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Anik Jean et Patrick Huard font la fête en bonne compagnie

Anik Jean et Patrick Huard avaient le coeur à la fête en fin de semaine dernière et ont passé de bons moments en compagnie de Sandrine Bisson, Marie-Claude Savard et d’autres personnalités!

C’est sous le thème des années 70 que s’est déroulée la fête, que l’on devine pour l’anniversaire d’Anik Jean qui était le 11 avril dernier!

Les couleurs terre comme le brun, le beige et l’orangé étaient à l’honneur alors qu’Anik Jean a quant à elle fièrement porté un bandeau hippie.

Patrick Huard, de son côté, a opté pour la chemise à thématique florale.

Un party très original où nos stars semblent avoir eu bien du plaisir!

Rappelons qu’Anik Jean est née le 11 avril 1977 et qu’elle a donc célébré ses 47 ans.

Joyeux anniversaire, Anik!

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Le nouveau projet d’Anik Jean (et Sébastien Trudel) bientôt disponible!

Anik Jean et Sébastien Trudel dévoilent que leur tout nouveau balado sera disponible dès le… 16 avril!

C’est sur la page Instagram de ce tout nouveau projet intitulé Meurtres & Popcorn que nous apprenions que trois épisodes seront disponibles le 16 avril prochain.

«Le compte à rebours est lancé pour Meurtres & Popcorn! Trois épisodes vous attendent dès le 16 avril. Anik et Sébastien décortiqueront les histoires macabres derrière les films que vous chérissez. Réalité et fiction se confondent dans ce podcast palpitant où le true crime rencontre le cinéma. Gardez votre popcorn à portée de main… si vous l’osez!», nous propose-t-on comme entrée en matière.

Les fans seront donc servis avec ce balado dans lequel Anik et Sébastien décortiqueront les histoires macabres derrière les films que vous chérissez.

Les histoires de Chucky, Hit, Dexter, Le silence des agneaux, seront abordés dans ce nouveau rendez-vous!

Un projet qui semble fort prometteur…

Ne manquez pas les trois premiers épisodes dès le 16 avril!

Aurez-vous le courage?

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Patricia Paquin s’offre un dernier souper avec Patrick Huard et Anik Jean avant de tourner la page

Celle qui a récemment mis en vente sa maison s’est offert un dernier souper avec certains de ses proches amis dans celle-ci avant de remettre les clés et tourner la page sur ce chapitre de sa vie une fois pour toutes.

C’est sur sa page Instagram que Patricia Paquin a partagé une story dans laquelle on la retrouve toute souriante aux côtés de ses amis, soit l’ex-candidat de Big Brother Patrick Côté, son amoureuse, Anik Jean, Patrick Huard et son conjoint le chef Louis-François Marcotte.

«Dernier souper à la maison avec eux», lançait-elle.

Si on se fie aux sourires présents sur la photo, on peut en déduire qu’il s’agissait d’une soirée fort amusante!

Pour voir l’ancienne maison du couple, c’est juste ici!

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Entrevue Anik Jean: «Je me sens à ma place pour la première fois dans ma vie»

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec Anik Jean en marge du visionnement de presse du film Les hommes de ma mère, qu’elle réalise.

Lors de cette entrevue, celle que l’on a connue comme chanteuse et musicienne, mais qui s’avère une artiste multidisciplinaire talentueuse, s’est notamment ouvert sur son expérience de réalisation, mais aussi sur sa vie de famille et sur son amitié avec Léane Labrèche-Dor, qui défend le premier rôle dans son film.

HPQ: «Tu viens de réaliser ton premier long-métrage, comment qualifies-tu ton expérience?»

Anik: «Je veux juste faire d’autres films! (rires) Écoute, je me sens à ma place pour la première fois dans ma vie. Pourtant, j’aimais ça faire de la musique, faire des shows, mais ça n’a rien à voir avec ce que j’ai vécu en faisant le film et ce qu’on vit en plateau de tournage (…) Ça a pris neuf mois faire le film et c’est juste tellement ce que j’ai toujours recherché en fait!»

