Catégories
Hollywood PQ

Cassandra Bouchard rend hommage à son meilleur ami!

Cassandra Bouchard a publié sur Instagram des photos de son meilleur ami… poilu nommé Paul!

Il s’agit en effet d’un joli petit Cavalier King Charles de maintenant trois ans. Adorable!

Le petit chien de l’influenceuse célébrait en effet ainsi son troisième anniversaire.

Elle lui a rendu hommage en partageant à quel point ce petit être avait changé sa vie de façon positive.

Nous savons tous à quel point un chien, ça remplit une vie et tout l’amour que ça apporte au quotidien!

Bonne fête Paul!

Psst!: Quelques fans en voyant la photo ont cru que Cassandra avait déjà accouché! Mais, c’est bien le bébé de son amie)!

Catégories
Art de vivre

Je n’ai pas d’amis et ça me va

Ça semble super intense dit comme ça, mais c’est vrai! J’ai plein de connaissances, mais je n’ai pas vraiment d’amis proches et ça me convient. J’ai eu des très bonnes amies au secondaire avec qui j’ai passé de super moments. Comme dans bien des cas, nos chemins se sont séparés au Cégep. Nous avons continué à nous voir de temps en temps, mais à la longue, nous construisions nos vies séparément, et c’est correct. Nous communiquons à l’occasion via les réseaux sociaux, mais sans plus.

Dire que j’ai changé souvent de domaine d’étude est un euphémisme. Dans chaque programme, je me suis fait des amis, mais chaque fois que je changeais, je les perdais de vue. Je comprends. Nos chemins sont devenus complètement différents, et les affinités que l’on avait se sont estompées peu à peu.

Crédits : Marcus Aurelius/Pexels

Même dans la formation qui m’a menée à mon métier actuel, je vois le même « pattern » se répéter. J’étais proche de personnes qui étaient sincèrement compréhensives par rapport à mon statut de maman aux études. Nous nous entendions à merveille. Notre cours s’est terminé et nous sommes allées sur le marché du travail. Nous pratiquons le même métier, mais dans des milieux différents. Nos horaires sont souvent incompatibles. Nous avons eu des enfants. J’ai décidé d’être maman à la maison pour quelques années et elles sont retournées sur le marché du travail. Les liens s’effacent encore, tranquillement.

D’un côté, je suis consciente que je n’investis probablement pas l’énergie nécessaire pour maintenir et entretenir ces amitiés. De l’autre côté, j’ai souvent l’impression que ma réalité est tellement différente des leurs que je n’arrive tout simplement pas à remplir leurs attentes. Nous nous parlons toujours, mais elles ne se confient plus à moi, je ne me confie plus à elles.

Crédits: Thought Catalog/Pexels

Je trouve que quand on est adulte, c’est difficile de se faire des amis. Dans mon cas, j’ajouterais qu’être maman à la maison limite beaucoup l’étendue de mon cercle social.

Le plus étrange, c’est que je ne suis pas vraiment triste de ces « échecs d’amitié ». Je n’aime pas faire semblant. Je ne suis pas bien quand je dois me forcer pour « être » et agir d’une certaine façon qui plairait aux autres. Si c’est comme ça que je dois faire pour avoir des amis, j’aime mieux être seule. La solitude, ça me va. Je suis fermement introvertie, et je suis bien comme ça.

Êtes-vous plus heureuses en étant bien entourées ou la solitude est votre meilleure alliée?

Vous avez une histoire à partager? Écrivez-nous au info@tplmag.com

Catégories
Ton petit look

L’importance de mon nouveau cercle d’amis… virtuels

50: c’est le nombre de jours depuis le début du confinement. Et, au risque de vous surprendre, c’est fort probablement le nombre de rencontres de qualité que j’ai faites pendant ce temps. Je suis une personne occupée, toujours dans le train-train de la vie, à courir après ma queue et à essayer d’arrimer 1001 projets.

