Catégories
Uncategorized

Des chercheurs mettent au point un système de dépistage de l’Alzheimer

Les armes sont bien minces en matière de lutte à la maladie d’Alzheimer, que ce soit en termes de traitement ou encore de prévention.

Top Santé rapporte toutefois une percée intéressante, évoquée et revendiquée par des chercheurs basés en Allemagne.

Ces derniers auraient réussi à créer le premier véritable test de dépistage efficace de la maladie d’Alzheimer, un test sanguin qui connaît de bons résultats à la suite des premiers tests effectués.

On parle d’un taux d’efficacité de diagnostic de l’ordre de 93 %, ce qui rend les spécialistes optimistes, même si d’autres tests plus poussés doivent être effectués.

Les conclusions de l’équipe de chercheurs basés à l’Université de la Saar ont été publiées dans le magazine spécialisé Genome Biology, confirmant ainsi cette première médicale.

Il s’agit du premier test sanguin mis au point pour le dépistage de l’Alzheimer. Les tests de dépistage actuels se basent sur des exercices de mémoire et des tests par résonnance magnétique.

 

Catégories
Uncategorized

Une étude confirme les dangers… de la retraite!

Une vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

La carence en vitamine D problématique selon l’ethnie

Le manque de la vitamine soleil, surnommée ainsi parce que nous la produisons lorsque nous sommes exposés au soleil, est étroitement liée à plusieurs maladies telles que des maladies cardiaques, certains cancers, l’ostéoporose, le diabète, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie et des maladies auto-immunes.

Une récente recherche publiée dans le Journal of American Medical Association démontre cependant que ce lien n’est pas vrai pour toutes les ethnies.

En effet, la carence pourrait augmenter le risque de maladie cardiaque chez les personnes blanches ou chinoises, mais ne semble pas poser de danger cardiovasculaire pour les adultes noirs ou hispaniques.

« Ironiquement, les Hispaniques et les noirs sont reconnus pour avoir un taux de cette vitamine moins élevé que les autres nationalités », dit le Dr Keith Norris, professeur de médecine à la David Geffen School of Medicine de l’Université de Californie à Los Angeles.

Il poursuit en disant qu’alors qu’on croyait que les populations ayant un moins haut taux de vitamine D auraient de plus grands risques de souffrir de maladies cardiaques, c’est en fait tout le contraire.

Un autre expert a alors souligné que bien que ce soit très intéressant, ces résultats apportent plus de questions que de réponses, et que les études sur le sujet devront être approfondies.

Catégories
Uncategorized

L’anesthésie et la perte de mémoire

Sur le site britannique du Daily Mail, un article cite nombre de recherches de différentes institutions sur le sujet.

Alors qu’il était déjà connu que l’utilisation des drogues de Morphée avait un impact négatif sur le système immunitaire, de plus en plus de dommages sont répertoriés.

Non seulement le fait de subir une anesthésie générale pourrait être responsable de pertes de mémoire temporaires, mais il est démontré que les patients âgés ont un plus grand risque de souffrir de troubles permanents, de démence et d’Alzheimer.

De plus, un lien a été découvert entre des troubles de la parole et d’apprentissage chez les enfants ayant été sous ce type d’anesthésie.

Voilà qui explique certaines des raisons pour lesquelles plusieurs professionnels de partout dans le monde se montreraient plus favorables à l’utilisation de l’anesthésie locale. Une technique moins dangereuse est notamment l’épidurale, un processus qui implique l’injection de drogues autour des nerfs afin de bloquer le signal de douleur se rendant au cerveau.

L’abandon systématique de l’anesthésie générale est déjà en cours dans plusieurs pays, mais certains se montreraient plus conservateurs malgré l’évidence des risques.

Il s’agit là d’un important rappel de l’importance de bien se renseigner avant une opération afin de connaître toutes les options ainsi que leurs effets potentiels sur votre santé.

Catégories
Uncategorized

La géolocalisation des patients atteints d’Alzheimer pourrait s’améliorer

Plusieurs cas de personnes atteintes d’Alzheimer disparues ou égarées sont rapportés chaque année, et aucune mesure n’a été réellement instaurée pour tenter d’améliorer la situation, de l’avis de plusieurs.

Bien entendu, il n’est pas si facile de remédier à cette triste situation, puisque les personnes affligées par cette terrible maladie ont également le droit de jouir de leur liberté et de profiter de leur vie.

Un système de géolocalisation existe, grâce aux technologies actuelles, mais plusieurs personnes croient qu’il serait possible d’améliorer le concept.

Selon ce que rapporte Top Santé, la France est justement de cet avis et tient à donner l’exemple en proposant une nouvelle « charte » de règlementation.

Proposée devant le Comité national de bientraitance et des droits français, la charte propose notamment de « … dégager un point d’équilibre entre sécurité et liberté des plus âgés, et de permettre d’avancer progressivement vers une bonne définition de l’utilisation et des pratiques concernant les dispositifs de géolocalisation », ainsi que de « donner une meilleure information aux proches ».

Peu importe si ces changements sont adoptés en France ou ici, au Canada, il est de mise de tout mettre en œuvre pour assurer la meilleure sécurité et qualité de vie possible aux patients souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Catégories
Uncategorized

Les gras saturés peuvent-ils rendre le cerveau vulnérable à l’Alzheimer?