HPQ: «Qu’est-ce qui a rendu ton expérience si belle?»

Anik: «Bien, là, il faut dire qu’avec tous les acteurs que j’avais, c’était vraiment une super belle expérience. Mais, je pourrais jamais aller plus bas que ça, donc faut toujours que je reste avec des super acteurs! Ils étaient tellement généreux, ils ont tous embarqué dans la game avec moi et ils voulaient que ça marche, qu’on fasse le film, ils me donnaient tellement d’eux autres! Léane, Colm, c’est tellement du monde qui a été généreux et ils ont tous saisi le scénario dès qu’ils l’ont lu et ils sont arrivés avec une proposition et le trois quarts du temps c’était comme: Wow!»

HPQ: «Justement, tu as été cherché Léane (Labrèche-Dor), qui est ton amie, pourquoi sentais-tu que c’était elle qui devait jouer ce rôle-là?»

Anik: «J’ai été en réflexion longtemps là-dessus quand même, parce que pour plein de raisons (…) Un, je me demandais: Elle va-tu vouloir aller là, dans cette histoire-là? Puisqu’elle a perdu sa mère (…) Deuxièmement, c’est mon amie… alors est-ce qu’on va être capable de travailler ensemble sans se dire: Hey la chum? Mais, oui, la réponse a été oui! C’est comme moi et Patrick, quand on travaille ensemble, moi j’oublie que c’est mon mari (…) Je pense que c’est parce qu’on est des artistes et qu’on est capable de faire la différence entre la vraie vie et être dans cette patente-là (rires) parce que tu es vraiment comme dans une bulle, tu es comme dans une affaire qui n’existe pas, mais qui existe (…) Quand tu finis le tournage, tu as un méchant down (…) Tout ça, c’est comme: Bon, je ne les verrai plus (…) C’est une grande famille!»

HPQ: «Tu as déjà mentionné en entrevue avoir peur que de travailler avec Léane change quelque chose à votre amitié, est-ce que c’est déjà quelque chose que tu avais déjà vécu par le passé?»

Anik: «Bien, avec mon chum, ça aurait pu ne pas être beau! C’est de sentir à un moment donné justement des signaux. Si ça arrive, on arrête ça! Léane est tellement professionnelle (…) Ça a tellement été facile travailler avec et on était capable après de déconner, quand c’était fini (…) On était beaucoup plus focus qu’être deux chums pendant tout le tournage. C’était vite, là! 21 jours, fallait que ça clenche!»

HPQ: «De faire ça avec ton conjoint, est-ce que c’est difficile d’arriver le soir et de décrocher du travail?»

Anik: «Oui! Moi, c’est dur. Lui, non! Lui, il est capable dès qu’il rentre dans la maison, le téléphone est off, il est Patrick le père, Patrick l’époux, Patrick le gars! Moi, quand j’arrive, je suis comme: Hey, en tout cas quand j’ai tourné telle affaire nanana… je parlerais de ça tout le temps! (…) Je ne suis pas capable de décrocher. Même que je me cache des fois pour travailler pour pas qu’il me voit travailler, parce que je suis trop passionnée de ça et c’est tellement le fun!

HPQ: «À la maison, il y a ton fils aussi qu’on voit apparaître dans le film, qu’est-ce que ça te fait de le voir à l’écran?»

Anik: «Écoute, Nathan, il a la fibre artistique! Je n’ai aucune idée de qu’est-ce qu’il va devenir, mais il aime beaucoup jouer et ce petit rôle-là, c’est intéressant (…) Je pense qu’il a beaucoup de talent en acting. Je ne veux pas précipiter les choses avec lui, je veux que ça vienne graduellement! Il a travaillé dans mes deux autres courts-métrages et il y va graduellement. Je ne veux pas l’écoeurer. Il faut que ça vienne de lui! On est de même nous autres à la maison. Il faut que tout le monde soit à l’aise. Dès qu’il y en a un qui n’est pas à l’aise, out!(…)»

HPQ: «Ça ressemble à quoi un souper de famille, un lundi normal à la maison?»