Toutefois, au cours des dernières semaines, j’ai pris le temps de m’asseoir, de réfléchir et de me poser. Et j’ai ouvert mon esprit. Quand on ouvre son esprit, du beau nous arrive; j’y crois. On se donne alors la chance de faire de belles rencontres et on prend le temps d’apprendre à connaître des gens qui, autrement, n’auraient pas croisé notre chemin. Du moins, c’est ce qui m’est arrivé. Des gens m’ont ajoutée sur Facebook ou ont parlé de leurs groupes dans des discussions dans lesquelles j’étais impliquée. J’ai ainsi entendu parler de deux programmes qui visaient exactement ce que je voulais accomplir grâce à du réseautage.

J’avais du temps, j’étais à la maison, et j’ai donc décidé de m’investir dans deux cohortes virtuelles dans deux domaines complètement différents qui s’accordent avec mes intérêts. Que ce soit business ou personnel, le programme est simple : un professionnel qui s’y connaît bien dans son domaine (pas un charlatan, entendons-nous) recrute une dizaine de personnes pour les accompagner dans leur cheminement. Avec chaque semaine viennent des défis, des techniques, des idées et surtout, du support! Non seulement individuel, mais également via les 9 autres personnes qui suivent le même programme.

Et laissez-moi vous dire que cet effet de groupe est extraordinaire. En un mois, j’ai accompli beaucoup plus qu’en 4 ans de développement par moi-même. Je me donne une grande partie du mérite, mais c’est cette vague et cette structure qui me portent à pousser encore plus loin mon énergie. Comme on dit si souvent: « Seul on va plus vite, mais à plusieurs on va plus loin! » Et je ne m’imaginais pas faire autant de travail accompagné, moi qui n’aime habituellement pas particulièrement les contacts humains.

Alors voilà, on se propulse ensemble, on travaille sur soi, mais on développe surtout un réseau extraordinaire

Et ce réseau, je l’ai trouvé également dans la communauté de collaboratrices de TPL. Nous nous soutenons, nous jasons, nous déconnons. Aussi, je donne des cours en ligne plutôt qu’en personne et j’ai même des membres de cette belle communauté qui se sont jointes à moi! On rassemble dans une même pièce «virtuelle » tellement de gens qui, autrement, ne se seraient jamais rencontrés.

Je dis donc MERCI à toutes ces belles personnes qui sont entrées dans ma vie et qui me poussent à me dépasser. C’est qu’il y a du beau dans l’ouverture de ces frontières virtuelles malgré que certains soient plus privilégiés que d’autres là-dedans. Si vous avez la chance de vous créer une petite communauté virtuelle pour échanger sur un sujet ou un domaine d’intérêt que vous avez en commun; je vous encourage fortement à le faire. Même sans considérer les résultats concrets, ça vous fera du bien!

Catégories
Ton petit look

J’ai peur de perdre mes amies pendant le confinement

Je suis une personne très sociable : mon calendrier de sorties est toujours bien rempli et j’aime être entourée de mes amies avec qui je partage tout plein d’aventures et avec qui j’explore tout ce que Montréal a à nous proposer. Bon, ça, c’était évidemment avant le confinement.

Maintenant, je fais comme tout le monde (ou ce que tout le monde devrait faire) : je reste chez moi. J’ai aussi la chance d’avoir un emploi possible par télétravail, donc je ne quitte mon appartement que pour aller acheter de quoi remplir le frigo ou l’armoire de la pharmacie. Oh, et je prends une marche en solo de temps en temps. Mais, évidemment, les sorties me manquent.

Je ne suis pas à plaindre, je le sais. J’ai la chance d’avoir encore mon emploi, mon revenu stable, de quoi manger et un toit au-dessus de la tête. Je suis en santé aussi. Alors je me sens mal de chialer sur mon deuil de ma vie sociale. C’est juste que j’ai tellement peur que le confinement me fasse perdre mes amies.

