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La thérapie devrait être privilégiée après un diagnostic de dépression

La montée en flèche des prescriptions et de la consommation d’antidépresseurs a de quoi inquiéter. Véritable solution miracle qui permet de ne pas faire face à la racine du mal, de plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que les statistiques en matière d’antidépresseurs dépassent les bornes.

Des opinions qui seront renforcées par cette nouvelle étude rapportée par Top Santé, qui fait état des taux de succès de la psychothérapie, presque aussi efficace que le Prozac et ses homologues.

La recherche, en provenance de la Suisse, compile les résultats obtenus par différentes approches tentées auprès de patients dépressifs (198 études compilées, 15 000 patients au total).

Les résultats sont clairs pour le Dr Jürgen Barth, il faudra manifestement privilégier les options de thérapie dans le futur.

Moins dangereuses que les antidépresseurs, les différentes thérapies possibles ont également l’avantage de creuser le problème original et de tenter de régler le trouble dépressif à la source.

Il est à souhaiter que ce genre de message fasse son chemin à travers la population mondiale.

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Les Japonais s’attaquent à nos rêves

Top Santé rapporte que des scientifiques japonais se sont penchés sur les rêves humains et auraient mis au point une nouvelle méthode de décryptage et d’analyse pour mieux les comprendre.

Les chercheurs asiatiques ont décidé d’utiliser une technique d’essais et erreurs afin d’en venir à un système de décodage fonctionnel des rêves. En effet, l’équipe japonaise a analysé les phases de sommeil de trois sujets, et a dû les réveiller à chacune d’elles afin que ceux-ci racontent leurs histoires.

En associant chacun de ces rêves à des thématiques et des descriptions, les chercheurs ont pu en venir à un genre de « dictionnaire » des rêves ultrasophistiqué.

« Les rêves sont représentés par des schémas d’activité cérébrale qui fournissent un moyen de découvrir leur contenu », résume l’un des chercheurs de l’équipe en tête de l’étude.

Puis, afin de vérifier l’efficacité de la méthode, ils ont ensuite essayé de deviner les rêves des sujets, en analysant ces fameux signaux cérébraux précédemment déterminés.

S’ils n’en sont qu’à un taux de succès de 60 à 70 %, ce qui n’est pas mauvais, les chercheurs croient qu’ils sont sur la bonne voie et qu’ils pourront bientôt analyser et « archiver » les rêves, ce qui permettra aux gens qui le désirent de savoir, se souvenir et mieux comprendre les rêves qui hantent leurs nuits.

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Amy Winehouse – la deuxième analyse n’a servi à rien

La cause du décès d’Amy Winehouse demeure inchangée. La nouvelle coroner en place doit désormais se ronger les sangs à la suite de ses allégations et de sa demande de réouverture de l’enquête.

C’est ce matin, 8 janvier, que l’information a été confirmée à la cour du coroner de St Pancras, le même endroit que lors du premier verdict. Ainsi, digitalspy.ca rapporte que la chanteuse, décédée à l’âge de 27 ans, le 23 juillet 2011, a bel et bien succombé à un empoisonnement accidentel à l’alcool.

Une poursuite a été lancée contre le Dr Andrew Reid, destitué de son poste de coroner après avoir embauché son épouse « non qualifiée » pour l’analyse des preuves.

À la suite de ce second verdict, aucune information n’a été dévoilée, à savoir si la poursuite demeure.

Quant au père de la défunte, Mitch Winehouse, il était furieux de cette nouvelle requête, après les démarches déjà controversées du mandat du premier coroner. Il avait fait mention qu’il ne serait pas présent lors de l’annonce du second verdict.

« Je ne ferai pas traverser cela à ma famille une fois de plus. Je n’irai pas. Et je peux déjà vous dire que le résultat sera le même », avait alors déclaré Winehouse qui, somme toute, avait raison.

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Bientôt une application pour allergiques

La technologie fait des miracles chaque jour dans le domaine de la santé, non seulement en milieu hospitalier où des vies sont sauvées, mais aussi quotidiennement dans des contextes un peu plus banals, mais tout aussi importants.

Voilà qu’une autre percée pourrait bien venir changer la vie des gens aux prises avec des problèmes d’allergies alimentaires fréquentes, puisque santelog.com rapporte qu’une nouvelle application de téléphone intelligent ferait bientôt son apparition sur le marché… afin de détecter les allergènes!

Donc, plus question de s’inquiéter avant de prendre une bouchée qui pourrait s’avérer fatidique, puisque l’application détecterait les dangers avant qu’ils soient dans votre bouche.

Science-fiction? Pas vraiment. Bien que cela semble impossible, on comprend que la personne qui veut utiliser ce système devra se procurer un dispositif spécial (appelé pour l’instant iTube) qui permettra d’évaluer si le repas devant vous est dangereux pour vos allergies ou non.

Il faudra également attendre 20 minutes avant que l’application termine le processus, expliquent les chercheurs californiens (UCLA) qui ont créé la technologie.