Anik: «C’est très drôle, parce que Nathan il est… c’est vraiment le trio entre Nathan, Patrick et moi, (…) On est tout le temps bien attaché les trois! C’est très artistique, là, on va se le dire! Le plus straight c’est Patrick. Quand il arrive, il décroche, mais moi et Nathan on s’est déguisés longtemps… et pas juste à l’Halloween! On pouvait être Batman un 3 juillet (…) On est allé au Comiccon, dernièrement. Nathan était déguisé en Scream, moi en Harley Quinn (…) L’imaginaire est important. J’ai beaucoup élevé Nathan là-dedans, être dans l’imaginaire (…)»

HPQ: «Est-ce qu’il y a des côtés plus négatifs dans le fait que vous ayez tous les mêmes intérêts?»

Anik: «Bien, non, parce que… quand on est tanné, on fait autre chose! La règle, c’est ça! On doit juste être capable de ne pas faire des choses jusqu’à temps qu’on soit écoeuré (…)!»

HPQ: «Tu es chanteuse, guitariste, actrice, autrice, réalisatrice, y a-t-il un art dans tout ça auquel tu es plus attachée?»

Anik : «Réalisatrice et musique, je te dirais que la musique de film, c’est ce que j’aime le plus faire. Ce que j’ai découvert, donc je te dirais que c’est vraiment réalisatrice, mais tu sais la musique ça va toujours être en moi (…)»

Félicitations à Anik Jean pour la réalisation de ce film poignant, et on lui souhaite encore beaucoup d’autres projets à sa mesure!

Les hommes de ma mère débarque en salles dès le 4 août!

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Entrevue Patrick Huard: Sa relation père-fille, la conciliation travail-amour, Bon Cop, Bad Cop et son expérience sur Les hommes de ma mère

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec l’excellent Patrick Huard en marge du visionnement de presse du film Les hommes de ma mère, réalisé par Anik Jean, sa femme, dans lequel il incarne un personnage marquant.

Lors de cette entrevue, l’acteur et humoriste s’est notamment ouvert sur son expérience de tournage sous la direction de son amoureuse, mais aussi sur la relation qu’il entretient avec sa fille… ainsi que sur les huit épisodes de la série Bon Cop, Bad Cop que le Québec attend avec impatience!

HPQ: «Qu’est-ce que ça représente pour toi de jouer le vrai père dans Les hommes de ma mère?»

Patrick Huard: «Bien, c’est sûr que je me reconnais, parce que j’ai une fille de 26 ans, puis j’ai une excellente relation avec elle! S’il avait fallu que ma fille me dise les choses qu’Elsie dit à son père dans le film, je serais dévasté (…) mais, je sais que ça existe et il n’y a pas de méchant dans ces histoires-là. C’est des gens qui ne s’entendent pas. Il y a un paquet de raisons (…) Mais, j’aimais ça jouer ça. J’aimais jouer cette espèce de gars qui veut juste essayer d’arranger les affaires! Il n’est pas bon. Il n’est pas mauvais là-dedans, il essaie du mieux qu’il peut, il est plein de bonnes intentions (…) mais c’était le fun à jouer parce que le payoff à la fin du film, c’est touchant!»

HPQ: «Quelle est la scène que tu as préféré jouer dans le film?»

PH: «J’ai beaucoup aimé la scène dans le parc, où là, c’est la première fois que tu me vois un peu faire… comme être un peu plus raide! (…) j’aimais cette curve-là, parce qu’initialement on ne s’enlignait peut-être pas là-dessus. J’ai essayé ça, puis là, Anik a fait: Oui, oui, oui, on fait ça, c’est le fun! (…) j’ai aimé jouer cette scène-là»

HPQ: «As-tu rencontré des embûches lors de l’interprétation de ton personnage?»

