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Le cerveau d’un psychopathe démystifié

Des chercheurs ont tenté de définir pourquoi une personne qualifiée comme psychopathe ne ressent pas d’empathie comme le commun de ses homologues humains.

The National Library of Medicine rapporte les résultats de cette recherche, qui s’est effectuée en milieu carcéral auprès de 121 détenus volontaires.

Se déroulant dans une prison à sécurité modérée des États-Unis, les analyses ont été effectuées sous forme de tests par résonnance magnétique, qui cherchaient à définir le type de réponse observable au cerveau des sujets, lorsque ceux-ci étaient placés devant diverses situations imaginaires.

En plaçant des photographies dures et décrivant de la douleur humaine physique devant les sujets, les chercheurs pouvaient ensuite définir quelles zones du cerveau s’activaient, selon les circonstances.

Il est troublant de constater, dans le rapport publié dans le Frontiers in Human Neuroscience, que les détenus diagnostiqués comme psychopathes ne réagissent pas de la même façon qu’un humain considéré comme « normal », mais plutôt de la même façon que lorsqu’ils sont placés en situation positive ou de récompense!

Ces résultats démontrent non seulement la véracité des théories précédemment avancées, mais pourraient également permettre la création de traitements pour aider ces bien tristes patients.

On estime à 1 % le nombre de psychopathes présents dans la population, un chiffre qui grimperait à 23 % en milieu carcéral.

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Les hommes mariés ont plus de chances de survivre à un cancer

La théorie avait déjà été avancée il y a quelque temps, et voilà qu’une nouvelle étude la confirme : les hommes mariés auraient bel et bien plus de chances de survivre à un cancer.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui propose les conclusions avancées par une équipe de chercheurs américains et publiées dans le Journal of Clinical Oncology.

De plus en plus, on reconnait les choix et le style de vie comme étant des facteurs primordiaux sur la santé. Vivre en solitaire, par exemple, aurait une incidence sur la durée de vie, les célibataires endurcis voyant leur longévité s’abréger, statistiquement parlant.

L’inverse serait donc aussi vrai, c’est-à-dire que les personnes mariées auraient de meilleures chances de vivre plus longtemps. Dans le cas des hommes, cette conclusion permet de croire que ceux qui vivent en relation ou qui sont mariés ont plus de chances de battre le cancer.

L’équipe de Harvard a étudié les cas de milliers de patients en oncologie, et après avoir analysé les données associées aux différents styles de vie, elle conclut que les hommes mariés ont trois fois plus de chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

Une statistique absolument éloquente, qui confirmerait encore une fois à quel point les décisions prises au cours d’une vie influencent plusieurs aspects de la santé d’un individu… et ses chances de survie.

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Une super-étude confirme de nouveau les bienfaits des oeufs

La mauvaise presse que subissent les pauvres œufs semble de plus en plus s’effriter, à mesure que les rapports de spécialistes vantant leurs mérites s’empilent.

C’est précisément le cas d’une nouvelle super-étude rapportée par Top Santé, qui conclut que plusieurs mythes en matière d’œufs restent à prouver, et que les bienfaits d’une consommation d’œufs dépassent en réalité les effets néfastes potentiels.

Publiée dans le British Medical Journal par une équipe de l’Université Huazhong, en Chine, l’étude analyse les données de plus de 20 autres recherches sur le sujet, précédemment déposées.

On conclut ici que, malgré sa forte teneur en cholestérol, « consommer un œuf par jour n’est aucunement lié à une augmentation du risque d’infarctus ». On cite en exemple la population japonaise, friande d’œufs, mais affichant des taux de maladies cardiovasculaires plus bas que plusieurs autres pays.

Les œufs renferment plusieurs vitamines et protéines. Ils s’avèrent très utiles en prévention de nombreuses maladies, notamment celles liées au cerveau, rappellent également les chercheurs.

Encore un bon coup pour l’œuf, qui mériterait donc de retrouver une place de choix dans nos assiettes, selon ces chercheurs chinois.

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Une autre étude accorde une plus grande longévité aux végétariens

Une autre bataille de la guerre opposant les amateurs de viande et les végétariens vient d’être gagnée par ces derniers, selon Nutrition News, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet accorde encore une fois plus de chances à ceux-ci de vivre plus longtemps.

C’est ce qui ressort, et de façon éclatante, d’une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université Loma Linda en Californie.

Les chercheurs américains ont suivi les cas de plus de 70 000 personnes, tous membres d’un regroupement qui prône le végétarisme, sur une période de près de six ans.