Je me rends compte que même si j’ai quelques amies dont je suis particulièrement proche ? à qui je me confie et qui connaissent tout ou presque de ma personne ? j’ai aussi de nombreuses amies que je ne fréquente que parce que nous aimons les mêmes activités ou que nous fréquentons les mêmes endroits. Nous nous retrouvons en groupe, nous passons une superbe soirée… et on se retrouve la fois suivante. Entre nos différentes sorties, nous ne prenons pas vraiment le temps d’échanger à propos de sujets plus personnels ; nous sommes plutôt en mode « organisation de notre prochaine sortie ».

Ça ne m’avait jamais frappée jusqu’à maintenant. J’ai tellement de plaisir avec elles que je n’avais pas réalisé à quel point je sais peu de choses sur elles, sur leur vie personnelle, leurs ambitions, leurs craintes et leurs rêves. Et aussi, à quel point elles en savent peu sur moi, à propos des mêmes sujets.

Depuis le début du confinement, je parle très peu à ces personnes que je considère pourtant comme des amies précieuses que je ne veux pas perdre. Comme nous ne pouvons pas sortir, nous ne pouvons pas organiser notre prochaine soirée… mais est-ce que c’est vraiment tout ce que nous avons en commun ? La situation me force à me poser sérieusement la question.

Et si c’était le cas, est-ce que nous sommes réellement amies ? Est-ce qu’il existe plusieurs types d’amitiés ; des plus profondes et des plus… circonstancielles ? Comment fait-on pour que nos amitiés évoluent ? Est-ce que c’est possible, ou même souhaitable ? Est-ce que nous avons plus en commun sans jamais avoir exploré cette possibilité ? Est-ce qu’il suffit de lancer la conversation pour que les confidences plus personnelles suivent ?

J’avoue que j’ai des amies avec qui la discussion coule plus naturellement que d’autres. Je sais aussi que certaines d’entre elles ne sont pas réputées pour leur écoute, mais on dirait que j’ai envie de tenter ma chance. J’ai envie de voir si nous sommes « vraiment » amies, et de découvrir aussi ce que je recherche d’une amitié. Parce que j’ai l’impression que mes attentes évoluent. En tout cas, j’ai amplement le temps d’y penser et d’essayer de lancer des discussions avec elles. Alors, c’est ce que je vais faire ; en espérant faire de belles découvertes parmi celles que je considère déjà comme mes amies. Parce que je ne veux pas les perdre.

Est-ce que le confinement vous fait voir vos amitiés autrement ?

Catégories
Ton petit look

À toi, mon amie qui habite loin…

À toi ma douce et tendre amie, qui habite loin de moi…

J’avais 14 ans et je venais de changer d’école. Je ne connaissais personne. Tout était nouveau pour moi. Et toi, tu m’as ouvert les bras…

Quand j’me suis mise à pleurer après un cours d’anglais, parce que je n’avais strictement rien, mais rien compris du cours, et que tu m’as dit: « J’vais t’aider moi » eh bien… Ça été le début… Le début d’une amitié profonde et sincère parce que c’était facile nous deux. On riait toujours ensemble. On riait tellement qu’on en pleurait et moi j’me retenais pour pas faire pipi (ouais, des fois j’m’échappais). On adorait s’énerver et déconner. La vie était drôle, belle et légère ensemble. D’autres fois, elle était dure, triste et sévère. Je t’ai vue souffrir, je t’ai ressentie du plus profond de mes tripes, ça me donnait mal à l’âme parfois. Et toi, tu m’as vue dans les pires moments de ma vie. Tu sais le genre d’amie qu’on appelle à n’importe qu’elle heure de la nuit…Eh bien, elle existe pour moi et… C’est toi!

Que tu habites à 2 km ou maintenant à près de 600 km de chez moi, cela n’a AUCUNE importance. Notre amitié ne s’affaiblit pas en fonction du nombre de kilomètres qui nous séparent.

Notre amitié est basée sur notre sentiment. C’est le plaisir qu’on partage lorsque nous sommes réunies. Dès la première fois où je t’ai aperçue; ma brunette avec sa queue de cheval frisottée et ses lunettes de savante, j’ai eu le coup de foudre pour toi!