On s’attend à ce qu’une commercialisation du produit soit imminente, et qu’il connaisse un énorme succès

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Une nouvelle percée permet de mieux comprendre le développement du SIDA

Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter le processus de déclenchement et de développement du virus du SIDA. Il s’agit d’une percée majeure qui pourrait bien paver la voie à d’autres avancées majeures.

Ce sont des bio-informaticiens de l’Université Pompeu Fabra, à Barcelone en Espagne, qui ont réussi le tour de force en utilisant la science et la technologie à leur avantage pour « décoder » la manière dont une protéine s’y prend pour déclencher la maturation du virus dans l’organisme.

Les chercheurs ont bon espoir de voir cette découverte permettre de faire avancer considérablement la quête de traitement du VIH, selon ce qu’ils déclarent dans un article paru dans la plus récente édition des Actes de l’Académie américaine des Sciences.

Utilisant des principes de simulation moléculaire, les chercheurs ont reconstitué les étapes de la maturation des virions, des particules virales, qui passent subitement de l’inertie complète à un mode infectieux radical. Le virus peut ensuite se répliquer à sa guise.

La protéine qui déclenche toute l’opération se nomme « protéase du VIH », et elle agirait comme des ciseaux, découpant toute la chaîne des protéines qui forment le VIH, les rendant « libres » et individuelles. Celles-ci sont ensuite à même de devenir des bases pour de nouvelles particules virales.

Il s’agit d’une découverte étonnante, car jamais on n’avait aussi bien compris le fonctionnement et le développement du VIH, concèdent les experts.

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Le speed-dating stimulerait des zones clés du cerveau

Au royaume des études, en voici une qui sort de l’ordinaire et du cadre général de la santé mentale, mais qui touche un sujet si important aux yeux de tous (ou presque) : l’amour et la séduction.

Plus précisément, l’étude dont il est question est en lien avec le speed-dating, cette méthode moderne de rencontre qui place plusieurs candidats en face de vous, les uns après les autres, dans un très court laps de temps.

Or, il semble que ce phénomène permette de mieux comprendre de quelle manière les gens se font une idée d’autrui, souvent basée sur le physique et sur la première impression. C’est du moins ce qu’ont voulu observer les chercheurs de l’étude, rapporte www.nlm.nih.gov.

Et ils ont réussi à distinguer deux zones clés du cerveau qui s’affairent lorsqu’on est en processus de décision et de jugement, en l’occurrence ici stimulées par deux facteurs : l’apparence physique et la compatibilité.

Le Dr John O’Doherty, coauteur de l’étude, est très heureux de ces percées en matière d’analyse du cerveau.

« Les psychologues savent depuis un bon moment que les gens forment souvent des jugements rapidement, avec très peu de détails ou d’informations. Malgré tout, très peu de choses sont connues à propos de la façon dont ce processus fonctionne physiquement et concrètement, et surtout de quels impacts ce genre de comportement peut avoir sur nos interactions sociales et ses conséquences », conclut O’Doherty.

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Une diète riche en protéines pour favoriser la perte de poids

Les gens qui consomment beaucoup de protéines lors de leurs repas et collations pourraient bien réussir à perdre quelques livres de plus que les autres, selon www.nlm.nih.gov.

Ces résultats proviennent d’une analyse de plusieurs études qui tendent à démontrer que sur une période de 12 semaines, ceux qui ont haussé leur consommation de protéines auraient perdu 1,8 livre de plus que ceux qui en mangeaient moins.

Tous les autres facteurs alimentaires devaient être similaires entre les groupes de gens étudiés, afin d’en venir à ces conclusions.

Ainsi, les protéines pourraient aider ceux qui aimeraient perdre quelques livres, raconte le Dr Thomas Wycherley, de l’Université d’Australie du Sud.

Il explique : « Les pertes de poids du groupe super-protéiné étaient supérieures, mais de façon modeste. Même à faible échelle, ceci peut tout de même signifier une importance clinique pour la population en général ».

Aucun changement n’a toutefois été observé en ce qui a trait aux taux de cholestérol ou de pression sanguine chez un groupe ou l’autre, précise l’étude.

Dr Wicherley émet l’hypothèse que le corps dépenserait peut-être plus de calories en brûlant des protéines que d’autres éléments.

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Une analyse sanguine pour détecter le cancer du côlon

La Saskatchewan vient d’être la première province canadienne à permettre le recours à l’analyse sanguine pour poser un diagnostic de cancer du côlon.
 
Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus répandu et le plus meurtrier. Par contre, lorsqu’il est décelé à un stade précoce, il se traite bien dans 90 % des cas.
 
5 000 patients ont participé aux essais cliniques qui ont donné des résultats plus que prometteurs. Dans 87 % des cas, on a pu détecter un cancer du côlon à un stade précoce grâce à l’analyse de sang.
 
Ces tests ont été menés par Phenomenome Discoveries. Dans l’échantillon sanguin du patient, on mesure le niveau de métabolites, ceux-ci étant déficients chez les personnes atteintes de cancer colorectal.
 
Espérons que cette nouvelle façon de poser un diagnostic s’étende au reste du pays, ce qui permettra de mieux traiter les patients, et ce, dans les plus brefs délais, favorisant ainsi la guérison.