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Un documentaire pour The Black Keys

C’est Noah Abrams, un ami du duo rock et photographe spécialisé dans les clichés de concerts, qui réalisera le documentaire.

Abrams, qui amasse des images de Dan Auerbach et Patrick Carney depuis le début de la tournée mondiale en janvier, espère que l’ensemble des séquences qui pourraient se retrouver dans le documentaire soit répertorié d’ici le début de l’été 2013.

Le quotidien suisse Le Matin a rapporté que le photographe désirait faire de ces images un « buddy movie » où le public pourra ressentir des émotions intègres et la vraie complicité entre amis.

« Un grand nombre de documentaires musicaux passent trop de temps à essayer de rendre les gens cools », a déploré Noah Abrams sur son Tumblr. « Moi, j’ai la chance de connaître Dan (Auerbach) et Patrick (Carney), qui sont deux gars très bien et naturellement cools, notre relation est plutôt incroyable et très drôle. »

L’homme n’a pas passé sous silence également que ces images seraient assurément agrémentées de « la meilleure bande originale de tous les temps ».

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Les filles sont-elles plus vulnérables?

Quand une dispute éclate, il semble que les filles réagissent plus que les garçons, selon une récente présentée sur Medical News Today. Elles se défendraient plus fortement lorsqu’elles sont brimées dans leurs amitiés.

De plus, elles seraient tout aussi enclines à se venger que les garçons. Les filles seraient également autant portées que les garçons aux attaques verbales, lorsqu’une amie a dévoilé un de leurs secrets, par exemple.

Des chercheurs américains ont remarqué ces comportements après avoir suivi 267 enfants de la quatrième et de la cinquième année du primaire. Les jeunes participants étaient invités à expliquer leurs réactions devant 16 situations fictives.

Pour chacune des situations, les enfants devaient dire comment ils auraient réagi si cela s’était réellement passé, comment ils auraient interprété le comportement de leur ami et ce qu’ils auraient fait par la suite. De plus, ils devaient expliquer en quoi l’incident en question les atteignait ou non.

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La gestion du stress aidée par les amis

Selon une étude des Pays-Bas parue dans Child Development, les amis d’un enfant qui va à l’école primaire l’aident dans sa gestion du stress. On vient de démontrer que l’amitié peut atténuer les effets négatifs d’un rejet social vécu par l’enfant.

On a, pour tirer cette conclusion, évalué le taux de cortisol auprès d’une centaine d’enfants de quatrième année. Il s’agit d’un âge clé en ce qui concerne l’importance des relations d’amitié et le niveau de stress que peut engendrer un rejet social.

Rappelons ici que le cortisol est considéré comme l’hormone du stress chez l’humain. Un taux élevé de cortisol nous aide à nous adapter à des circonstances changeantes, pour ainsi mieux répondre à des agents stressants. S’il est trop élevé, toutefois, il peut entraîner des effets néfastes sur notre santé, notamment sur notre système immunitaire.

Il s’est donc avéré, dans la présente étude, que les enfants qui avaient été reconnus comme exclus par leurs camarades ont présenté des taux élevés de cortisol, ponctués d’une légère baisse pendant la journée. Les enfants concernés qui avaient peu d’amis ou qui ne forgeaient pas de réelles amitiés ont eu des résultats encore plus marquants.

Toutefois, la victimisation n’a pas été reliée à de plus hauts taux de cortisol. Cela sous-entend que cette situation n’est pas aussi stressante que l’exclusion elle-même.

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L’amitié et la dépression chez les jeunes

Parue dans Development and Psychopathology, une récente étude universitaire confirme que les enfants rejetés socialement sombrent plus dans la dépression.

On y voit les possibles effets à long terme de la stigmatisation de certains enfants.

L’étude, étalée sur 3 ans, portait sur 130 filles et 101 garçons. On les a suivis de la troisième à la cinquième année du secondaire.

Les participants étaient invités à évaluer eux-mêmes s’ils étaient timides ou s’ils préféraient la solitude.

On a vite remarqué que les enfants ont tendance à rejeter ceux qui ont de faibles aptitudes sociales. Ils sont souvent considérés comme des êtres immatures ou agressifs.

Les chercheurs ont finalement pu conclure que les jeunes qui avaient des amis avaient moins tendance à vivre des symptômes dépressifs que ceux qui n’en avaient pas.

Il semble que l’amitié pourrait venir à bout des effets à long terme du rejet et de la solitude chez l’enfant.

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La solitude, nocive pour la santé

Les personnes âgées qui ont un réseau social limité ou qui éprouvent fréquemment un sentiment de solitude ont tendance à être en moins bonne santé, nous apprend une nouvelle étude.

Près de 3 000 Américains âgés de 57 à 85 ans ont évalué divers aspects de leur état de santé et les chercheurs de l’Université Cornell à Ithaca ont ensuite comparé les résultats à leur réseau social.

« La majorité des personnes âgées vont voir leurs relations avec les autres changer à cause de plusieurs évènements, comme la retraite ou un deuil », a fait savoir l’un des auteurs, la Dre Erin York Conwell.

Si la scientifique conçoit que certaines personnes s’accommodent bien de la solitude, elle croit que ce sont les sujets bien entourés et qui s’ajustent bien aux changements de leur vie sociale percevront être en meilleure santé que les autres.

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Un cercle d’amis contre la démence

Selon une étude menée par des chercheurs de l’Institut Karolinska, en Suède, les personnes âgées qui ont une vie sociale bien remplie voient leur risque de souffrir de démence chuter de 50 % comparativement aux sujets plus isolés.

« Notre étude démontre qu’une personnalité calme et sociale, combinée à un réseau d’amitiés solides, diminue l’incidence de démence », ont indiqué les scientifiques qui ont mené cette recherche.

506 personnes âgées, sans antécédent de démence, ont participé à ces travaux, qui ont duré 6 ans.

« La bonne nouvelle, c’est que l’on peut changer son style de vie, ce que l’on ne peut pas faire avec des facteurs héréditaires. Mais d’autres recherches devront être menées afin d’analyser les effets de la personnalité sur le risque de démence », concluent les scientifiques.

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Un cercle d’amis pour vivre plus longtemps

Une recherche ayant analysé les effets d’une vie sociale bien remplie auprès de 666 personnes âgées de 65 à 90 ans conclut qu’il est préférable de passer beaucoup de temps avec ses pairs si l’on souhaite vivre longtemps.

Selon le Dr Jason T. Newsom, professeur à l’Université Portland en Oregon, cette étude ne démontre pas hors de tout doute une corrélation entre la vie sociale et l’état de santé, mais il ne peut s’empêcher de conseiller aux personnes âgées d’avoir des relations satisfaisantes avec leur entourage. « Les conflits dans votre vie peuvent avoir un impact sur vos symptômes physiques », a-t-il suggéré.

Plusieurs questions posées dans le cadre de cette recherche tournaient autour des interactions sociales négatives et visaient à évaluer leurs influences sur les problèmes de santé. Les participants qui avouaient entretenir des conflits avec leur entourage voyaient leur état de santé décliner.

Les résultats complets de cette étude ont été publiés dans le journal Health Psychology.