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Dans les coulisses

Les Coyotes veulent prolonger le contrat d’André Tourigny

Depuis son arrivée en Arizona, l’entraîneur-chef André Tourigny n’a pas transformé le visage des Coyotes. Il a toutefois fait de l’assez bon travail pour convaincre ses patrons de vouloir prolonger son contrat.

Le directeur général des Coyotes, Bill Armstrong, a dévoilé à NHL.com qu’il espère pouvoir prolonger l’entente qui lie Tourigny au Coyotes.

Armstrong est content du travail réalisé par Tourigny lors de la « phase 1 » de leur plan de reconstruction. La « phase 2 » commencerait bientôt et le DG veut pouvoir garder le même pilote pendant cette deuxième opération.

En fait, le Québécois amorce la troisième et dernière année du contrat qu’il a signé avec les Coyotes en 2021. Au cours des deux dernières saisons, Tourigny possède une fiche de 53-90-21. C’est loin d’être glorieux, mais il ne faut pas oublier que l’équipe est en reconstruction, donc la fiche ne sert pas à illustrer grand chose.

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Même s’il s’agit de la dernière année de son contrat, Tourigny a confirmé à NHL.com qu’il ne changera pas d’attitude. Il croit que de se concentrer sur le contrat deviendrait une distraction et que, s’il fait bien son travail, tout va se dérouler comme prévu.

La prolongation de son contrat ne devrait pas inquiéter l’entraîneur-chef de toute façon, puisque même les joueurs veulent le garder en place.

Jason Zucker a signé un contrat d’un an avec les Coyotes le 1er juillet dernier et il avoue qu’il aimerait rester avec la formation de l’Arizona à long terme. Il explique même que sa décision a été influencée par André Tourigny et qu’il veut travailler avec lui.

En fait, Tourigny a créé un environnement sain pour les joueurs de l’Arizona. Même si leur amphithéâtre est très petit, les joueurs semblent heureux de venir pratiquer et jouer. Ça fait partie du travail qu’a fait Tourigny pour que tout le monde se sente bien.

Maintenant que la « phase 1 » du plan de reconstruction des Coyotes est terminée, André Tourigny veut jouer et remporter des matchs importants. La dernière participations des Coyotes aux séries éliminatoires remonte à 2020, alors qu’ils s’étaient inclinés en première ronde face à l’Avalanche dans la bulle.

Je ne pense pas que les Coyotes vont être menaçants dès cette année, mais ce ne sera pas bien long. Les jeunes joueurs qu’ils ont repêché vont lentement arriver et remodeler l’image que tout le monde a de l’Arizona.

Et André Tourigny devrait être là pour diriger l’équipe vers le succès.

En rafale

– Deux nouveaux membres au Temple.

– Ça continue de bien aller pour Julien.

– Il faudra attendre un peu avant de revoir Ohtani au monticule des Angels.

– Ça ne se termine pas très bien.

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Habsolument Fan

André Tourigny a lancé un avertissement clair à ses patrons des Coyotes

Tel que nous vous le rapportions plus tôt, le Canadien est présentement dans une chaude lutte avec les Coyotes de l’Arizona à savoir quelle équipe terminera au 27e rang total du classement général de la LNH et laquelle terminera 28e.

Il y a d’ailleurs une énorme différence entre les deux positions par rapport à la loterie du repêchage et les implications sont majeures.

Le Canadien a présentement le contrôle de sa destinée grâce à une incroyable victoire des Coyotes ce weekend face aux Ducks d’Anaheim. Alors que les Ducks ont pris les devants par la marque de 4 à 3 avec environ deux minutes à faire à la troisième période, les Coyotes ont enlevé leur gardien et réussi à créer l’égalité 4 à 4 avec une trentaine de secondes à faire, puis l’ont emporté en prolongation.


Il n’est d’ailleurs pas surprenant de voir l’équipe d’André Tourigny jouer chacun de ses matchs en tentant de gagner, lui qui a affirmé avoir lancé un important avertissement à son DG Bill Armstrong lorsqu’il a été embauché. Nous avons déniché pour vous des archives un extrait il y a quelques semaines de passage récemment à l’émission Hors-Jeu 2.0 sur les ondes de RDS, dans lequel Tourigny dévoilait l’essence de leur conversation.

