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Percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer à Québec

Plusieurs médias, dont Santé Log, annoncent ce matin une nouvelle percée en matière de recherche et traitement de la maladie d’Alzheimer.

Cette avancée, qui semble donner un vent d’optimisme dans la communauté scientifique malgré la controverse, s’effectue dans notre cour, au Québec.

Ce sont en effet des chercheurs de l’Université Laval qui sont derrière cette nouvelle fracassante, eux qui auraient réussi à trouver un processus naturel de l’organisme qui permettrait de mieux se défendre contre la terrible maladie dégénérative.

On prétend que cette découverte pourrait paver la voie à un nouveau vaccin contre l’Alzheimer, ainsi qu’à un traitement pour ceux qui en souffrent déjà.

Serge Rivest de l’Université Laval, chercheur travaillant sur le dossier de l’Alzheimer depuis une décennie, explique : « Ce vaccin pourrait être administré aux personnes déjà atteintes pour stimuler leur immunité naturelle. Il pourrait aussi être donné aux personnes qui ne sont pas encore malades, mais qui présentent des facteurs de risques d’Alzheimer. Je crois que nous sommes près du but ».

Voilà des propos stupéfiants et bien rassurants, alors que l’Alzheimer représente toujours une menace terrifiante pour la population vieillissante.

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Parler deux langues serait bénéfique pour le cerveau

Plusieurs sources, dont topsante.com, rapportent une étude qui trace un lien entre la maîtrise de plusieurs langues et les performances cérébrales.

On parle d’au moins une seconde langue, comme parler l’anglais pour un francophone, ou l’inverse. Selon les chercheurs de l’Université du Kentucky, qui parlent de « flexibilité cognitive », le fait d’être bilingue (ou trilingue, pourquoi pas) aurait un réel impact sur le lobe cérébral frontal.

Ces variations et optimisations cognitives seraient observables de façon croissante tout au fil de la vie d’un individu qui parle plus d’une langue, toujours selon l’étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont étudié les cas de 110 personnes (de 60 à 88 ans) à qui l’on faisait passer une série de tests afin d’évaluer cette fameuse « flexibilité cognitive ».

Les chercheurs ont pu constater que les sujets bilingues passaient les tests avec plus de facilité, en plus de dépenser moins d’énergie en le faisant (évalué sur le cortex préfrontal).

Plus étonnant encore, cette étude s’ajoute à une récente publication qui prétendait que le bilinguisme serait excellent dans la prévention de certaines maladies comme l’Alzheimer et la démence.

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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Gènes reliés à l’Alzheimer et la schizophrénie présents dès la naissance

Pour l’étude menée aux États-Unis, le cerveau de 272 nouveau-nés âgés d’à peine quelques heures a été numérisé en utilisant la résonnance magnétique.

Leur ADN a également été analysé, les chercheurs ciblant particulièrement 10 variations communes dans 7 gènes qui sont liés à la structure cérébrale chez les adultes. Ces gènes sont également associés à l’autisme, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie, le trouble bipolaire, l’anxiété et la dépression.

Certaines variations génétiques, en particulier une qui est directement reliée à l’Alzheimer, étaient très similaires dans le cerveau des nouveau-nés et celui des adultes. Certaines autres variantes différaient chez le nouveau-né et l’adulte, ce qui veut dire qu’elles se développent plus tard dans la vie, par exemple à la puberté.

« Nos résultats suggèrent que le développement prénatal du cerveau pourrait avoir une très grande influence sur le risque de troubles psychiatriques plus tard dans la vie d’une personne », a affirmé l’auteure de l’étude, Rebecca Knickmeyer, citée par ScienceDaily.

Celle-ci a remarqué que tout un nouveau champ d’études pourrait être développé afin d’éventuellement arriver à prévenir le déclenchement de ces conditions par une intervention très tôt dans la vie des enfants à risque.

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Espoir majeur dans le traitement de la maladie d’Alzheimer

Santelog.com rapporte que des chercheurs des NIH (National Institutes of Health) affirment avoir réussi à inverser le processus de la maladie d’Alzheimer chez des souris, pavant ainsi la voie à de nouvelles possibilités de traitement.

C’est toute une nouvelle que cette percée, alors que la maladie d’Alzheimer fait encore et toujours des ravages partout sur la planète.

Les chercheurs auraient utilisé une molécule du nom de TFP5 pour bloquer le signal cérébral qui poserait problème dans les cas de cette maladie, ce qui aurait eu pour effet d’inverser les symptômes communs et de rétablir la mémoire.

Le tout est d’autant plus incroyable que les spécialistes parlent maintenant d’essais cliniques à court terme, c’est-à-dire des tests sur des patients humains.

On ne rapporte pas, ou très peu, d’effets secondaires sur les sujets rongeurs, et on souhaite bien entendu que le modèle soit identique sur l’être humain.

Il s’agit d’un espoir majeur pour toute la population, mais surtout pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie et ceux qui les entourent.

On attend maintenant avec impatience la suite des choses.

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Bobby Womack souffre d’Alzheimer

Bobby Womack avoue qu’il a de la difficulté à accepter sa maladie. Il a déjà des troubles de mémoire lorsqu’il tente de se rappeler le nom de ses chansons et collaborateurs.

Il a confié, selon NME : « Les médecins disent qu’il y a des signes d’Alzheimer. Ce n’est pas encore très avancé, mais ça s’amplifiera ».

Troublé, Womack a aussi ajouté : « Comment est-ce possible de ne pas se rappeler les chansons que j’ai écrites? C’est frustrant. Je ne l’accepte pas encore. Des choses très négatives me passent par la tête, mais même ça, c’est difficile à garder en mémoire ».

