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Julie Snyder parle de son poids

Quand Julie Snyder a gagné un trophée au gala des Gémeaux pour l’émission La Voix la semaine dernière, elle est montée sur scène pour accepter son prix, déclenchant les spéculations concernant son apparence.

En effet, l’animatrice et femme d’affaires était plus mince qu’à l’habitude, voir un peu maigre. Cela aura suffi pour que des centaines de gens émettent des commentaires tantôt indélicats et présomptueux, tantôt encourageants, sur le sujet.

Plusieurs docteurs en herbes lui ont diagnostiqué plusieurs conditions dont l’anorexie, l’épuisement professionnel, la dépression, une mauvaise diète, et même le karma (!) dû à sa relation avec Pierre Karl Péladeau.

Devant toute cette attention, Snyder a finalement pris la parole, sans toutefois entrer dans les détails.

L’animatrice a remercié ses fans de s’en faire pour elle, et n’a pas nié qu’elle avait en effet perdu du poids dû à son horaire très chargé des derniers mois. Elle croit reprendre bientôt le poids perdu et a confirmé que, malgré le changement, elle allait très bien.

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L’anorexie est souvent encouragée par la fierté de perdre du poids

Comme le rapporte Science World Report, ce sont près de 20 millions de femmes et 10 millions d’hommes qui souffrent d’un trouble alimentaire aux États-Unis uniquement. Pour nombre d’entre eux, c’est l’anorexie qui les ronge.

Or, plutôt que de se concentrer sur le côté émotionnel négatif relativement à cette quête de l’amaigrissement, des spécialistes de l’Université Rutgers se sont dirigés vers la fierté que retirent les anorexiques.

Les résultats de l’étude sont expliqués dans la revue scientifique Clinical Psychological Science. « Les femmes souffrant d’anorexie sont souvent dans un tourbillon émotionnel complexe. C’est pourquoi il est important de comprendre ce qu’elles retirent de positif de cette expérience », commente Edward Selby, l’un des experts.

En tout, 118 femmes entre 18 et 58 ans ont participé à la recherche. Elles souffraient toutes d’anorexie, et pendant les deux semaines de suivi, on a remarqué qu’elles ressentaient des émotions positives malsaines en lien avec la quantité de poids qu’elles arrivaient à perdre.

Des sites « pro-anorexiques » soutiennent cette fierté et encouragent même ce comportement destructeur.

Seul le tiers des femmes anorexiques se remettent de ce trouble alimentaire à ce jour. La compréhension des émotions complexe pourrait aider à mieux adapter les traitements.

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Kesha met de la couleur dans sa vie

Kesha, 27 ans, qui arbore une chevelure bleue et des vêtements plus colorés qu’auparavant, ne fait pas ça pour la mode. Il s’agit plutôt d’une manière de voir autrement la vie, explique en quelque sorte celle qui a eu des ennuis de santé.

L’artiste, qui est passée à un cheveu de mourir (selon sa mère), a passé deux mois en cure de désintoxication en janvier et été traitée pour des troubles de boulimie et anorexie. Elle semble maintenant voir la vie d’une autre manière.

« Je transforme mes cheveux en arc-en-ciel ces temps-ci. Je passe par toutes les couleurs parce que je me sens comme un arc-en-ciel. C’est mon nouveau truc, je suis un arc-en-ciel. Avant, je portais beaucoup de noir. Et maintenant, j’ai laissé les couleurs entrer dans ma vie. C’est très métaphorique », a expliqué Kesha, ajoutant qu’elle s’en « sortait bien » lors de sa visite sur le plateau de Good Morning America

La star a confié avoir été touchée par l’amour et le soutien de ses fans, alors qu’elle vivait une période noire avec ses problèmes physiques et psychologiques.

Elle a toutefois révélé avoir trouvé difficile de composer avec les commentaires négatifs du milieu et du public. Ces mentions odieuses ont rendu Kesha malade. 

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Comment aider notre adolescent à éviter les troubles alimentaires

Les troubles alimentaires, rappelle Parentingsquad.com, touchent les gens de tous âges, et ce, peu importe le genre. Ils comprennent notamment l’anorexie, la boulimie et l’hyperphagie.

Or, l’adolescence peut représenter une période vulnérable pour ce trouble de santé, considérant la pression de l’image véhiculée par la société.