The National Library of Medicine rapporte une étude de l’École de médecine de Wake Forest, qui trace une corrélation entre une grande consommation de gras saturés et le développement de maladies dégénératives cérébrales comme l’Alzheimer.

En fait, le lien n’en est pas un direct entre une surconsommation de ces gras et les risques de développement de la maladie en tant que telle, mais c’est plutôt le cerveau qui serait rendu vulnérable à ce type de problème de santé.

Selon ce que l’on comprend des informations proposées dans l’étude, par ailleurs publiée dans le JAMA Neurology, une diète forte en gras saturés viendrait anéantir une propriété chimique clé en prévention de l’Alzheimer et de certaines autres maladies dégénératives, une propriété appelée ApoE.

En bref, ces résultats ne sont ni plus ni moins qu’une autre bonne raison de faire attention à ce que vous mangez!

Les gras saturés, massivement retrouvés dans les aliments gras et frits comme le fast-food et les frites, doivent absolument être consommés avec modération.

La preuve de ce fait n’est manifestement plus à faire.

Catégories
Uncategorized

Les patients souffrant d’Alzheimer reproduiraient les émotions environnantes

The National Library of Medicine dévoile des conclusions fort intéressantes concernant la maladie d’Alzheimer et comment elle agit sur les patients qui en souffrent sur le plan émotionnel.

Des chercheurs californiens, de UCLA et UCSF, ont constaté que les patients atteints d’Alzheimer avaient tendance à réagir aux émotions environnantes et démontrées par les proches, et à les reproduire.

Ainsi, une personne anxieuse et troublée ne ferait pas bon ménage auprès des personnes atteintes d’Alzheimer, ne faisant que contribuer à un état de confusion et de malaise.

« Le calme appelle le calme », lance le Dr Sam Gandy, spécialiste new-yorkais sur la question.

« C’est la façon dont voyagent les émotions à travers les gens et sans avertissement. Les maladies comme l’Alzheimer et les autres démences accentuent cet effet de contagion émotionnelle », explique Virginia Sturm, de l’Université de San Francisco.

Les chercheurs se disent stupéfaits de constater le lien unique qui unit les êtres humains entre eux, et croient que ces conclusions permettront aux intervenants d’effectuer du meilleur travail auprès des patients. 

Catégories
Uncategorized

Le champagne au service de la mémoire

Alors que les percées médicales en matière de traitement des maladies dégénératives comme l’Alzheimer abondent depuis quelque temps, l’ultime découverte se fait encore attendre.

Les citoyens craignent donc, avec raison, d’être confrontés à ce genre de maladies neurologiques graves, et ne peuvent pour l’instant que se doter de moyens de prévention.

L’un de ceux-là pourrait bien joindre l’utile à l’agréable, selon Top Santé, car des chercheurs de l’Université de Reading croient que le champagne pourrait s’avérer une arme de prévention contre la maladie d’Alzheimer, en plus d’améliorer la mémoire. 

On parle d’une consommation variant d’une à trois coupes de champagne par semaine, soit un peu moins que ce qui est avancé dans le cas du vin rouge. Dans ces deux cas cependant, on reconnait les polyphénols comme facteur expliquant cet effet protecteur.

« Le champagne est plus riche en composés phénoliques que le vin blanc, en raison des propriétés des deux cépages dont il est issu », explique le professeur Jeremy Spencer, auteur de l’étude.

Les chercheurs ont pu vérifier cette théorie sur des rongeurs, avant de publier les résultats dans une récente édition du magazine Antioxidants and Redox Signalling.

Plus besoin d’attendre de grandes occasions pour boire du champagne, selon Spencer et son équipe. Pourquoi alors ne pas simplement trinquer à la bonne santé!

Catégories
Uncategorized

Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

Catégories
Uncategorized

La vitamine B peut-elle prévenir de la maladie d’Alzheimer?

Plusieurs témoignages et résultats d’essais cliniques faisant état d’un possible effet préventif de la vitamine B contre certaines maladies dégénératives et cognitives comme la maladie d’Alzheimer ont été rapportés depuis quelque temps.

Ces théories se voient maintenant confirmées dans une nouvelle étude, publiée par le réputé journal Proceedings of the National Academy of Sciences, qui en arrive au même constat après avoir mené plusieurs essais sur des groupes de patients.

Selon cette plus récente étude, rapporte le Daily Mail (UK), les sujets du groupe test ayant reçu des apports en vitamine B se seraient vus presque entièrement protégés des effets observables au cerveau lors du développement de la maladie d’Alzheimer.

Des résultats d’autant plus concrets lorsqu’on les compare aux sujets du groupe ayant reçu un simple placebo. Ceux-ci n’ont été nullement protégés des symptômes comme le rétrécissement du cerveau, un signe alarmant d’Alzheimer.

Ce phénomène serait même réduit jusqu’à 90 % chez les consommateurs de vitamine B, ce qui surprend certains spécialistes. C’est le cas de Paul Thompson, professeur de neurologie à UCLA, qui déclare : « Je n’ai jamais vu de résultats de numérisations au cerveau qui démontraient ce genre de niveau de protection ».

On peut donc considérer qu’il s’agit d’un grand pas dans la quête de traitement de l’Alzheimer, ou à tout le moins dans sa prévention. D’autres études sont à prévoir afin de confirmer les effets de la vitamine B, les chercheurs étant maintenant en attente de financement dans le but de poursuivre leurs travaux.