Le plus récent album de l’artiste, lancé en 2012, s’intitule The Bravest Man In The Universe. Ne plus se souvenir de ses récents collaborateurs le blesse beaucoup.

Le premier opus de Womack était dévoilé en 1954, sous le nom de Curtis Womack And The Womack Brothers. Plus tard, le nom du groupe a été modifié pour The Valentinos.

Le jeune Womack de l’époque a été découvert par un pionnier du soul, Sam Cooke. Le groupe a rapidement obtenu la notoriété nécessaire pour poursuivre sa carrière

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Des greffes de cellules pour traiter le Parkinson dès 2013

Santelog.com nous apprend que pas moins de cinq greffes de cellules cérébrales sont au programme en 2013, afin de tenter d’aider des patients souffrant de la maladie de Parkinson.

C’est l’hôpital universitaire de Lund qui aura la tâche d’accomplir ces exploits, les traitements s’inscrivant dans le cadre d’une étude européenne. Ce sera la première tentative du genre depuis une décennie, et les résultats sont prometteurs.

Seule ombre au tableau, c’est bien entendu le fameux débat des cellules souches qui risque fort de revenir au premier plan de l’actualité. Plusieurs percées et traitements expérimentaux similaires à celui-ci seront mis à l’essai en 2013.

Dans ce cas-ci, on parle de remplacer les cellules cérébrales mourantes par des neuves, ce qui permettrait d’inverser (ou à tout le moins de combattre) le processus des maladies dégénératives comme le Parkinson, mais aussi la maladie d’Alzheimer.

Les thérapies cellulaires régénératives du genre ont rencontré plusieurs obstacles depuis la création du concept dans les années 80 et 90, mais les chercheurs ont bon espoir de réussir de petits miracles rapidement, entre autres grâce aux percées dans le domaine de la génétique et des nouvelles technologies.

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Un médicament contre le psoriasis pourrait être utilisé dans des cas d’Alzheimer

C’est une nouvelle stupéfiante que nous rapporte Santelog.com, alors que des chercheurs de Zurich prétendent pouvoir faire un lien entre un médicament utilisé contre le psoriasis et la maladie d’Alzheimer.

C’est que ce traitement pourrait aussi être utilisé pour contrer les effets de la terrible maladie d’Alzheimer, pour laquelle on cherche toujours activement des traitements efficaces.

Ces conclusions ont été publiées dans le magazine Nature Medicine et révèlent que les chercheurs de l’Université de Zurich ont effectué sur des animaux des tests qui leur permettent de croire au double effet du médicament.

De plus, vu la composition du traitement en question (l’ustekinumab, aussi appelé Stelara), ces conclusions vont de pair avec la théorie qui veut que le développement de la démence soit encouragé par un système immunitaire déficient.

Plusieurs autres études et tests seront effectués sur le sujet, mais les données enregistrées sur des souris permettent de croire que ce type de traitement peut « bloquer » la progression de la maladie d’Alzheimer.

Le même processus pourrait aussi s’appliquer sur des patients souffrant de déficience cognitive légère, ce qui s’avère une excellente nouvelle.

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Bientôt de meilleurs traitements contre les commotions cérébrales?

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait une découverte qui pourrait bien améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de commotion cérébrale.

En effet, des spécialistes affirment qu’ils ont décelé des changements au niveau du cerveau, observables dans les cas de commotion cérébrale, et qui pourraient faire progresser la façon de faire dans des cas de complications postcommotion, notamment.

L’étude, qui compile ces résultats, a été publiée dans le journal Radiology et fait état de tests effectués sur 23 patients aux prises avec une commotion cérébrale (ou en complication postcommotion), et sur 18 patients en parfaite santé.

Il appert qu’une commotion cérébrale influencerait des zones-clés du cerveau, celles-là mêmes qui place l’organisme en état de repos. Lors d’une commotion, les mêmes zones seraient influencées, plaçant le corps dans ce que l’on appelle « l’état de base réseau » (default-mode network). Ce dernier définit l’état d’une personne en repos, ou lorsqu’elle « part dans la lune ».

On constate que les conséquences d’une commotion sont vérifiables dans ces mêmes zones cérébrales, altérant le système réseau mentionné ci-haut. On constaterait le même genre d’altération chez les gens souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs croient qu’une amélioration des traitements est envisageable à la suite de cette découverte.

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Une forme héréditaire d’Alzheimer détectable rapidement

Santelog.com rapporte que des chercheurs croient pouvoir détecter la maladie d’Alzheimer, dans sa forme héréditaire, chez un patient dès l’âge de 18 ans!

Certains signaux seraient identifiables au cerveau, ceux-là mêmes qui sont à blâmer pour les pertes de mémoire éventuelles, et même la démence.

Ceci permettrait de détecter la maladie très tôt chez un patient, voire quelques décennies avant que les symptômes fassent leur apparition.

C’est en comparant les données relevées lors de tests sanguins et de numérisations du cerveau, entre de jeunes patients porteurs de la maladie et d’autres qui n’en étaient pas atteints, que les chercheurs sont arrivés à ces conclusions.

On a répertorié, chez les jeunes patients atteints, des niveaux plus élevés de l’amyloïde B1-42 dans le sang et dans le cerveau (liquide céphalo-rachidien) que chez les autres. Aussi, des zones différentes du cerveau des patients se sont activées lors de tests de mémoire.

D’autres observations ont été faites, ce qui confirmerait que des différences de structure sont observables chez des patients aussi jeunes que 18 ans. Ceci pourrait aider à prévenir la progression de la maladie, avec une détection précoce.