« Je l’ai dit avant d’avoir la job au GM et au propriétaire: ‘Moi ma job c’est de maximiser ce qu’on a. Si vous voulez avoir le premier choix, c’est pas ma job à moi, c’est la job au GM. Lui, qu’y s’arrange pour qu’on soit pas assez bons pour gagner des games. Moi, ce qu’on a si j’en ai pour 2$ j’essaie de faire 3$ avec. Si j’ai 100$, j’essaie de faire 110$ avec.' »

– André Tourigny

Une fois de plus, le très apprécié entraîneur-chef Québecois n’a pas peur de dire les vraies affaires et on peut facilement comprendre qu’il n’acceptera jamais de jouer pour perdre.

On se rappellera plus tôt cette saison quand le comissaire Gary Bettman avait affirmé en point de presse que les équipes de la LNH ne tankaient pas dans le but de terminer bas au classement et obtenir un meilleur choix au repêchage. Techniquement, il n’a pas tort puisque, en effet, ni les joueurs ou les entraîneurs ne tenteront jamais de jouer pour perdre, eux qui pour la plupart, se battent chaque soir pour leur job et certains jouent pour un contrat l’année suivante. Par contre, les DG’s, eux, peuvent tenter de mettre des bâtons dans les roues de leur propre formation en espérant saboter les efforts de l’entraîneur-chef et des joueurs en leur enlevant des éléments importants.

Bref, il s’agit d’une excellente nouvelle pour les partisans du Canadien qui peuvent être assurés que Tourigny et les Coyotes tenteront réellement de remporter leurs deux derniers matchs (ce soir face au Kraken et jeudi face aux Canucks) et ne joueront pas pour descendre au classement.

Voyez au bas l’extrait vidéo de l’entrevue en question.

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Habsolument Fan

André Tourigny dit les vraies affaires au sujet du tanking

Tel que nous vous le rapportions plus tôt, le Canadien est présentement dans une chaude lutte avec les Coyotes de l’Arizona à savoir quelle équipe terminera au 27e rang total du classement général de la LNH et laquelle terminera 28e.

Il y a d’ailleurs une énorme différence entre les deux positions par rapport à la loterie du repêchage et les implications sont majeures.

Le Canadien a présentement le contrôle de sa destinée grâce à une incroyable victoire des Coyotes ce weekend face aux Ducks d’Anaheim. Alors que les Ducks ont pris les devants par la marque de 4 à 3 avec environ deux minutes à faire à la troisième période, les Coyotes ont enlevé leur gardien et réussi à créer l’égalité 4 à 4 avec une trentaine de secondes à faire, puis l’ont emporté en prolongation.


Il n’est d’ailleurs pas surprenant de voir l’équipe d’André Tourigny jouer chacun de ses matchs en tentant de gagner, lui qui a affirmé avoir lancé un important avertissement à son DG Bill Armstrong lorsqu’il a été embauché. Nous avons déniché pour vous des archives un extrait il y a quelques semaines de passage récemment à l’émission Hors-Jeu 2.0 sur les ondes de RDS, dans lequel Tourigny dévoilait l’essence de leur conversation.

« Je l’ai dit avant d’avoir la job au GM et au propriétaire: ‘Moi ma job c’est de maximiser ce qu’on a. Si vous voulez avoir le premier choix, c’est pas ma job à moi, c’est la job au GM. Lui, qu’y s’arrange pour qu’on soit pas assez bons pour gagner des games. Moi, ce qu’on a si j’en ai pour 2$ j’essaie de faire 3$ avec. Si j’ai 100$, j’essaie de faire 110$ avec.' »

– André Tourigny

Une fois de plus, le très apprécié entraîneur-chef Québecois n’a pas peur de dire les vraies affaires et on peut facilement comprendre qu’il n’acceptera jamais de jouer pour perdre.