Tu sais, au fond de moi, je recherche souvent ton approbation, car je sais que tu as un jugement plus qu’extraordinaire. Dans un sens, tu es comme mon idole! Aussitôt que j’entends ta voix rieuse au téléphone, je me mets à sourire. Même si tu n’es pas là, à côté de moi, tu es là quand même. Quand je te vois, j’te saute dans les bras et quand on se quitte pour un bon moment, eh bien, j’ai vraiment beaucoup de chagrin.

Tu es mon amie… Pour toutes les fois où j’me suis vidé le coeur et que tu m’as écoutée…Mais pas seulement écoutée; consolée, encouragée, coachée…Tu m’as redonnée confiance en moi plus d’une fois. Tu es capable de me remettre sur le droit chemin et aussi de me dire que ce que je pense et je ressens, « C’est bien et c’est correct ». Tu m’as aussi appris que j’avais le droit de souffrir. Pour les autres fois où tu te réjouis pour moi. Pour les choses que tu sais et que personne d’autre ne sait. Si tu savais à quel point j’ai grandi en étant ton amie.

Tu es mon amie… Pour toutes les fois où j’m’inquiète de toi; quand tu ne me réponds pas, et que là,  j’me dis que tu feel pas. Quand tu me textes et que je palpe tes frustrations du jour, quand je devine que tu vis un moment pas facile, quand j’aime détester ceux qui te font mal; j’adore ça quand tu vides ton sac, toi aussi, car je sais que ça te fait du bien! Pour toutes les fois où j’pense à toi; quand j’me rappelle de nos moments fous; de nos fins de semaine dans le sous-sol sur la rue Pouliot à chiller en pyj’.

Je t’aime parce que j’aurais tellement de peine de te perdre. Je t’aime parce que je te souhaite toujours le meilleur. Je t’aime parce qu’on ne s’est jamais enviées, l’une comme l’autre; parce qu’on ne s’est jamais fait de reproches et qu’on ne s’est jamais mis de pression. Je t’aime parce qu’on est libres de s’aimer.

Tu es une femme si intelligente, compréhensive, pleine de sens. Tu es tellement sensible, douce et emphatique. Tu es la personne qui est capable de faire le plus d’hypothèses par rapport à une situation! Tu bats des records dans la profondeur de tes analyses détaillées. Ton humour de haut niveau à triple sens me fait trop rire. J’adore aussi notre humour à l’état brut du genre : jouer de la guitare en lâchant un pet (haha)!

Je t’écris tout ça… Parce que je veux que tu saches à quel point je tiens à nous en tant qu’amies, parce que je veux qu’on vieillisse ensemble pis qu’on continue de chialer sur le monde! Parce que tu es un fichu de beau modèle à suivre. Parce que t’es la femme la plus persévérante que j’connaisse et… Parce que j’t’enceinte pis que j’ai hâte que tu prennes mon bébé dans tes bras!

Je t’aime.

Catégories
Ton petit look

Apprendre de ses ruptures amicales

J’ai connu peu de personnes qui n’ont jamais vécu une rupture amicale, brutale ou non, avec ou sans explications. Ce n’est pas un sujet de discussion joyeux, mais déjà, reconnaître que ça arrive à pas mal tout le monde, ça fait nous sentir moins comme de la marde. Sur Ton Petit Look, on a écrit régulièrement là-dessus, et si une chose est certaine, c’est que quand ça blesse, c’est important de faire sortir le méchant.

Le sujet m’inspire beaucoup, car l’éloignement en amitié est souvent flou. Souvent, on ne « casse » pas vraiment, comparativement à une fin de couple. La plupart du temps, on diminue les rencontres, les messages, tout ça, jusqu’à ce que ça se réduise à des likes sur les réseaux sociaux.

Parfois c’est plus défini. Il y a vraiment un « on s’arrête là ». On sait que c’est terminé. C’est là que la rupture amicale peut faire vraiment mal et que ça peut ressembler à une rupture amoureuse avec un deuil pis toute, surtout quand la raison n’est pas super claire.

De mon côté, je me suis fait larguer amicalement il y a un moment. Je n’ai reçu que très peu d’explications et ça m’a poussée à réfléchir longtemps sur les rares indices laissés en chemin (après coup, évidemment).

