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Bébé et cie

5 % des enfants américains souffrent du syndrome d’alcoolisation foetale

Philip May, du département de santé publique de l’Université de la Caroline du Nord, rappelle que « savoir qu’il ne faut pas boire pendant la grossesse et ne pas le faire sont deux choses différentes ».

Le syndrome d’alcoolisation fœtale est la forme la plus sévère d’un rassemblement de conséquences dues à l’alcool, mentionne Science World Report. Cela peut comprendre des malformations faciales, des anomalies cérébrales et des troubles du développement et du comportement.

Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont fait passer des tests et pris des mesures (grandeur, poids, circonférence de la tête) auprès de 1400 enfants de première année. Ils avaient ciblé une petite ville du Midwest où la consommation d’alcool était 14 % plus élevée que la moyenne.

Les chercheurs ont découvert que le taux du syndrome d’alcoolisation fœtale était également plus élevé. Il était de 6 à 9 enfants sur 1000, puis 11 à 17 sur 1000 pour le syndrome partiel.

« Il n’y a aucun meilleur moment pour boire pendant la grossesse », déclarent les chercheurs.

L’étude a été publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology.

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L’hypertension est dangereuse pour le bébé

On devrait accorder une grande attention à l’hypertension dès le début de la grossesse. Elle augmenterait les risques, pour le bébé, de naître avec des anomalies de naissance. Selon des chercheurs de la Faiser Foundation Research Institute (Californie), le risque est tout aussi présent si l’on prescrit des médicaments.

Ainsi, comme on nous l’explique dans BMJ, ce ne serait pas un effet secondaire d’un médicament, mais bien l’hypertension elle-même qui induirait un risque d’anomalies.

On reconnaît toutefois certains risques, durant le premier trimestre de grossesse, associés à un médicament contre l’hypertension, les inhibiteurs ACE, mais on en connaît encore peu sur le sujet.

Malgré tout, après avoir évalué le cas de près de 400 000 femmes et leur bébé, on a remarqué un risque un peu plus élevé lorsque la mère avait pris le médicament cité. Toutefois, le risque était comparable si une femme en prenait un autre ou si elle n’en prenait pas du tout.

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Première étude longitudinale sur les phtalates

Selon Le Figaro, une étude vient d’être entreprise afin de voir les effets des phtalates, des pesticides, du bisphénol A et des métaux lourds sur la santé humaine. Pour ce faire, 20 000 enfants seront suivis durant 18 ans.

Les futurs participants ont été tirés au sort. L’étude sera entamée sous peu, à partir de la naissance de chaque enfant.

On pourra ainsi reconnaître certains des effets de ces polluants chimiques. Différents impacts seront évalués, tels que les problèmes de développement fœtal, la croissance déficiente des organes génitaux, les allergies et la puberté précoce.

Des impacts sociaux seront aussi évalués. On entend par là que l’on tentera de faire un lien entre les difficultés d’apprentissage et l’exposition aux substances à l’étude.

Pour les biens de la recherche, dès la naissance d’un poupon, des analyses seront faites sur le sang de son cordon ombilical et ses selles. La nouvelle maman sera aussi invitée à remplir un questionnaire.

Pendant les deux premières années de vie des enfants à l’étude, on joindra leur mère par téléphone afin de suivre leur développement. Les questions porteront alors sur l’alimentation, la croissance, les ententes de garde, la vie familiale, etc. Des visites à la maison suivront, soit à trois ans et vers sept ou huit ans.

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Les adolescents antisociaux présentent des anomalies cérébrales

Archives of General Psychiatry nous apprend que des scientifiques ont découvert que les problèmes psychiatriques des adolescents étaient sans doute le résultat d’anomalies cérébrales. Ces adolescents présentaient des schémas anormaux de leur activité au cerveau.

Ces troubles peuvent se développer durant l’enfance ou l’adolescence, et se caractérisent par de l’agressivité et une incapacité d’entrer en contact avec les autres.

Grâce à l’imagerie fonctionnelle par résonnance magnétique, on a pu analyser l’activité cérébrale des cerveaux d’adolescents auxquels on présentait des images de colère, des visages tristes et neutres. L’activité dans le cerveau des adolescents antisociaux était considérablement moindre que chez les autres, ce qui expliquerait pourquoi ils ne parviennent pas à entretenir des relations humaines.

Heureusement, ces problèmes de comportement peuvent être traités par une médication, mais on souhaite que ces nouvelles observations puissent mener à des thérapies plus adaptées.

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Les adolescents antisociaux présentent des anomalies cérébrales

Archives of General Psychiatry nous apprend que des scientifiques ont découvert que les problèmes psychiatriques des adolescents étaient sans doute le résultat d’anomalies cérébrales. Ces adolescents présentaient des schémas anormaux de leur activité au cerveau.

Ces troubles peuvent se développer durant l’enfance ou l’adolescence, et se caractérisent par de l’agressivité et une incapacité d’entrer en contact avec les autres.

Grâce à l’imagerie fonctionnelle par résonnance magnétique, on a pu analyser l’activité cérébrale des cerveaux d’adolescents auxquels on présentait des images de colère, des visages tristes et neutres. L’activité dans le cerveau des adolescents antisociaux était considérablement moindre que chez les autres, ce qui expliquerait pourquoi ils ne parviennent pas à entretenir des relations humaines.

Heureusement, ces problèmes de comportement peuvent être traités par une médication, mais on souhaite que ces nouvelles observations puissent mener à des thérapies plus adaptées.