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Pas de risque à consommer de l’aspartame en bas du seuil recommandé

L’EFSA (Agence Européenne de Sécurité Alimentaire) persiste et signe dans son évaluation des risques liés à la consommation d’aspartame, rapportent Top Santé et Santé Log, un ingrédient surtout utilisé pour remplacer le sucre dans divers produits.

Ainsi, l’EFSA maintient sa position concernant l’aspartame, et confirme dans un rapport que si la consommation du produit demeure en deçà du seuil recommandé, les risques pour la santé sont faibles ou inexistants.

« Pour la population générale, la dose journalière acceptable (DJA) actuelle de 40 mg par kilogramme de poids corporel constitue une protection adéquate », expliquent les spécialistes de l’Agence Européenne de Sécurité Alimentaire.

Ce seuil pourrait équivaloir, en moyenne, à une telle quantité de produits contenants de l’aspartame consommés sur une base quotidienne que la conclusion proposée par l’EFSA est évidente : l’aspartame n’est pas dangereux.

Si plusieurs personnes restent sceptiques face à ces nouvelles conclusions, d’autres seront ravies d’apprendre qu’elles peuvent continuer d’ajouter du faux sucre dans leur boisson chaude ou de consommer des boissons gazeuses légères.

Cependant, comme avec tout, la modération est fortement recommandée, et on rappelle que le meilleur conseil en santé et nutrition en ce qui concerne les boissons est de boire beaucoup d’eau, et ce, quotidiennement.

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Réduction majeure des risques de décès dus au cancer d’ici 2020

Il est rare de recevoir une bonne nouvelle, ou à tout le moins une encourageante, lorsqu’il est question de la terrible maladie qu’est le cancer, mais en voici une rapportée par le Daily Mail (UK) qui permet d’entrevoir une lueur d’espoir.

C’est que selon des statistiques et analyses proposées le Centre de Recherche en Cancer Macmillan, les risques de décès dus au cancer auront chuté de près de la moitié d’ici l’an 2020, soit une baisse de 44 % depuis 1990, au total.

D’ici la fin de la décennie, croient les chercheurs, 65 % des femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein survivront à la maladie. 65 % des hommes souffrant d’un cancer de la prostate auront droit au même sort, une statistique qui s’arrête à 61 % pour les patients atteints du cancer du côlon.

Malheureusement, ces hausses statistiques ne semblent pas s’appliquer en ce qui concerne le cancer du poumon, qui semble déterminer à demeurer aussi meurtrier.

Bien que la victoire définitive dans la lutte au cancer ne soit pas encore à notre portée, ces baisses statistiques des taux de mortalité dus au cancer semblent en progression constante et s’avèrent une excellente nouvelle.

On explique le phénomène par une meilleure compréhension de la maladie, des méthodes de traitement, des nouvelles technologies, et par un dépistage plus agressif. Les chercheurs rappellent d’ailleurs l’importance de subir des tests de dépistage à différents stades de la vie, afin de continuer à améliorer les chances de survie en matière de cancer.

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Une relation réussie et une bonne image de soi vont de pair

The National Library of Medicine rapporte une étude psychosociale sur le lien existant entre l’estime de soi et les relations amoureuses, s’attardant principalement sur le cas des femmes et de la vision qu’elles ont d’elles-mêmes.

Ainsi, s’il n’est pas étonnant de voir l’étude confirmer que l’estime de soi est primordiale au bonheur et à une relation amoureuse épanouie, il l’est davantage de constater que l’inverse est aussi vrai.

En effet, selon les chercheurs de l’Université Tallinn menés par Sabina Vatter, qui signe l’étude elle-même, une relation saine et heureuse permet d’augmenter grandement l’estime de soi.

C’est après avoir sondé et analysé près de 300 femmes que Vatter a pu constater que le lien présumé entre les deux facteurs fonctionnait des deux côtés.

« Quand une femme est satisfaite par sa relation, elle l’est aussi par son poids, et vice versa », résume clairement la chercheuse.

On peut donc conclure que même s’il est important de veiller à sa santé et d’avoir une bonne estime de soi à la base, le choix du partenaire représente un facteur important de l’accession ultime au bonheur et à l’épanouissement personnel.

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Certaines huiles végétales seraient aussi néfastes pour la santé cardiaque

Coup de théâtre dans le monde de l’alimentation et de la nutrition, alors qu’une nouvelle analyse trace un bilan pas toujours reluisant de certaines huiles végétales en matière de santé cardiaque, rapporte MedicalNewsToday.

La recherche, effectuée et publiée par le CMAJ (Canadian Medical Association Journal), croit que Santé Canada devrait revoir les étiquettes de certaines huiles végétales qui affirment que celles-ci sont bonnes pour la santé du cœur ou encore qu’elles réduisent les taux de cholestérol.