Le temps a passé et il est arrivé un revirement de situation un peu weird.

Une personne avec j’entretiens une relation difficile m’a beaucoup rappelé la situation vécue auparavant avec mes anciens amis, sauf que cette fois, les rôles étaient inversés. Jusqu’à un certain point, j’ai donc pu me mettre à la place de ceux qui m’avaient dompée.

J’ai remarqué que dans les deux situations, l’amitié semblait converger vers une relation d’aide sans que personne n’en retire quelque chose. Effectivement, lorsque les difficultés* que vit une personne finissent par empiéter sur l’ensemble de la relation, cela peut être difficile à vivre, surtout lorsque nous nous sentons limités dans notre capacité à aider, mais que la personne continue de s’en remettre à nous. La personne n’est pas un problème, mais prendre ses distances peut alors être légitime, ne serait-ce que pour se recentrer.

L’amitié, c’est censé être quelque chose de totalement gratuit. C’est génial et poche en même temps: il n’y a aucun contrat là-dedans, mais ça n’empêche pas que la relation peut changer et on a le droit de quitter le bateau si ça ne nous convient plus. Il n’y a pas de « police de l’amitié » qui va nous arrêter. Se faire ghoster alors qu’on croit l’amitié réciproque et sincère reste tout de même un (très) gros manque de respect, la plupart du temps**.

En revanche, avec la personne concernée présentement, je ne lui ferai pas subir cette torture. Je tenterai d’avoir une discussion dans le respect afin qu’elle sache que même si j’ai fait mon possible pour être là pour elle, que j’ai mes limites dans ce que je peux lui apporter et que j’ai dorénavant moins de temps à lui consacrer. C’est ce que j’aurais aimé que mes ex-amis me disent. Je sais que ça lui fera de la peine, mais je préfère la tenir au courant de mon ressenti plutôt que de la laisser avec des questionnements sans réponse.

Ces expériences m’ont fait réaliser qu’il faut éviter de penser que les amitiés profondes sont absolument sans limites. Nous pouvons par contre faire de notre mieux pour vivre en bons termes et de savoir quelles sont nos limites personnelles. Il faut d’ailleurs ne pas hésiter à les communiquer dès que c’est nécessaire.

Si les choses ne se passent pas comme vous le souhaitez, sachez tout simplement qu’il n’y a aucun mal à s’entourer de personnes avec qui vous vous sentez bien. Vous n’êtes pas un.e mauvais.e ami.e simplement parce que vous avez besoin de prendre du recul et de penser à vous.

*Nous avons tous des moments plus difficiles, mais si votre ami.e pense au suicide, conseillez-lui d’appeler une ligne d’écoute (1-866-APPELLE) ou un centre de crise. Composez le 911 si votre ami.e parle de passer à l’action. 

**Si une personne est violente, toxique ou vous menace, vous n’avez pas à endurer cela sous prétexte que c’est votre ami.e. Couper les ponts au plus vite est une solution légitime pour vous protéger.

Catégories
Ton petit look

Hommage aux meilleures amies

Ma conception d’une meilleure amie a été erronée pas mal toute ma vie. J’ai toujours cru que c’était un genre de titre honorifique. Une hiérarchisation de tes connaissances qui permettait, entre autres, à tes parents de mieux comprendre ton cercle social. Bref, un nice to have, sans plus.

J’ai dû me rendre jusqu’à l’université avant de m’apercevoir que je me trompais, que c’était beaucoup plus que ça.

Une meilleure amie, c’est celle qui t’accompagne, pour le meilleur et pour le pire, sans avoir besoin d’un engagement légal. Ce sont des insides, des fous rires, mais aussi des soirées à pleurer pis à se comprendre. Ce sont des petits rituels, des expressions partagées, des regards qui veulent tout dire pis un échange de contenu qui bouffe tous tes datas (mais ça vaut la peine, parce que tu ne verras jamais trop de vidéos de chiens cuty, crois-moi).

