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La consommation de fruits liée à la baisse de risque d’anévrisme aortique

L’anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

quo;anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Nouvelle thérapie pour les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme

Des chercheurs israéliens proposent une nouvelle façon de faire pour aider les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme à se rétablir complètement, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit d’une thérapie qui utilise l’oxygène pour accélérer le processus de rétablissement des patients à la suite d’un AVC ou d’une crise cardiaque. Ce n’est pas une nouvelle méthode en soi, puisque celle-ci est utilisée dans d’autres domaines et est connue sous le nom de thérapie hyperbare (utilisé notamment dans le sport professionnel).

Les chercheurs israéliens voulaient cette fois déterminer avec certitude les effets de la méthode hyperbare sur leurs patients, et ils ont réussi. Selon eux, tous les 59 patients observés lors de l’étude ont démontré des signes avancés de rétablissement précoce, à plus ou moins grande échelle.

Pour certains patients, les chercheurs parlent carrément d’une « amélioration radicale ».

La thérapie par oxygène cible particulièrement les lésions cérébrales causées par des accidents de type AVC, permettant de les soigner et de ramener le cerveau à son état fonctionnel antérieur.

On note particulièrement le cas d’une dame âgée de 62 ans qui a retrouvé la capacité de lire, parler, écrire, manger et marcher grâce à cette méthode.

Il s’agit d’un grand pas en avant pour des millions de patients à travers le monde, victimes de crise cardiaque et de rupture d’anévrisme.

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Une maladie des gencives pourrait être reliée à un problème médical beaucoup plus grave

L’équipe du Dr Jean-Baptiste Michel vient de mettre en lumière qu’une inflammation des gencives pouvait cacher quelque chose de plus important.
 
Leur étude, faite à l’Institut national de santé et recherches médicales (Inserm), établit un lien de cause à effet entre la présence de la bactérie Porphyromonas gingivalis, responsable de la maladie des gencives, et la digestion de la paroi de l’aorte abdominale qui peut causer l’anévrisme.
 
Cette bactérie affecte les cellules immunitaires et libère l’élastase qui gruge la paroi de l’aorte en empêchant la cicatrisation habituelle.
 
L’anévrisme de l’aorte abdominale peut toucher jusqu’à 9 % des adultes et Le Parisien mentionne qu’il est responsable de 1 à 2 % des décès des hommes de plus de 65 ans.
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Une anomalie cardiaque augmente les risques d’anévrisme

Le Dr Wouter Schievink et ses collègues du centre médical Cedars-Sinai à Los Angeles affirment qu’un défaut congénital commun augmente considérablement les risques d’anévrisme.
 
Cette anomalie, appelée valve aortique bicuspide, consiste en la valve de l’aorte qui ne se referme pas totalement. Ainsi, du sang passe entre l’artère la plus importante et le cœur.
 
2 % de la population nait avec cette anomalie. Plusieurs n’auront jamais de problèmes au cours de leur vie, mais certaines personnes auront des fuites de sang de la valve ou encore un rétrécissement de celle-ci.
 
Le journal Neurology rapporte que 61 personnes avec cette anomalie ont été étudiées ainsi que 291 autres ayant un cœur normal, mais qui présentaient des symptômes indiquant la présence possible d’une tumeur au cerveau ou d’un anévrisme.
 
9,8 % des personnes avec l’anomalie congénitale avaient un anévrisme, alors que seulement 3 % des 291 autres personnes en avait un.
 
« Bien que plus de recherches soient nécessaires pour confirmer ces résultats, ces derniers montrent une très forte augmentation du risque d’anévrisme au cerveau chez les personnes nées avec une valve aortique bicuspide », confie le Dr Schievink.
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Cigarette rime avec anévrisme

Selon une équipe de chercheurs associés à l’Université du Minnesota, le tabagisme augmente l’incidence d’anévrisme de l’aorte abdominale chez les femmes.

Les fumeuses sont quatre fois plus à risque de subir une rupture d’anévrisme de l’aorte comparativement à celles qui ont cessé de fumer.

Cette statistique passe à un ratio d’un pour huit lorsque les chercheurs comparent les fumeuses avec celles qui n’ont jamais grillé une cigarette.

Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont étudié les dossiers médicaux de 162 000 femmes ménopausées.