Selon les spécialistes en cause, certaines huiles fortes en oméga-6, mais faibles en oméga-3, n’auraient pas l’impact escompté en matière de santé cardiaque. Ce serait le cas, notamment, de l’huile de maïs et de carthame, dont les effets bienfaiteurs seraient loin d’être vérifiables.

On veut donc, du côté du CMAJ et de certaines universités canadiennes, que Santé Canada révise sa politique d’affichage sur ces produits, en vigueur depuis 2009, et qui permet aux compagnies productrices d’afficher ces prétendues vertus.

On attend maintenant la réponse de Santé Canada à la suite de ces révélations. 

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Movember : Bon pour la cause, pas pour la vôtre

Un observateur masculin et spécialiste de l’étiquette publie ses conclusions en ce qui concerne le mouvement Movember, rapporte le Telegraph (UK), mouvement qui consiste à se faire pousser la moustache pour appuyer plusieurs causes en lien avec la santé masculine.

Si la démarche est honnête et de plus en plus populaire, elle pourrait s’avérer un désastre sur le plan social et professionnel, croit William Hanson, qui ne conseille pas nécessairement aux hommes de tenter l’expérience.

Qualifiant l’opération « d’admirable et de méritoire », Hanson croit aussi qu’il est « déconseillé » pour les hommes qui souhaitent être pris au sérieux, ou le demeurer, dans leur environnement de travail de prendre part à cet événement moustachu.

« Se faire pousser une moustache rétro n’est pas conseillé, spécialement si vous avez un emploi sérieux. Je n’ai pas encore vu d’homme mieux paraître grâce à une moustache, et je crois que plusieurs hommes aiment simplement l’idée de sauver du temps en se rasant le matin. D’autres voient enfin la chance de découvrir ce dont ils auront l’air avec une moustache. Bien, laissez-moi vous épargner ce moment… ce sera laid », lance William Hanson, convaincu et manifestement en guerre contre les moustaches.

Il suggère à ces hommes de donner directement de l’argent à des œuvres de charité ou encore de tenir une bonne vieille… vente de gâteaux. Quelle barbe!

L’an dernier, le Movember a été souligné par des hommes de 21 pays différents et aurait engrangé approximativement 100 millions de dollars pour différentes causes.

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Le bacon reçoit le titre d’aliment miraculeux

Un article à priori banal et rigolo de la part de Wired fait des remous sur la Toile, après que celui-ci ait couronné le bacon comme étant le roi des aliments miraculeux.

Il n’en fallait pas plus pour des observateurs, des nutritionnistes et des fanatiques de la santé montent aux barricades!

Attention, cependant, on ne parle pas ici d’un « miracle pour la santé », mais plutôt de la propriété du bacon à améliorer plusieurs recettes, et donc les rendre plus populaires.

Radio-Canada, qui rapporte l’article initial, explique que le journaliste s’est basé sur des statistiques proposées par FoodNetwork.com pour son étude qui, avouons-le, est plutôt exhaustive.

Wired a en effet compilé et analysé les données concernant près de 50 000 recettes, et plus de 900 000 commentaires d’internautes, avant de conclure que le bacon était l’ingrédient le plus miraculeux à inclure dans une recette, le tout basé sur un algorithme simple mais ingénieux.

L’ingrédient améliorerait pratiquement tous les plats sauf les pâtes et les desserts, selon les conclusions proposées.

Par ailleurs, une récente étude suisse vantait les mérites du bacon sur la longévité, ce qui a de nouveau soulevé l’ire des spécialistes, qui rappellent les dangers des viandes transformées sur l’organisme.

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Le rôle de la sérotonine dans la perte de poids

La sérotonine et son impact sur la perte de poids éventuelle d’un individu intéresse de plus en plus les chercheurs, rapporte Top Santé, alors que deux spécialistes américains publient une étude qui affirme que la sérotonine permet d’accélérer le processus de perte de poids.

Cette recherche se base initialement sur des analyses effectuées sur un ver, le C. elegans, qui semble perdre du poids tout en conservant le même rythme de consommation de nourriture.

Perdre du poids sans cesser de manger ou diminuer l’apport calorique, donc?

Oui, expliquent les deux chercheurs californiens, à condition que deux éléments actifs soient réunis, à commencer par la sérotonine. Le deuxième élément est l’adrénaline, qui permettrait de maximiser les effets de perte de poids causés par la sérotonine, initialement.

« Lorsqu’on active la perte de poids en donnant juste de la sérotonine, c’est mieux qu’un composant équivalant à l’adrénaline soit présent. Si vous enlevez l’adrénaline, la sérotonine reste active, mais l’efficacité est grandement réduite. Ces deux neurotransmetteurs ont besoin l’un de l’autre », résume la Dre Supriya Srinivasan, qui publie sa recherche dans la plus récente édition du magazine Cell.

