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Le sport a un pouvoir analgésique

Le sport a un effet analgésique pendant qu’il est pratiqué, mais qu’en est-il de la pratique régulière d’une activité physique sur la douleur avant ou après un entraînement?

Selon une expérience dont les résultats sont parus dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise, la pratique régulière d’un sport rend les gens moins fragiles à la douleur.

Des chercheurs de l’Université de New South Wales et du Neuroscience Research Australia à Sydney ont testé la sensibilité face à la douleur de 24 candidats en bonne santé, mais inactifs, divisés en deux groupes.

À la demande des scientifiques, l’un des groupes s’est mis à faire du sport sur une durée de six semaines. Ceux-ci, par la suite, se sont avérés plus tolérants que le groupe qui est demeuré inactif.

En se servant d’un appareil pressant la peau et d’un brassard à tension qui gonfle graduellement, il est ressorti que les sportifs résistaient à une plus forte pression que les autres.

Le sport démontre dorénavant ses effets bénéfiques sur la douleur, alors qu’il est déjà réputé pour aider à contrer les maladies cardiovasculaires, améliorer le système immunitaire et éloigner le stress ou la dépression, écrit Top Santé.

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Ces bébés dépendants des opiacés

C’est le terrible constat qu’ont fait des chercheurs de l’Université du Michigan qui ont publié leurs résultats en ligne dans le Journal of American Medical Association.

Entre 2006 et 2009, il a été démontré que le nombre de nouveau-nés ayant le syndrome de sevrage néonatal a triplé comparativement à il y a 10 ans, et que les femmes enceintes consommant des opiacés a quintuplé.

C’est donc environ 16 % des adolescentes enceintes et environ 7,5 % des femmes enceintes âgées de 18 à 25 ans qui consomment des drogues illicites.

Pour la majorité des nouveau-nés qui avaient un manque, celui-ci était dû à l’utilisation d’opiacés par la mère durant la grossesse. Bien entendu, d’autres drogues et médicaments pouvaient être concernés par la recherche.

Les bébés avec un syndrome de sevrage néonatal sont plus à risques d’avoir un faible poids à la naissance et de rencontrer des complications respiratoires et des difficultés à se nourrir.

En plus de passer en moyenne 16 jours à l’hôpital, ces petits coûtent cher au système de santé. Aux États-Unis, guérir un nourrisson de sa dépendance à une drogue peut engendrer des frais d’hospitalisation évalués entre 39 400 $ et 53 400 $.

Mentionnons qu’entre 1999 et 2008, les causes de décès en lien avec la consommation d’opiacés et les ventes de ces analgésiques ont quadruplé chez nos voisins du sud.

Pour les chercheurs, il s’agit d’une urgence de santé publique et d’un problème de société qui devraient attirer davantage l’attention de tous les paliers gouvernementaux et des professionnels de la santé.

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Le venin des escargots de mer comme analgésique

La recherche, publiée dans l’édition de mars de la revue allemande Angewandte Chemie, pourrait mener à l’invention de nouveaux analgésiques plus puissants que ceux que l’on connait déjà.

En fait, le venin contient ce que l’on appelle des conotoxines qui, même utilisées en petite quantité, sont d’efficaces anesthésiants. Il s’agit de substances qui interrompent la transmission de signaux dans les nerfs, de façon très sélective.

Cette avancée technologique est d’un intérêt particulier pour les patients atteints de cancers ou de maladies chroniques.

« L’avantage avec ces conotoxines, c’est qu’elles n’entraînent pas de dépendance et se décomposent assez rapidement dans le corps », publie la revue.

Les chercheurs allemands essaient aujourd’hui de développer des formes plus stables du venin, que l’on pourrait donner aux humains.

Cependant, cela risque de prendre du temps, puisque ces toxines ne sont fabriquées par les escargots qu’en petites quantités à la fois. Les experts parlent même d’années avant que la substance soit prête à être testée sur l’humain.

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Le langage grossier agit comme analgésique

Les personnes qui n’ont pas l’habitude de jurer peuvent tenir leur main dans une eau glacée plus longtemps lorsqu’elles jurent que les personnes pour qui le langage grossier fait régulièrement partie de leur vocabulaire.
 