Après avoir compilé les données, incluant les types de repas ingérés par les participants, l’équipe de spécialistes conclut que le groupe des végétariens a subi 12 % moins de décès que celui des carnivores.

On parle notamment de 19 % moins de chance de mourir d’un problème cardiovasculaire et d’une réduction des risques de mort par une dysfonction des reins, par exemple, ou encore du diabète. Voilà quelques exemples qui ont semblé tous pencher en faveur des végétariens.

Les risques de développer un cancer, cependant, ont semblé être les mêmes chez les deux groupes.

Pour terminer, l’incidence de la viande et du végétarisme semble affecter davantage les hommes que les femmes!

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Deux tasses de café pourraient réduire les risques de suicide de moitié

Le Daily Mail (UK) propose une étude initialement publiée par des chercheurs de Harvard, qui tend à démontrer que le café serait bel et bien un outil de taille dans la lutte à la dépression.

Plus encore, selon l’étude, de deux à quatre tasses de café par jour permettraient de réduire les risques de suicide de 50 %.

Cette quantité permettrait même une meilleure protection que le thé et le chocolat. Par contre, les chercheurs préviennent les consommateurs et les gens qui souffrent de dépression ou de trouble de l’humeur que de consommer du café ne constitue pas un remède ou une médication adéquate.

Il s’agit simplement d’un impact découlant de la consommation du café, un effet démontré clairement lorsque les chercheurs ont comparé les dossiers médicaux des amateurs de caféine à ceux qui n’en consomment que peu ou pas du tout.

Les données compilées recoupaient les dossiers de 200 000 hommes et femmes, ce qui s’avère suffisant pour parler d’une recherche exhaustive!

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Les dossiers médicaux numériques pour réduire les coûts

Une nouvelle étude confirme une réduction de coûts possible pour les systèmes de santé grâce à la numérisation des dossiers médicaux.

C’est la conclusion proposée par les chercheurs de l’Université du Michigan et rapportée par The National Library of Medicine. Julia Adler-Milstein était en tête de ce projet.

La première analyse parle d’une réduction des frais de l’ordre de 5 $ par patient, par mois, après l’instauration d’un système électronique des dossiers médicaux.

« Je crois qu’il y a plusieurs raisons de croire que nos analyses vont s’avérer exactes », lance Adler-Milstein.

Le gouvernement américain s’était déjà engagé à offrir 30 milliards de dollars pour la numérisation des dossiers médicaux, une décision qui serait excellente si on se base sur les résultats de la présente recherche.

Le Québec voulait également emprunter cette voie, ce qui n’est toujours pas écarté, mais il a connu des problèmes majeurs depuis la première tentative.

nouvelle étude confirme une réduction de coûts possible pour les systèmes de santé grâce à la numérisation des dossiers médicaux.

C’est la conclusion proposée par les chercheurs de l’Université du Michigan et rapportée par The National Library of Medicine. Julia Adler-Milstein était en tête de ce projet.

La première analyse parle d’une réduction des frais de l’ordre de 5 $ par patient, par mois, après l’instauration d’un système électronique des dossiers médicaux.

« Je crois qu’il y a plusieurs raisons de croire que nos analyses vont s’avérer exactes », lance Adler-Milstein.

Le gouvernement américain s’était déjà engagé à offrir 30 milliards de dollars pour la numérisation des dossiers médicaux, une décision qui serait excellente si on se base sur les résultats de la présente recherche.

Le Québec voulait également emprunter cette voie, ce qui n’est toujours pas écarté, mais il a connu des problèmes majeurs depuis la première tentative.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le beurre d’arachides ne serait pas nécessairement un allié santé

Le bon vieux beurre d’arachides, qui survit aux décennies qui se suivent, demeure un choix de prédilection des consommateurs au petit déjeuner.

On le vante souvent pour ses qualités nutritives, l’aliment faisant même partie du groupe des viandes et substituts. Sauf que toutes ces louanges pourraient masquer les effets sournois du beurre d’arachides sur la santé, selon Authority Nutrition.

En effet, un journaliste s’est penché sur la question, lui qui admet adorer le produit.

Lorsqu’il regarde de plus près les effets et les apports du beurre d’arachides, il fait plusieurs constatations. À commencer par le fait que le produit ne semble pas lui procurer un réel sentiment de satiété, comparativement à d’autres aliments.