PH: «Non, c’était bien écrit. Anik savait où elle s’en allait! Moi, comme je suis producteur, j’ai eu le privilège de voir toute la préparation d’Anik avant! Quand je suis arrivé sur le plateau, je savais pas mal ce qu’elle voulait! En plus, elle a réussi à créer une ambiance incroyable sur le plateau! On n’avait pas beaucoup de temps pour tourner le film, c’est un des plateaux le plus smooth que j’ai travaillé (…) c’était tellement facile de se concentrer, c’était tellement le fun la vibe. Elle sait ce qu’elle veut et quand elle l’a, elle passe à autre chose! Non, je n’ai pas eu d’embûches et moi, j’étais là trois jours de tournage, quatre jours»

HPQ: «Est-ce qu’on peut dire que ça a facilité les choses que ce soit ta conjointe qui soit réalisatrice?»

PH: «Ça ne facilite pas ou ça ne nuit pas. Notre rapport quand on fait ça, il est artistique. C’est nos visions de ça! C’est le fun aller travailler avec sa femme. C’est le fun quand tu es bon, puis que la réalisatrice est contente et qu’elle a le droit de te frencher, c’est sur que c’est le fun (rires), mais c’est artistiquement qu’on s’entend bien Anik et moi! Ce qui fait que ça fonctionne sur le plateau, ce n’est pas notre relation amoureuse (…)»

HPQ: «Est-ce qu’il y a des côtés négatifs? Parce que ça doit être difficile d’arriver à la maison et de décrocher quand on travaille avec sa conjointe!»

PH: «C’est ça qu’Anik a plus de misère que moi (rires) elle a plus de misère à décrocher que moi. Moi, je décroche! (…) Là où des fois c’est plus difficile, c’est quand je mets mon chapeau de producteur! Des fois, c’est toi qui amènes la mauvaise nouvelle. Des fois, c’est toi qui fais comme: Hey, ça ne marchera pas cette affaire-là!. Là, émotivement, c’est plus difficile, parce que je n’ai pas de détachement. Ce n’est pas comme prendre le téléphone ou faire un meeting avec un réal qui n’est pas mon chum ou ma blonde pis là je fais: Hey buddy, ça ne marchera pas. Y aura pas ça, y aura pas ça, je suis vraiment désolé! Oh tabar*ak!, Bien, regarde j’ai des solutions, qu’est-ce que tu penses de ça?, raccroche, je m’en vais faire mon BBQ, il s’en va faire le sien, il me bitch à sa femme, tout est cool! Là, c’est plus: On s’en va-tu faire dodo mon amour? (rires) Je ne peux pas fuir la situation ben ben! Mais, sinon, c’est assez facile!»

HPQ: «Anik, ce n’est pas la seule personne avec qui tu avais déjà travaillé auparavant, il y a aussi Colm (Feore)! Comment c’était de se retrouver?»

PH : «Bien, nous autres, c’est toujours pareil! C’est comme si on s’était vu la veille! On peut être deux ans sans se voir (…) c’est comme si on s’était vu la veille, tout le temps. C’est incroyable!»

HPQ: «D’ailleurs… il y a Bon Cop, Bad Cop qui revient en série avec huit épisodes (…)!»

PH: «Je ne sais pas pourquoi tout le monde dit ça, je ne suis pas au courant! (rires) je ne suis pas au courant pantoute de ça! (rires) Je suis en écriture en fait. C’est parti sur les chapeaux de roues. Ça va vraiment bien. Je capote, je suis content! Je suis content de ma décision de faire une série parce que les gens vont pouvoir se rassasier en masse et ça va vraiment bien!»

HPQ: «À quoi est-ce qu’on peut s’attendre, est-ce qu’on va retrouver la même ambiance que dans les films?»

P.H: «C’est la continuité! C’est toujours le même univers. C’est toujours ce duo de policiers, mais qui, là, va devenir un quatuor avec ma fille et un policier autochtone!»

Un gros merci à Patrick Huard pour sa belle générosité et on a très hâte de le revoir prochainement, tant à l’écran qu’en personne!

Les hommes de ma mère, d’Anik Jean, est en salles dès le 4 août.

