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L’importance de l’amitié

Il serait très bénéfique pour l’enfant de créer des amitiés lorsqu’il est en maternelle. Avoir des amis de qualité pourrait faire en sorte qu’un garçon aura moins de problèmes de comportement et de meilleures compétences sociales en première et en troisième année.

Ce serait différent pour les petites filles. Elles présenteraient de bonnes compétences sociales durant les mêmes années du primaire, indépendamment du fait qu’elles aient créé de solides amitiés ou non à la maternelle.

On devine que les amitiés de qualité demandent des valeurs comme la coopération, le partage et l’interaction positive, de même que moins de conflits destructeurs.

Les chercheurs conseillent fortement les parents à encourager leur enfant à créer de saines relations d’amitié, et ce, par le biais de différentes activités.

Ce sont les conclusions d’une équipe de l’University of Illinois qui a étudié la situation de 567 enfants. On les présente dans Infant and Child Development. Les mères des participants étaient questionnées sur les amis ainsi que le type de rapports avec eux.

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Les filles sont-elles plus vulnérables?

Quand une dispute éclate, il semble que les filles réagissent plus que les garçons, selon une récente présentée sur Medical News Today. Elles se défendraient plus fortement lorsqu’elles sont brimées dans leurs amitiés.

De plus, elles seraient tout aussi enclines à se venger que les garçons. Les filles seraient également autant portées que les garçons aux attaques verbales, lorsqu’une amie a dévoilé un de leurs secrets, par exemple.

Des chercheurs américains ont remarqué ces comportements après avoir suivi 267 enfants de la quatrième et de la cinquième année du primaire. Les jeunes participants étaient invités à expliquer leurs réactions devant 16 situations fictives.

Pour chacune des situations, les enfants devaient dire comment ils auraient réagi si cela s’était réellement passé, comment ils auraient interprété le comportement de leur ami et ce qu’ils auraient fait par la suite. De plus, ils devaient expliquer en quoi l’incident en question les atteignait ou non.

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La gestion du stress aidée par les amis

Selon une étude des Pays-Bas parue dans Child Development, les amis d’un enfant qui va à l’école primaire l’aident dans sa gestion du stress. On vient de démontrer que l’amitié peut atténuer les effets négatifs d’un rejet social vécu par l’enfant.

On a, pour tirer cette conclusion, évalué le taux de cortisol auprès d’une centaine d’enfants de quatrième année. Il s’agit d’un âge clé en ce qui concerne l’importance des relations d’amitié et le niveau de stress que peut engendrer un rejet social.

Rappelons ici que le cortisol est considéré comme l’hormone du stress chez l’humain. Un taux élevé de cortisol nous aide à nous adapter à des circonstances changeantes, pour ainsi mieux répondre à des agents stressants. S’il est trop élevé, toutefois, il peut entraîner des effets néfastes sur notre santé, notamment sur notre système immunitaire.

Il s’est donc avéré, dans la présente étude, que les enfants qui avaient été reconnus comme exclus par leurs camarades ont présenté des taux élevés de cortisol, ponctués d’une légère baisse pendant la journée. Les enfants concernés qui avaient peu d’amis ou qui ne forgeaient pas de réelles amitiés ont eu des résultats encore plus marquants.

Toutefois, la victimisation n’a pas été reliée à de plus hauts taux de cortisol. Cela sous-entend que cette situation n’est pas aussi stressante que l’exclusion elle-même.

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L’amitié entre les enfants

Une étude de l’Arizona State University a démontré qu’un enfant aura plus de difficultés à entrer en contact avec les autres et à créer des liens d’amitié s’il souffre d’anxiété.

Précisément, on a remarqué, après avoir suivi 2 500 enfants, que ceux pouvant être décrits comme des « anxieux solitaires » bâtissaient leurs relations très différemment des autres. Ces enfants vivaient d’ailleurs du rejet.

Ils vivraient en fait des expériences contraires. Ils souhaiteraient interagir avec les autres enfants, mais cette idée engendre chez eux de l’anxiété, d’où la difficulté à créer ce contact.

D’autre part, les enfants que l’on considère comme asociaux ont une faible approche, mais n’ont pas de frein quant à le faire. S’ils sont peu enclins à créer un contact avec les autres, cela ne les rend pas anxieux.

On a par ailleurs remarqué, dans le cadre de cette étude, qu’avoir des amis stables aidait les enfants à ne pas devenir victimes des autres. Cet apport de l’amitié semble tout aussi valable pour les enfants qui vivent du rejet que pour ceux qui n’en font pas l’objet.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans Child Development.

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L’amour aurait un prix

Selon le professeur Robin Dunbar et son équipe de l’Université d’Oxford, chaque nouvelle relation amoureuse a un « coût humain » dans nos vies.
 
Les nouveaux élans de passion font en sorte que nous devenons moins disponibles pour nos amis et que certains s’éloignent carrément.
 