Il met ensuite en garde contre plusieurs compagnies qui produisent certains beurres d’arachides auxquels on aurait ajouté d’autres produits, comme du sucre.

Il admet cependant que plusieurs bons produits ne comprenant que des arachides sont proposés sur le marché, sauf que tous ces produits possèdent la même caractéristique : ils sont gras et caloriques.

Chaque 100 grammes de beurre d’arachides contiendrait environ 50 grammes de gras et un taux élevé de calories, ce qui suggère que la tartinade devrait être utilisée de façon modérée, spécialement pour ceux qui désirent perdre du poids.

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Les hommes obéissent, les femmes confrontent?

Une étude dévoile certains traits de caractère observés chez les hommes et les femmes qui s’unissent pour tenter la belle aventure du couple.

Les conclusions proposées par les chercheurs de l’Université de l’Arizona, et rapportées ici par Top Santé, font état d’un fait qui ne surprendra pas les foules et qui peut être interprété de deux façons, selon le terme utilisé.

Ainsi, selon les chercheurs américains, les hommes seraient plus « coopératifs » que leur compagne au sein du couple, c’est-à-dire qu’ils seraient plus enclins à choisir la même opinion que celle-ci afin d’éviter toute source de conflits.

Les femmes, quant à elle, seraient plus rapides à confronter le partenaire (ou qui que ce soit d’autre), peu importe la situation.

De bien beaux termes qui signifient, en vérité, que les hommes sont plus portés à la soumission, et les femmes au débat.

« La coopération est quelque chose de précieux et d’important dans une relation épanouie, mais les hommes et les femmes ne la vivent pas de la même manière. Cette étude donne une autre piste pour comprendre comment les émotions des partenaires peuvent être liées, mais de plus amples recherches sont nécessaires pour comprendre comment ces réponses émotionnelles peuvent au final contribuer à la longévité ou au terme d’une relation amoureuse », résume Ashley Randall, qui mène l’étude, par ailleurs effectuée sur 44 couples volontaires.

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150 minutes d’activité physique par semaine : comment les diviser?

La plupart des organisations de la santé et des spécialistes vous confirmeront que le temps idéal qui devrait être accordé à l’exercice physique de façon hebdomadaire oscille autour de 150 minutes.

Malgré la bonne volonté et la conscientisation, le temps peut se faire rare pour plusieurs personnes en cette ère moderne et il peut devenir extrêmement difficile, voire impossible pour certains, de trouver une plage de temps de façon quotidienne.

Alors, peut-on transposer, par exemple, cinq séances quotidiennes de trente minutes par une seule longue séance de 150 minutes durant le week-end?

C’est la question qu’ont abordée des chercheurs canadiens, qui reprennent les conclusions publiées initialement dans le magazine Applied Physiology, Nutrition and Metabolism, ensuite rapportées par Santé Log.

Après moult analyses et études de dossiers précédents, les chercheurs basés à Kingston (Ontario) concluent que bien qu’il soit bénéfique de bouger tous les jours, il est bel et bien possible de retirer tout autant de bénéfices en effectuant ce fameux 150 minutes d’activité physique d’un seul coup!

Une excellente nouvelle, qui permettrait donc à chacun de choisir le moment qui lui convient le mieux dans la semaine pour une séance d’activité physique.

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Les pesticides pourraient expliquer une partie de la hausse des cas de cancer

Top Santé rapporte des conclusions émises par l’INSERM, qui s’inquiète du possible (et probable) lien entre l’utilisation de plus en plus massive des pesticides et les hausses globales de cas de cancer.

Il ne s’agit pas d’un constat lancé en l’air ni d’un rapport précipité, puisqu’on apprend que l’INSERM a analysé pratiquement toutes les études et recherches précédentes sur le sujet afin d’en arriver à une conclusion efficace.

De plus, l’exercice a été commandé par la DGS (Direction générale de la Santé) en France, qui désire mieux comprendre le phénomène et la possible cause à effet.

Les pesticides utilisés en agriculture et qui se retrouvent indirectement dans notre assiette seraient donc bel et bien responsables de la montée de certaines maladies comme le Parkinson et le cancer (de la prostate, notamment), en plus d’être visiblement néfastes pour le développement des enfants et d’augmenter les risques de leucémie.

Les chiffres avancés ici sont trop longs pour tous les partager en entier, mais il suffit d’y jeter un œil pour être assuré qu’il existe bel et bien un malaise profond dans notre façon d’aborder la consommation et en ce qui concerne le respect du consommateur.