On se rappellera plus tôt cette saison quand le comissaire Gary Bettman avait affirmé en point de presse que les équipes de la LNH ne tankaient pas dans le but de terminer bas au classement et obtenir un meilleur choix au repêchage. Techniquement, il n’a pas tort puisque, en effet, ni les joueurs ou les entraîneurs ne tenteront jamais de jouer pour perdre, eux qui pour la plupart, se battent chaque soir pour leur job et certains jouent pour un contrat l’année suivante. Par contre, les DG’s, eux, peuvent tenter de mettre des bâtons dans les roues de leur propre formation en espérant saboter les efforts de l’entraîneur-chef et des joueurs en leur enlevant des éléments importants.

Bref, il s’agit d’une excellente nouvelle pour les partisans du Canadien qui peuvent être assurés que Tourigny et les Coyotes tenteront réellement de remporter leur dernier match de la saison (jeudi face aux Canucks de Vancouver) et ne joueront pas pour descendre au classement.

Voyez au bas l’extrait vidéo de l’entrevue en question.

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Dans les coulisses

André Tourigny et Martin St-Louis: deux mentalités semblables

L’entraîneur-chef des Coyotes de l’Arizona, André Tourigny, a beaucoup de pain sur la planche pour les prochaines années à suivre avec le club de l’Ouest. Il doit passer par une reconstruction avec les Coyotes.

Le club de la division centrale a fini à l’avant-dernier rang de la LNH l’an dernier avec une fiche de 25-50-7. Seul le Canadien a fini derrière eux au classement, avec seulement deux petits points de retard.

Les deux équipes se retrouvent présentement en reconstruction, eles qui sont bien équipées en espoirs et en choix de repêchage dans les prochaines années. Deux équipes qui risquent de trouver l’année longue.

Le Journal de Montréal a interviewé André Tourigny aujourd’hui, à la veille de l’affrontement entre le CH et les Coyotes.

Montréal et Arizona ne devraient pas participer aux séries cette saison et les deux équipes pourraient encore bénificer d’un haut choix au repêchage cet été, dans une cuvée fort intéressante.

Au haut de la liste, on retrouve Connor Bedard, qui fait palpiter plusieurs amateurs de hockey depuis son arrivée au niveau junior majeur. S’en est à se demander si ce joueur pourrait être la priorité de la direction des Coyotes cette année.

Tourigny n’a cependant pas son mot à dire sur ça.

«Ça ne se passe pas à mon niveau. Ça se passe au niveau au-dessus de moi. Ma job, ce n’est même pas de l’accepter ou non. Mon travail, c’est de soutirer le meilleur des 23 gars que j’ai sous la main.» – André Tourigny

Martin St-Louis et André Tourigny semblent avoir une méthode similaire avec leurs joueurs. Les deux entraîneurs québécois ne s’attendent pas nécessairement à avoir des résultats concrets de leur effectif, mais ils prônent plutôt l’effort et le processus.

«Chaque organisation a sa façon de voir les choses. Il y en a qui veulent commencer à bâtir par les habiletés, la défense, le mouvement de la rondelle. Nous, on veut regarder le dévouement des gars auprès de l’équipe.» – André Tourigny.

En gros, les statistiques viennent en deuxième lieu, surtout si un joueur démontre de belles choses et qu’il travaille pour apporter le meilleur de lui-même.

«On va évaluer l’effort qu’ils mettent en replis défensifs, en attaque. On va regarder l’intensité avec laquelle ils foncent au filet. Quand tu as ça, tu es sur la bonne voie. Tu peux commencer à bâtir, tu peux être meilleur dans ton système.» – André Tourigny

St-Louis l’a souvent dit, les jeunes vont faire des erreurs, et c’est tout à fait normal. S’ils commetent des erreurs, ils apprendront rapidement, de sortes à ne plus les refaire par la suite.

Sur papier, le CH a plus de chances de gagner que les Coyotes, mais avec la présence de jeunes joueurs talentueux comme Dylan Guenther, et des performances surprises comme Nick Ritchie et Shayne Gostisbehere, tout peut arriver. Ritchie compte déjà cinq des neuf buts de l’équipe avec l’avantage d’un homme. Quant à Gostisbehere, il a récolté quatre mentions d’aide lors de l »attaque massive.