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Anik Jean souligne avec amour la fête de Patrick Huard

Anik Jean souligne l’anniversaire de son amoureux, Patrick Huard, avec un doux message!

C’est sur son Instagram que la chanteuse rock, guitariste, réalisatrice et plus encore a souligné la fête de son mari à travers une publication des plus touchantes!

«Bon anniversaire à mon amour. Mon James Bond, mon Clint Eastwood, mon mari, mon meilleur ami, bonne fête Love. ❤️», s’est exprimée la vedette québécoise qui, rappelons-le, célébrait ses 11 ans de mariage avec l’artiste!

Plusieurs dans les commentaires, dont Isabelle Racicot et Marina Orsini, ont aussi souhaité un joyeux anniversaire à Huard!

Bonne fête, Patrick!

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Anik Jean et Patrick Huard ont une autre raison d’être fiers de leur famille

Anik Jean et Patrick Huard ont de quoi être fiers de leur famille.

Cette fois, ce n’est pas un album d’Anik Jean ou un film de Patrick Huard qui monte sur les palmarès ou au classement des recettes au box-office qui rend fier toute la famille, mais plutôt les prouesses de Jessie Huard et de son partenaire Will, qui se sont illustrés lors d’un grand spectacle qui lançait les activités d’une toute nouvelle troupe de trapèze.

«Nous sommes très fière de notre Jessie et de notre gendre Will qui étaient en spectacle de trapèze volant ce week end à Granby. Départ canon pour la toute première production de leur troupe @cirquemisfits allez les voir! Engagez-les, que ce soit pour des événements privés ou des festivals !! Ils sont spectaculaires!!!», lance d’ailleurs une Anik Jean conquise en marge de l’événement.

On peut aussi apercevoir un Patrick Huard serein et ravi sur l’une des photos de sa femme, l’acteur et réalisateur ayant toutes les raisons du monde d’être vraiment fier de sa troupe!

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Anik Jean souligne avec tristesse l’anniversaire de la mort de son père

Anik Jean rend hommage à son père, décédé il y a deux ans.

Déjà deux ans qu’Anik Jean perdait celui qu’elle appelle son «petit papa», et la chanteuse, musicienne, autrice et réalisatrice semble vivre un deuil toujours aussi lourd.

«2 ans aujourd’hui que tu nous a quitté mon ptit papa. Ça fait toujours aussi mal. Je m’ennuie. 🖤», souligne-t-elle sur son compte Instagram, avec une magnifique photo de famille.

Rappelons qu’Anik Jean s’était ouvert sur ce deuil à l’automne 2021, notamment lors de la promotion de son album Love in Silence, écrit en marge de la mort soudaine de son père Roland.

Un passage à La Tour, alors animée par son mari Patrick Huard, avait particulièrement touché les fans, ainsi que ce dernier.

https://www.facebook.com/ReseauTVA/videos/la-tour-anik-jean-et-le-deuil-de-son-p%C3%A8re/1872247689627910/
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Un premier long-métrage pour Anik Jean

«Nous sommes présentement en préproduction.»

Anik Jean réalisera son tout premier long-métrage, intitulé Les hommes de ma mère.

Elle agit également comme productrice sur le projet, avec un certain Patrick Huard.

La musicienne et réalisatrice a annoncé la bonne nouvelle par l’entremise de son compte Instagram.

«Voilà sur quoi je boss ces temps-ci et pour la prochaine année. Mon premier long métrage Les Hommes de ma mère écrit par ma fabuleuse @maryselat Nous sommes présentement en préproduction. J’ai très hâte de vous présenter mon équipe de feu qui m’entoure. Quelle belle aventure, encore une fois je remercie la vie», pouvait-on lire en légende sous sa publication.

Anik Jean ne semble jamais s’arrêter, elle qui proposait l’album Love in Silence, en 2021, ainsi que son deuxième livre pour enfants, Nathan au fond des océans, en octobre dernier!

Son premier roman jeunesse, Nathan au pays des pirates, avait obtenu un beau succès.

Et vous, avez-vous hâte de visionner Les hommes de ma mère?