La communication est votre allié le plus précieux. Soyez à l’écoute, soyez alerte et assurez-vous d’être actif aussi sur les mêmes réseaux sociaux que votre adolescent.

Discutez de l’image véhiculée par ces réseaux. Les adolescents doivent se bâtir une bonne estime d’eux-mêmes, et vous pouvez y contribuer.

Soyez un parent, et non un ami. Vos enfants ont déjà des amis. Votre rôle consiste à faire des choix sensés pour leur santé. Montrez l’exemple, et ne faites pas de la nourriture un ennemi.

Changez d’alimentation, diminuez les portions, assurez-vous que toute la famille est active et boit beaucoup d’eau. Si vous ne montrez pas l’exemple, vous ne pourrez pas améliorer la confiance de votre jeune.

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Zoë Kravitz a bu de l’argile pour perdre 20 livres

L’actrice de 25 ans Zoë Kravitz a confié à Us Magazine qu’elle avait déjà vécu elle-même des troubles d’alimentation. Ce travail a donc été difficile, puisqu’elle a dû se remettre dans cet état pour le rôle de Marie.

« J’ai lutté contre ça par le passé. Je crois que toutes les jeunes femmes passent par là », affirme Kravitz, en se reportant à sa période d’adolescence.

Déjà mince, la vedette a dû se débarrasser de 20 livres supplémentaires. Pour y arriver, elle a dû faire « un nettoyage ». Pour ce faire, elle a « bu de l’argile, parce que ça nettoie l’intérieur et ça remplit l’estomac ».

« Je mangeais un pot Masson de légumes en purée par jour et je faisais du jogging. » Cependant, la fille de Lenny Kravitz admet que le processus a été « épouvantable », et elle n’encourage personne à suivre ses traces.

Le plus difficile pour Zoë Kravitz a été de constater, en se documentant en ligne sur l’anorexie, qu’il existe des communautés qui souffrent de cette maladie, « et les gens s’encouragent entre eux ».

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L’hormone de l’amour en traitement de l’anorexie?

L’hormone de l’amour peut-elle venir en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires comme l’anorexie? C’est ce que suggère une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs britanniques ont testé une hormone appelée l’ocytocine sur des patients souffrant d’anorexie.

L’étude s’est effectuée avec un groupe test de 64 sujets, dont 31 ont reçu de l’ocytocine ou un placébo. 33 personnes constituaient le groupe test de sujets « sains », c’est-à-dire sans trouble alimentaire.

Les résultats sont étonnants, alors qu’une série d’images proposée aux patients a démontré que ces derniers semblaient moins concentrés sur les aspects négatifs de la nourriture et moins anxieux qu’à l’habitude.

L’hormone associée au plaisir et au sentiment amoureux pourrait donc bel et bien aider les personnes anorexiques, croit Janet Treasure, auteure principale de l’étude.

« C’est une recherche préliminaire avec un petit nombre de participants, mais il est grandement excitant de voir le potentiel de ce traitement. On aura besoin d’essais plus larges avant d’entamer des changements dans la manière dont les patients sont traités », explique Mme Treasure.

Les résultats de l’étude britannique ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Nouveau traitement prometteur mais controversé contre les troubles alimentaires

Des chercheurs de l’University Health Network de Toronto publient les résultats d’une recherche clinique et affirment détenir la clé d’une nouvelle méthode de traitement de certains troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie.

Il s’agit d’un traitement expérimental, prometteur mais controversé, qui utilise un système de stimulation magnétique au cerveau. Bien que l’on affirme que le traitement est « non invasif », toute stimulation cérébrale externe soulève bien sûr son lot de questions.

Toutefois, rapporte The National Library of Medicine, l’équipe torontoise menée par le Dr Jonathan Downar croit fermement que la méthode peut aider les patients aux prises avec de sérieux troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie, des problèmes qui demeurent extrêmement difficiles à soigner.

« Les résultats démontrent qu’entre 50 et 60 % du temps, vous voyez une réduction de 50 % des comportements compulsifs. Et ceci, chez des patients qui ont pourtant déjà essayé tous les autres traitements pour mettre un terme à leur trouble alimentaire, sans succès. Alors, ce dont nous parlons est absolument sans précédent », explique Downar, convaincant.