Parsemées de vétérans, les deux équipes n’ont aucunement l’étoffe d’une équipe aspirante. Sans réel gardien numéro un, avec seulement un ou deux joueurs étoiles dans l’alignement et un manque crucial de profondeur (sauf peut-être l’attaque du CH), les chances que les deux pires clubs de l’an dernier obtiennent un choix de loterie cet été sont très élevées.

D’ailleurs, le Canadien a aussi le choix de premier tour des Panthers de la Floride, qui viennent tout juste de perdre les services de leur défenseur étoile.

Avec une brigade défensive déficiente des deux côtés, ce sera assez ardu de récolter de multiples victoires, mais le travail acharné des joueurs peut certainement voler quelques parties au courant de la saison.

En rafale

– Tony Marinaro semble bien aimer le jeune Guhle.

– La Sainte-Flanelle donne un excellent défi à leurs rivaux.

– Le défenseur mène la ligue pour les tirs bloqués cette année.

– Entrevue intéressante avec le petit frère de Jacob Perreault des Ducks.

– Les Bulls toujours aussi populaire après l’ère Michael Jordan.

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Dans les coulisses

Kirby Dach: il faut apprendre à le connaître, selon André Tourigny

Depuis son arrivée à Montréal, plusieurs yeux sont rivés sur Kirby Dach. Ennuyé par plusieurs blessures au début de sa carrière, il devra travailler pour atteindre le sommet de son potentiel qui a un plafond assez élevé.

L’entraîneur-chef des Coyotes de l’Arizona, André Tourigny, était de passage à l’émission du retour du BPM Sports, vendredi. Il en a profité pour parler de Kirby Dach, qu’il a côtoyé pour la première fois à la Coupe Hlinka Gretzky de 2018 avec le Canada.

Tourigny n’avait que de bons mots pour le joueur de 21 ans. Il a même expliqué qu’il paraît nonchalant, mais ne l’est pas vraiment. En fait, il ne l’a pas dit de cette manière. C’était un peu plus explicite.

Ça peut sembler très cru, mais on le voit que c’est sincère. Il a raison, Kirby Dach a l’air très sérieux en permanence, mais il ne faut pas penser qu’il s’en fout.

Au contraire, présentement, Dach a tout à perdre. Il a beaucoup de pression sur les épaules après avoir été acquis en retour d’un bon jeune défenseur en Alex Romanov. Pour l’instant, il connait un très bon camp d’entrainement et on sent qu’il se donne à l’ouvrage.

Il a justement marqué, jeudi soir, contre les Sénateurs d’Ottawa. Il est sur la bonne voie.

André Tourigny a toujours aimé Kirby Dach. Il l’a côtoyé pendant quelques semaines seulement, pour des compétitions internationales, mais ça semble avoir été assez pour marquer son esprit.

Il ventait déjà le talent de Dach, quelques jours après le repêchage, cet été. Est-ce qu’il atteindra le sommet de son potentiel? Seul l’avenir nous le dira, mais une chose est sûre ; son parcours commence bien et son ancien entraineur avec Équipe Canada l’a remarqué.

En rafale

– Slafkovsky continue de s’améliorer selon Dany Dubé.

– Le jeunes ne devraient pas être empêchés de faire du sport.

– De lourds mots d’Alexandre Picard.

– Plus le droit à l’erreur pour les Blue Jays.

– Les Américaines perdent contre les championnes en titre de l’Euro.

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Sport

André Tourigny mériterait de gagner

Des entraîneurs comme Alain Vigneault ou Michel Therrien réussissent à revenir ou demeurer au sein de la Ligue nationale. Depuis plusieurs années derrière un banc de la Ligue nationale, ces gars-là n’ont jamais gagné le gros trophée argenté, mais ils continuent d’obtenir la confiance des exécutifs du circuit. C’est simple, ils ont de l’expérience de la Ligue nationale, donc, juste ça, c’est suffisant pour séduire un propriétaire. Il ne faut pas chercher plus loin.

Pendant ce temps là, des entraîneurs comme Benoît Groulx ou André Tourigny n’ont toujours pas coaché un seul match au sein de la LNH. Grant McCagg est un fervent amateur de Tourigny, qui vient juste de voir Nick Suzuki sortir son club, les 67’s d’Ottawa, en finale de la OHL. Ce qui met un peu d’ombre à côté de son nom, lui qui n’a pas encore gagné au sein de la LCH (incluant la LHJMQ et la OHL). Après une saison régulière de 50 gains, Tourigny et ses poulains se retrouvent en vacances… sans trophée.