Une meilleure amie, c’est un safe zone. Une bouffée d’air frais quand tu fight pour pas te noyer dans ton quotidien. C’est quelqu’un à qui tu peux tout dire, sans avoir peur du jugement, parce qu’elle connait tes bons côtés comme toutes les petites failles qui font que t’es un peu brisée. C’est la personne qui comprend ce qui se passe, parce qu’elle sait d’où tu viens, pis où est-ce que tu t’en vas.

Une meilleure amie, c’est la personne que tu textes, quand t’as besoin de jaser ou juste pour te sentir groundée, quand tout semble aller de travers dans ta journée. C’est ton +1 dans les événements où ça te tente pas d’aller seule (ou d’aller tout court). Anyway, tout le monde s’attend à la voir parce qu’elle est pratiquement de la famille.

Une meilleure amie, c’est la personne qui va généralement être de ton bord quand tu lui racontes tes derniers déboires, mais qui arrive à te ramener si finalement t’es (un tout petit peu) dans le tort. C’est celle qui connait le monde qui t’entoure et qui va te donner l’heure juste sur tes relations, même si des fois c’est pas évident à entendre.

Tout ça pour dire que, pour moi, la définition d’une meilleure amie, c’est Anne-Marie. Pis je vous souhaite à tou.te.s de trouver votre Anne-Marie, parce que pour vrai, c’est une des plus belles rencontres que vous allez faire de votre vie.

Catégories
Ton petit look

Rompre avec une amie de longue date

Des fois, la vie fait des choses étranges, mais qu’au final, on se rend compte que c’était peut-être la bonne chose pour soi. Quand j’étais au secondaire, j’ai fait la rencontre d’une fille extravagante, intense et populaire et nous sommes rapidement devenues amies. Malgré sa façade d’artiste torturée et son désir intense de vouloir être différente, mais reconnue, nous nous sommes rapidement rapprochées. De l’extérieur, nous étions deux personnes totalement différentes: moi une nerd, considérée pas très jolie, gênée et dans l’ombre, et elle une bombe de lumière. En privé, nous nous retrouvions au milieu et étions beaucoup plus similaires qu’on ne le laissait paraître. Notre amitié aura duré longtemps.

Par contre, elle m’a toujours fait sentir que je n’étais pas assez cool pour être vue en public avec elle, ou pour être dans ses médias sociaux, ou pour qu’elle vienne à mes anniversaires. Je n’étais pas assez extra ou wild. Puis, rapidement nos vies ont pris des chemins différents; j’ai gradué, j’ai commencé ma carrière avec des petits projets sur le côté, j’ai déménagé de chez mes parents, j’ai rencontré mon copain, on s’est acheté une maison et on se marie bientôt. Elle non.

J’ai plein d’amis qui n’ont pas fait le même chemin que moi et qui n’ont pas les mêmes aspirations de vie que moi, mais nous arrivons toujours à connecter et à être nous, malgré tout. Avec elle, non. C’est comme si un ravin se créait tranquillement.

Puis, mon bachelorette a eu lieu, et elle n’est pas venue, alors qu’elle était supposée. Je me suis rendu compte que ça ne me dérangeait pas qu’elle ne soit pas là, so be it qu’on n’est pas assez cool pour ses stories Instagram. Ça me fâchait que mes amis aient dépensé de l’argent et de l’effort pour lui préparer un sac cadeau. Je l’ai textée et elle m’a demandé si elle pouvait emmener un +1 au mariage; j’ai refusé.

Elle m’a sortie que rendu là, elle ne viendrait que pour commémorer « ce qu’on avait ».

J’y avais déjà pensé longuement et j’ai cassé avec elle. Un vrai breakup d’amitié. Je suis correct avec le fait que nous ne soyons plus amies. Sur le coup, ça m’a fait mal de dire bye à plus de 10 ans d’amitié, mais je me suis sentie soulagée. Je venais d’éliminer une des dernières relations toxiques de ma vie.