Srinivasan et ses collègues croient maintenant que le procédé pourrait être recréé chez l’homme, pavant ainsi la voie à des traitements efficaces contre la prise de poids et l’obésité.

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Des pépites de poulet qui créent l’illusion

Les chaînes de restauration rapide sont devenues l’ennemi à abattre en santé de nos jours, et malgré des campagnes de prévention et une meilleure information, le public continue toujours d’affluer dans les différentes succursales de ces restaurants à travers le monde.

Les comportements changent, cependant, puisque plusieurs tentent de faire des choix éclairés au sein même de ces franchises de fast-food, un effort qui s’avère toutefois le plus souvent vain.

Une tendance remarquée est celle de se tourner vers les produits au poulet plutôt que ceux au bœuf, mais cette manœuvre ne s’avère pas aussi profitable qu’on pourrait le croire, selon le chercheur américain Richard deShazo.

Selon les analyses effectuées sur certains produits au poulet, les pépites dans ce cas-ci, vendus dans deux des plus grandes chaînes de restauration rapide au monde, deSHazo conclut que celles-ci contiennent plus de gras que de poulet, et qu’il s’agit d’un choix désastreux pour la santé, rapporte Top Santé.

La plupart de ces pépites créeraient plutôt une « illusion de poulet », comme le mentionne le chercheur, et seraient composées véritablement d’à peine 40 % de viande.

« Nous savons tous que la viande de poulet est une très bonne source de protéines maigres, c’est la raison pour laquelle nous encourageons nos patients à en manger. Mais certains industriels choisissent d’utiliser une mixture à base de poulet plutôt que de la viande maigre. Ils la mélangent, la font frire et continuent à l’appeler poulet », lance deShazo, en guise d’avertissement.

Aux amateurs de pépites de poulet et de produits de la volaille, le chercheur conseille vivement de les préparer soi-même.

Les analyses et conclusions tirées de l’étude de Richard deShazo ont été publiées dans la plus récente édition de The American Journal of Medicine.

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Quand le iPhone devient le iDocteur

Le Telegraph (UK) propose un article des plus intéressants sur les capacités actuelles et futures de l’iPhone et des téléphones intelligents en matière de santé.

Si on connaissait déjà quelques-unes des applications proposées, d’autres piquent la curiosité, stimulent l’imaginaire ou surprennent carrément.

Notamment, le journaliste scientifique correspondant Richard Gray mentionne l’application qui permet de « lire » les battements du cœur et de définir l’état de santé d’un individu, comme un électrocardiogramme retrouvé en centre hospitalier.

La pression sanguine, la respiration, la toux et même les signes de commotion cérébrale peuvent également être analysés par un simple téléphone intelligent, tout comme l’ouïe et les capacités visuelles.

Mais il y a plus. Une application de l’iPhone permettrait également d’analyser les cycles du sommeil, alors qu’une autre peut « lire » dans vos empreintes digitales. Bien sûr, une autre pourra tout simplement analyser les symptômes proposés et en arriver à un diagnostic initial virtuel.

La liste se poursuit et continuera de s’allonger, démontrant que les nouvelles technologies peuvent et pourront améliorer certains de soins de santé ainsi que leur proximité, mais pourront également réduire les coûts annuels liés à la santé et désengorger certains départements.

Richard Gray espère voir des études cliniques confirmer officiellement les propriétés médicales possibles des téléphones comme le iPhone, et ainsi changer littéralement une partie de la face du monde médical tel qu’on le connaît.

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Découverte d’un arbre antidouleur en Afrique

Découverte intéressante que celle rapportée par Top Santé, alors que des chercheurs auraient trouvé un arbre aux puissantes propriétés analgésiques.

La trouvaille s’est effectuée en Afrique, alors qu’une équipe de chercheurs menée par Michel de Waard a remarqué qu’un petit arbuste avait la capacité de produire des quantités stupéfiantes d’une molécule antidouleur, notamment au niveau de ses racines.

La molécule en question s’apparente au tramadol, concluent les chercheurs à la suite de leurs analyses, et agirait un peu comme le fait la morphine.

« Le plus surprenant pour nous a été de constater que cette molécule ne nous était pas inconnue. Elle était identique au tramadol, un médicament de synthèse mis au point dans les années 1970 et utilisé couramment dans le traitement de la douleur », résume De Waard, de l’INSERM.

Outre le caractère scientifique de la nouvelle, les chercheurs se réjouissent à l’idée de voir l’arbuste produire des quantités suffisantes du médicament antidouleur pour les populations africaines qui présentent une lacune à ce niveau.