C’est vrai, McCagg a raison… en quelque sorte. Les mêmes entraîneurs qui n’ont jamais réussi à soulever la Coupe Stanley continuent d’obtenir du boulot. Mais certains coachs qui gagnent régulièrement dans le junior n’ont pas cette chance de venir guider une formation de la LNH. OK. Tourigny est un homme de hockey que je respecte, il est rempli de qualités et il guide très bien ses troupes, mais a-t-il gagné plus que Therrien et/ou Vigneault? McCagg parle de gagner… la question est juste de comprendre puisqu’André Tourigny n’a toujours aucune coupe de soulevée au niveau junior. Toutefois, malgré cela, il mérite d’obtenir un poste dans la LNH puisqu’il a tous les attributs.

Bref, à partir de là, est-ce juste de dire que Vigneault ou Therrien ne gagnent pas et que Tourigny gagne? Non. Le jour ou Tourigny gagnera une coupe du Président et une Coupe Memorial, là, on pourra dire qu’il a gagné. Je répète, Tourigny a de solides aptitudes et beaucoup de caractère, mais il n’a pas réussi le grand exploit de la Memorial encore… avec tout le talent qu’il a. C’est un gagnant certes, mais il lui manque deux trophées d’importance.

En rafale

– La santé mentale, le genre d’article qui me parle.

– Il y aura un 7e duel au sein de la WHL.

– Timo Meier est encore attaché à ses anciennes amour de la LHJMQ.

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Sport

Une logique simple : Bouchard à Montréal et Tourigny à Laval

Claude Julien souhaite ajouter un ancien défenseur à son groupe d’adjoints afin de bien gérer sa brigade. Possiblement mieux que le faisait Jean-Jacques Daigneault puisqu’on gentiment décidé de ne pas poursuivre l’aventure avec lui. Cela dit, même si André Tourigny n’est pas un ancien défenseur de la LNH, il demeure un excellent candidat pour le Canadien. Et cette organisation doit le rencontrer. À moins que ce soit déjà fait?

Le Tou a un parcours très étoffé. Après une décennie à Rouyn-Noranda, à tenir les guides des Huskies, il a quitté vers le Colorado avec le Roy Patrick et après son départ de Denver, il est devenu assistant à Ottawa. Depuis la fin de son parcours au sein de la LNH, il a piloté les Mooseheads de Halifax et il est actuellement entraîneur et vice-président des opérations hockey des 67’s d’Ottawa. L’homme de 44 ans a également oeuvré avec le programme canadien.

Tout comme Dominique Ducharme et Joël Bouchard, il est sans aucun doute un produit québécois de très grande qualité. On a tendance à oublier son nom puisqu’il besogne désormais dans la OHL, mais il n’en demeure pas moins qu’il a toutes les qualités pour remplir un rôle chez cette Sainte-Flanelle de Montréal. Félix Séguin le rappelle d’ailleurs dans son billet à ce sujet : Tourigny a travaillé avec de grands défenseurs lors de son trajet avec le Canada, Ryan Ellis, Alex Pietrangelo, Travis Hamonic, Tyson Barrie et Erik Karlsson.

Le plan idéal pour le Canadien serait peut-être le suivant : Joël Bouchard derrière le banc du Canadien à prendre soin des défenseurs, lui qui a joué à cette position dans la LNH. Puis, à Laval, André Tourigny qui ramasse le poste d’entraîneur en chef du Rocket de Laval. Voilà. C’est réglé! Séguin a d’ailleurs souligné que le Canadien observait Tourigny depuis plusieurs années. Donc… on attend quoi?

En rafale

– Il existe vraiment, mais il n’est pas pressé de rejoindre les Blackhawks de Chicago.

Euh… Quels amis?

– Il faut dire que les joueurs de Joël Bouchard, chez l’Armada, sont très populaires.

– Finalement, voici le plan pour le futur de Jean Pascal.

– Wow. Elle a seulement misé 18 dollars et elle a remporté 1.2 million de dollars.