Ma soirée de bachelorette m’a ouvert les yeux sur le fait que je suis entourée des plus belles personnes qui soient et qui sont toujours là pour moi no matter what. Je n’ai pas besoin de plus et où je suis rendue dans ma vie, je n’ai plus besoin de me faire chier avec des fausses amitiés.

Catégories
Ton petit look

Quand ta BFF s’achète une maison à 150 mètres de la tienne

J’ai toujours dit que mon premier grand amour a été ma meilleure amie, et cet amour perdure toujours. Je me compte terriblement chanceuse d’avoir une amitié comme j’ai avec elle, c’est inexplicable, magique et parfait. Elle comprend toutes les nuances de mes humeurs, de ma personnalité et de mes idées. Je la considère sincèrement comme un membre de la plus haute importance dans ma famille.

Puis, quand nous étions enfants et adolescentes, nos parents habitaient proche les uns des autres, ce qui fait que ça nous prenait une courte marche de 15 minutes en moyenne pour se rendre chez l’autre. Disons que nous étions les championnes des plans spontanés. On a toujours rêvé que lorsque nous aurions nos propres enfants, ils grandiraient ensemble et possiblement deviendraient d’excellents amis eux aussi.

Rendues au moment de déménager des nids familiaux, nous avons toutes les deux choisi des quartiers complètement à l’opposé l’un de l’autre. Moi à Lasalle, elle à Rosemont.

Ce n’était pas tant un grand malheur, nous avons juste eu à dire bye à nos plans spontanés. Puis, j’ai toujours aimé aller dans son quartier la visiter et revenir dans mon LaSalle d’amour.

Et un jour, mon copain et moi on a eu la chance de pouvoir s’acheter une maison. Bye la grande ville, allô la banlieue de Laval. Je savais que ma meilleure amie et son chum se cherchaient une maison à Laval, mais je pensais qu’ils regardaient un quartier pas méga proche du mien. Puis, BAM la magie de notre amitié opéra (oui, oui, je crois que c’est une chose qui existe) et ils ont trouvé une maison dans le même quartier que moi. Une merveilleuse marche de 3 minutes.

Je nous trouve tellement privilégiées de pouvoir vivre ça ensemble et d’habiter si proche l’une de l’autre à nouveau. Quand je pense qu’il y a des amies qui vivent avec des centaines de kilomètres qui les séparent et que moi, j’ai la mienne à peine à 150 mètres, je trouve que la chance nous a beaucoup souri.

J’ai hâte de voir comment nos familles vont évoluer côte à côte, mais surtout de retourner à nos écoutes communes de nos émissions favorites.

Catégories
Potins

Tom Hiddleston « ami » avec Taylor Swift, flirte avec Priyanka Chopra

La star de The Night Manager s’est présentée à la soirée des Emmy de fort belle humeur, et a accepté de répondre à une question concernant celle qui n’aura fait que passer dans sa vie, Taylor Swift.

Lorsque People lui a demandé si lui et Swift étaient encore de bons amis, Tom Hiddleston a répondu simplement : « Oui. Oui, nous le sommes. »

Loin de se laisser abattre par ce nouvel échec amoureux retentissant, il semble que l’acteur sur les rangs pour le rôle de James Bond se serait ensuite aiguisé le nœud papillon près de l’actrice Priyanka Chopra.

La star de Quantico aurait « replacé le nœud papillon de Tom et l’aurait embrassé sur les joues », selon une source.

« Tom avait son bras autour d’elle et la tenait près de lui. Plus tard, Tom et Priyanka parlaient très près et se sont même tenu la main pendant quelques instants », ajoute cette même source à E! News Online.

Rappelons que les raisons ayant mené à la rupture du couple formé de Tom Hiddleston et Taylor Swift, surnommé « Hiddleswift », sont encore nébuleuses.

Le clan de la chanteuse affirme que c’est cette dernière qui a mis un terme à la liaison parce que celle-ci devenait « trop publique » et qu’elle s’inquiétait des motifs véritables de l’acteur.

Du côté de Tom Hiddleston, on semble plutôt affirmer que c’est celui-ci qui a décidé de passer à autre chose.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com