The Journal of Pain publie une étude de l’Université de Keele qui dit que le langage grossier devrait être réservé aux moments où l’on se fait mal. Ainsi, il agirait comme analgésique et soulagerait la douleur.
 
Cependant, si les sacres font partie de votre langage jusqu’à 60 fois par jour, les effets de soulagement ne sont plus efficaces.
 
Pour la recherche, on a demandé à des personnes qui ne juraient pas de placer leur main dans de l’eau glacée et de jurer ou d’employer des mots neutres. Elles ont pu tenir 140 secondes en jurant, soit deux fois plus longtemps qu’avec un langage neutre.
Chez des personnes qui juraient souvent, les résultats obtenus étaient de 120 secondes dans l’eau glacée, que ce soit avec les sacres et les mots neutres.
 
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Des analgésiques contre le cancer de la prostate

Selon la Dre Jennifer St. Sauver, qui oeuvre pour la Clinique Mayo au Minnesota, des analgésiques comme l’aspirine et l’ibuprofène protègent les hommes contre un éventuel cancer de la prostate.

Malgré ces résultats, la chercheuse met en garde les hommes de ne pas consommer ce type de médicaments au-delà des recommandations, en raison des effets secondaires, notamment sur le système digestif.

« Nos résultats démontrent que si les hommes prennent ce type de médicaments, cela peut prévenir contre des maladies urologiques », a fait savoir la Dre St. Sauver qui précise que ces antidouleurs diminuent de 50 % le risque d’hypertrophie bénigne de la prostate.

De plus, ce type de médicaments représente un résultat inférieur de 10 % au test PSA utilisé pour détecter le cancer de la prostate.

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L’ibuprofène et la maladie d’Alzheimer

Contrairement aux résultats de recherches antérieures, les anti-inflammatoires, comme l’ibuprofène et le Naproxen, ne préviennent pas l’apparition de la maladie d’Alzheimer, mais peuvent en retarder les premiers symptômes.

Le Dr John Breitner et ses collègues de l’Université de Washington à Seattle ont travaillé avec 2 736 personnes âgées en moyenne de 75 ans et ne présentant pas de signes de démence au début des travaux.

Au total, 476 sujets ont développé la maladie d’Alzheimer et les chercheurs s’expliquent difficilement pourquoi les anti-inflammatoires n’ont pas empêché la maladie.

Aux États-Unis, on estime qu’environ 26 millions de personnes souffrent de la maladie neurodégénérative qui se caractérise par des pertes de mémoire et une perte d’autonomie.

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L’acupuncture, plus efficace que l’aspirine

Une recherche, menée auprès de 4 000 participants par une équipe de chercheurs de l’Université Duke aux États-Unis, nous apprend que l’acupuncture est plus efficace que l’aspirine pour réduire la sévérité et la fréquence des migraines chroniques.

62 % des sujets ayant été traités par cette méthode traditionnelle chinoise ont mentionné aux scientifiques une amélioration de leur condition, comparativement à 45 % des participants qui ont avoué être soulagés en prenant de l’aspirine.

« L’acupuncture devient une option intéressante pour plusieurs problèmes de santé, que ce soit pour mousser la fertilité ou réduire la douleur postopératoire. Les patients ressentent moins d’effets secondaires et c’est relativement moins coûteux », a souligné l’auteur de cette étude, le Dr Tong Joo Gan.

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Les analgésiques sans effet

Selon une recherche, dont les résultats sont publiés dans l’American Journal of Epidemiology, la consommation régulière d’analgésiques tels que l’aspirine et l’ibuprophène ne réduit en rien l’incidence de cancer des ovaires.

Une hypothèse voulait que l’inflammation puisse être un facteur de risque de ce type de cancer et que la consommation de médicaments qui réduisent l’inflammation, comme l’aspirine ou l’ibuprophène, diminue ainsi le risque de cancer des ovaires.

La Dre Marue Anne Rossing et ses collègues ont réussi à prouver le contraire en observant plus de 2 000 femmes, dont plus de la moitié avouaient consommer ce type de médicaments régulièrement.

« Nos résultats démontrent qu’il n’y a pas de lien significatif entre le risque de cancer des ovaires et la consommation de ces analgésiques », a souligné la Dre Rossing.