Downar et son équipe présentaient les conclusions de leur recherche à la rencontre annuelle de la Society for Neuroscience, à San Diego.

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Les troubles alimentaires touchent aussi les garçons

Radio-Canada rapporte une entrevue accordée à Catherine Perrin par trois invités qui se spécialisent à leur façon dans les troubles alimentaires, trois hommes de surcroît, et qui croient qu’on ne parle pas assez de ce type de problèmes chez les garçons.

Il s’agit du Dr Jean Wilkins, de l’auteur Simon Boulerice et de Jean-Marie Lapointe, qui partagent tous le même avis.

Simon Boulerice et Jean-Marie Lapointe veulent sensibiliser les garçons victimes de boulimie et d’anorexie et leur entourage, et lancer le message que le phénomène n’est pas plus banal lorsqu’il s’agit d’un garçon que d’une fille.

Le Dr Wilkins a quant à lui fondé la division de médecine adolescente de Sainte-Justine, et souligne qu’une personne sur dix souffrant de troubles alimentaires est en fait un garçon.

« Le contrôle est central dans cette maladie-là. On pourrait dire que c’est une inflammation du contrôle : une contrôlite! », explique avec couleur le spécialiste.

Boulerice et Lapointe en profitent pour partager leurs expériences avec la maladie, mais surtout pour dénoncer l’absence presque totale de compréhension et d’empathie de la part des gens, simplement parce qu’ils sont des hommes. Un problème que le trio souhaite contribuer à changer.

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Trouble alimentaire et grossesse, une combinaison dangereuse

Cependant, Science World Report ajoute à cela les indications de l’International Journal of Eating Disorders, dans lequel on cite également les risques élevés de fausse couche, d’avortement ou de mort-né.

Selon les données recueillies par la Dre Milla Linna, de l’Université finlandaise de Helsinki, 5 à 10 % des femmes souffrent de troubles alimentaires. L’étude comparative a été menée sur une période de 15 ans (de 1995 à 2010) auprès de 11 000 femmes.

Sur le lot, 2257 jeunes femmes souffraient de troubles alimentaires et étaient suivies par la Clinique du centre hospitalier de l’Université d’Helsinki.

La conclusion :

– Les femmes souffrant de boulimie étaient 3 fois plus à risque de fausse couche et 2 fois plus enclines à l’avortement.

– Chez les femmes anorexiques, la moitié des grossesses se sont terminées par une fausse couche.

Dre Linna est catégorique. Sans un suivi adéquat, les conséquences sont désastreuses. « Il faut absolument détecter le problème tôt, apporter les soins adéquats et assurer un suivi sur une période plus longue pour prévenir les risques. »

L’obésité et la sous-alimentation conséquentes des troubles de boulimie et d’anorexie sont reconnues comme des facteurs de risque de grossesse accidentelle. En effet, ils sont souvent accompagnés d’irrégularités ou d’absence du cycle menstruel, et par conséquent, les femmes se préoccupent moins des moyens de contraception.

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Les parents jouent un rôle important dans les troubles alimentaires des ados

C’est une nouvelle étude publiée dans le Journal of Adolescent Health qui fait état de ce constat. Comme le mentionne Medicalxpress, ces comportements ne sont cependant pas intentionnels et peuvent être corrigés.

La Dre Emma Haycraft du Centre for Research into Eating Disorders, au Royaume-Uni, explique : « Un parent qui dit “Tu ne quittes pas la table tant que tu n’as pas terminé” ou “tant que tu n’as pas mangé tes légumes” créé une atmosphère négative associée aux repas ». Haycraft ajoute : « Cela peut aussi enseigner à l’enfant à ignorer les signes de la satiété et donc à trop manger ».

Chez les garçons comme les filles, c’est le contrôle sur la quantité de nourriture qui indiquait de potentiels futurs problèmes alimentaires.

Les résultats de l’étude démontrent une particularité en rapport avec le sexe de l’enfant. Chez les garçons, le fait de se faire dire de « moins manger » faisait en sorte qu’ils développaient des symptômes associés aux désordres alimentaires.

Quant aux filles, ce sont les commentaires inverses, soit lorsqu’elles étaient forcées à manger plus, qui menaient aux problèmes boulimiques ou anorexiques.