectivement une corrélation entre le sommeil et l’Alzheimer chez les personnes plus âgées. « Il y a un lien entre le sommeil et la quantité de bêta-amyloïde retrouvée dans le cerveau », explique-t-il.

Cependant, il reste à savoir si le sommeil de qualité peut vraiment aider en prévention de l’Alzheimer, ou si cette dernière cause un sommeil de moindre qualité, ce qui donnerait les mêmes résultats d’étude, sans permettre d’avancée.

« Ce que nous avons observé chez les gens qui ne présentent pas de signes d’Alzheimer nous mène à croire qu’il y a une connexion entre la privation de sommeil et le développement des plaques amyloïdes et de l’Alzheimer, mais on ne peut le confirmer encore. »

Alors que d’autres études sont donc à prévoir, une toute récente concluait que le cerveau s’affaire à effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement lors du sommeil, un nouveau fait qui peut facilement s’accoler à la théorie de Spira et de ses homologues.

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Potins

Sean Connery n’a pas la maladie d’Alzheimer

L’acteur Michael Caine dément fermement les rumeurs disant que son ami, Sean Connery, est atteint de la maladie d’Alzheimer.

Connery fait l’objet de rumeurs d’une mauvaise santé depuis un moment déjà, ne faisant que de rares apparitions publiques depuis qu’il s’est retiré du métier en 2011.

Un journal allemand disait récemment que Connery avait la maladie d’Alzheimer. En entrevue avec le Daily Mirror, Michael Caine affirme que l’acteur se porte bien.

« C’est de la foutaise, complètement absurde. J’ai fait quelques entrevues en Allemagne pour un nouveau film et je peux seulement supposer que quelqu’un a déformé mes paroles. Je n’ai pas vu Sean depuis quelques années, mais ma femme et moi lui avons parlé cette semaine au téléphone pour son anniversaire, et il était très bien », déclare Caine.

Selon lui, Sean Connery a encore toutes ses facultés. « Il était très bien, en pleine possession de ses sens, comme d’habitude. Ce truc de la maladie d’Alzheimer, c’est simplement absurde. Je n’ai aucune idée de comment cela a commencé. »

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La santé du cerveau par le chocolat chaud

Une nouvelle étude de la Harvard Medical School de Boston semble démontrer que la consommation quotidienne de 2 tasses de chocolat chaud pourrait aider à prévenir les troubles de la mémoire.

Publiée dans le journal médical de l’American Academy of Neurology, la trouvaille a été faite en analysant l’effet de la boisson de cacao sur 60 personnes d’âge moyen de 73 ans.

Après 30 jours de consommation quotidienne de 2 tasses, les participants qui souffraient d’une mauvaise circulation sanguine vers le cerveau avaient bénéficié d’une amélioration de la circulation de 8,3 % ainsi que d’une hausse de leurs aptitudes liées à la mémoire.

Il a aussi été déterminé que le taux d’antioxydants et de flavonoïdes ne serait pas important sur les bienfaits. Qu’il soit haut ou bas, les bénéfices se sont montré les mêmes.

« Nous en apprenons plus sur le débit sanguin dans le cerveau et son effet sur la capacité de raisonnement », a déclaré Farzaneh A. Sorond, de la Harvard Medical School et membre de l’Académie américaine de neurologie.

« Comme les différentes zones du cerveau ont besoin de plus d’énergie pour accomplir leurs tâches, elles ont aussi besoin d’un grand flux sanguin. Le tout peut jouer un rôle important dans des maladies telles que l’Alzheimer. »

Pour sa part, Paul B. Rosenberg de la Johns Hopkins School of Medicine à Baltimore dit : « Plus de travail est nécessaire pour prouver un lien entre le cacao, les problèmes de circulation sanguine et le déclin cognitif. Mais il s’agit d’une importante première étape qui pourrait orienter les études futures. »