Selon les chercheurs, en moyenne, chaque personne aurait cinq relations importantes dans sa vie. Lorsqu’une personne tombe amoureuse, ce chiffre est réduit à deux relations qui demeurent importantes et avec lesquelles elle a un contact régulier. Nous devenons moins présents donc l’engagement émotif disparaît rapidement et certaines relations s’effritent.
 
Ce sont les résultats auxquels parvient l’équipe de l’université après avoir interrogé 540 personnes de plus de 18 ans sur leur vie amoureuse et leurs cercles sociaux.
 
L’amour diminue donc le soutien que nous pouvons recevoir des autres personnes. 
« L’intimité d’une relation, c’est-à-dire votre engagement émotionnel vis-à-vis d’elle, influe directement sur la fréquence de vos interactions avec d’autres personnes », affirme Dunbar.
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L’amitié permet de conserver une bonne santé

Avoir des amis est important, plus que vous ne pouvez le croire. En effet, ils contribuent à nous maintenir en forme, selon le constat qu’a fait une équipe de BBC News après avoir étudié une centaine d’études sur l’amitié et la santé.
 
Une personne qui est entourée d’amis et qui se reconnaît une place au sein d’un groupe aura tendance à prendre plus soin d’elle.
 
On va jusqu’à affirmer qu’avoir peu d’amis est aussi nocif pour la santé que peuvent l’être le tabac et l’alcool.
 
En revanche, les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter ne vous apportent rien. Ces derniers ne pourront jamais remplacer le lien qui se tisse entre deux personnes lorsqu’elles se lient réellement d’amitié, qu’elles se rencontrent et font des activités ou des sorties ensemble. Ceci permet de trouver un équilibre entre la vie professionnelle et l’épanouissement personnel.
 
Peu importe notre âge et notre classe sociale, les bienfaits de l’amitié sont réels sur notre santé. En vieillissant, il devient encore plus important d’avoir un entourage présent et aimant afin de maintenir la forme physique et intellectuelle.
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Nos amis prolongent notre espérance de vie

Le New York Times mentionne que l’amitié est très bénéfique dans notre vie.

Des chercheurs de l’Université d’Harvard se sont penchés sur les effets de l’amitié en examinant 12 067 personnes pendant 32 ans. Chaque nouvel ami heureux augmente notre bonheur de 9 %, tandis que les amis malheureux influencent notre moral de 7 %.

Il semblerait que ce soit parce que notre cerveau est inconsciemment poussé à imiter les gens par les effets des neurones miroirs.

Toutes nos habitudes de vie sont influencées par nos amis, proclament les chercheurs. Ainsi, plus nos amis ont des habitudes saines, plus nous serons portés à adopter ces habitudes. On maigrit plus efficacement en groupe. Le contraire est aussi vrai; si une personne est obèse, ses amis ont 57 % plus de risques de le devenir.

L’amitié nous influence même plus que l’amour. Les amis peuvent diminuer le risque de maladie cardiaque mortelle chez l’homme d’âge moyen, mais les conjoints n’ont pas cet effet.

Si nos proches cessent de fumer, on a 34 % de chances de le faire aussi. De plus, après une opération, les personnes entourées d’amis récupèrent mieux. L’amitié nous permet aussi de mieux tolérer la douleur.

Bref, les amis sont bons pour la santé et prolongent notre espérance de vie, et ce, même s’ils sont éloignés, nous disent les experts.

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La solitude, nocive pour la santé

Les personnes âgées qui ont un réseau social limité ou qui éprouvent fréquemment un sentiment de solitude ont tendance à être en moins bonne santé, nous apprend une nouvelle étude.

Près de 3 000 Américains âgés de 57 à 85 ans ont évalué divers aspects de leur état de santé et les chercheurs de l’Université Cornell à Ithaca ont ensuite comparé les résultats à leur réseau social.

« La majorité des personnes âgées vont voir leurs relations avec les autres changer à cause de plusieurs évènements, comme la retraite ou un deuil », a fait savoir l’un des auteurs, la Dre Erin York Conwell.

Si la scientifique conçoit que certaines personnes s’accommodent bien de la solitude, elle croit que ce sont les sujets bien entourés et qui s’ajustent bien aux changements de leur vie sociale percevront être en meilleure santé que les autres.

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Un cercle d’amis contre la démence

Selon une étude menée par des chercheurs de l’Institut Karolinska, en Suède, les personnes âgées qui ont une vie sociale bien remplie voient leur risque de souffrir de démence chuter de 50 % comparativement aux sujets plus isolés.

« Notre étude démontre qu’une personnalité calme et sociale, combinée à un réseau d’amitiés solides, diminue l’incidence de démence », ont indiqué les scientifiques qui ont mené cette recherche.

506 personnes âgées, sans antécédent de démence, ont participé à ces travaux, qui ont duré 6 ans.

« La bonne nouvelle, c’est que l’on peut changer son style de vie, ce que l’on ne peut pas faire avec des facteurs héréditaires. Mais d’autres recherches devront être menées afin d’analyser les effets de la personnalité sur le risque de démence », concluent les scientifiques.