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Possible lien entre l’anorexie et l’autisme

Une étude américaine parue dans le BioMed Central Journal Molecular Autism suggère que les jeunes femmes souffrant de troubles alimentaires présentent un profil proche de celui d’enfants souffrant d’autisme.

Plus de 1660 jeunes filles saines et 66 autres qui étaient atteintes d’anorexie ont eu à répondre à un questionnaire habituellement destiné aux jeunes autistes. C’est en comparant ces résultats que les chercheurs ont pu en venir à cette conclusion.

Les traits communs sont, entre autres, un intérêt particulier pour l’ordre, peu d’empathie, une tendance à être autocentré et une fascination pour les détails.

Cependant, l’anorexie est un trouble diagnostiqué plus souvent chez la femme, tandis que l’autisme l’est surtout chez l’homme.

Face à ces données, Bonnie Auyeung, l’une des chercheuses de l’étude, remarque : « Cette nouvelle étude suggère qu’une proportion de femmes atteintes d’autisme auraient pu être mal diagnostiquées, car quand elles arrivent à l’hôpital, elles présentent des signes d’anorexie ».

Il ne s’agit tout de même là qu’une suggestion, alors que d’autres éléments pourraient être en cause. En effet, une personne atteinte d’anorexie pourrait, à cause de la faim, développer le même genre de trait de caractère mentionné plus haut.

« Néanmoins, l’étude permet de mieux comprendre les personnes souffrant d’anorexie et la façon dont elles peuvent être traitées », ajoutent les chercheurs.

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L’image corporelle chez l’enfant

Dès un très jeune âge, certains enfants souffrent déjà d’une faible estime de soi et donc, entre autres, de troubles de nutrition et d’hyperactivité volontaire.

Il n’est pas rare d’entendre que des enfants aussi jeunes que 5 ans refusent de manger par peur d’engraisser. D’autres font de l’exercice non pas pour s’amuser, mais pour « maintenir leurs poids ».

Sur PsychologyToday, on suggère plusieurs astuces pour encourager de saines habitudes chez nos enfants. On dit notamment de les encourager à boire beaucoup d’eau, de ne pas les forcer à finir leur assiette s’ils se disent rassasiés et de ne pas les critiquer sur leur apparence.

Il est important aussi de montrer l’exemple et de ne pas seulement dicter ce que l’enfant devrait faire. Comme nous avons tendance à être totalement déconnectés de notre corps, il est crucial d’expliquer comment écouter son corps. Ainsi ils apprendront à ne pas attendre d’être affamés pour manger, et cesser de manger avant de se sentir bourrés.

Il est également recommandé de les pousser à faire de sains exercices. À leur âge, ils ont besoin de beaucoup d’activité physique, mais il ne faut pas que le but soit autre que de brûler de l’énergie et de s’amuser.

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LeAnn Rimes nie les rumeurs d’anorexie

LeAnn Rimes a beau avoir connu sa part de problèmes, rapporte le magazine Us, elle n’est pas anorexique, affirme-t-elle.

La chanteuse déclare ne pas souffrir d’un trouble alimentaire quelconque, contrairement à ce que plusieurs rumeurs et sources persistent à avancer.

LeAnn Rimes démontre depuis deux ans des pertes de poids qui inquiètent les observateurs, mais elle persiste et signe en affirmant que ces changements de masse n’étaient dus qu’au stress.

« Les gens ont dit que j’étais anorexique, mais je n’avais pas de problèmes avec le fait de manger, je mange énormément tout le temps. Je pourrais manger mon mari sous la table. », lance maladroitement Rimes.

Elle ajoute : « Mais je traversais une période difficile et je ne dormais pas. Mon esprit ne voulait pas se fermer et mon cœur se brisait ».

Elle fait ici référence à sa relation avec l’homme qui allait devenir son mari, Eddie Cibrian, hautement médiatisée et critiquée par bien des gens.

LeAnn Rimes semble maintenant en pleine forme, ce qui pourrait confirmer ces propos.

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Une mauvaise alimentation mène aussi à la mauvaise humeur

Le fait de ne pas veiller à son alimentation ne mènerait pas qu’à des problèmes de santé physique chez la femme, selon Santé Log.

D’après une étude en provenance de la Pennsylvanie, les problèmes de comportement en alimentation sont aussi gages de troubles psychologiques, notamment en ce qui a trait à l’humeur.

Présentées lors du dernier congrès annuel de l’American Psychosomatic Society, ces conclusions font état de la relation des femmes avec la nourriture, et des résultats sur leurs émotions qui en découlent.

« Nous nous sommes intéressés à l’étude de femmes dans leur vie de tous les jours pour suivre leur humeur et leurs habitudes alimentaires, et obtenir ainsi une image plus précise de la relation entre les émotions et l’alimentation », expliquent les chercheurs de Penn State.

Les résultats démontrent cependant qu’une femme de bonne humeur ne devrait pas nécessairement voir celle-ci se dégrader, mais que celle qui s’avère déjà colérique ou dépressive a de grandes chances d’empirer son cas.

Les chercheurs précisent également que ces variations d’humeur sont relatives au degré d’intensité du trouble alimentaire, les pires troubles étant ceux comme l’anorexie et la boulimie.

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Une technique extrême pour soigner l’anorexie

On apprend via La Presse qu’une nouvelle méthode pour traiter l’anorexie pourrait faire son apparition. Le problème est que la technique est invasive et assez extrême, mais les spécialistes croient qu’il s’agit d’une excellente solution, qui mérite d’être étudiée.

On parle donc d’implantation d’électrodes dans le cerveau, une phrase qui suffit à faire frémir. Cependant, pour les gens aux prises avec un trouble alimentaire comme l’anorexie grave (et incurable), il pourrait s’agir d’une avenue vers la guérison.

Les chercheurs, qui publiaient les résultats de leurs recherches sur le sujet dans le journal médical Lancet, croient que la technique est tout à fait réalisable et pourrait en effet soigner des gens qui souffrent d’anorexie.

Pour arriver à ce constat, les chercheurs nord-américains ont tenté l’expérience sur six patientes de 24 à 57 ans, et trois sont parvenues à dompter la maladie.

« Cette amélioration de l’humeur et de l’anxiété chez des patientes affichant un poids insuffisant est particulièrement frappante, alors que ces malades répondent généralement mal aux thérapies médicamenteuses ou aux psychothérapies », résume le Dr Andres Lozano, qui coordonnait l’étude.

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Anorexie et hyperactivité sont liées par un mécanisme moléculaire commun

(AFP) – L’anorexie mentale, un trouble grave du comportement alimentaire, et l’hyperactivité physique sont liées par un mécanisme moléculaire commun, une découverte qui pourrait déboucher sur un traitement de cette pathologie qui touche principalement les adolescents, selon une récente étude.

Alors qu’on pensait généralement que l’hyperactivité des anorexiques était intentionnelle et visait à perdre davantage de poids en brûlant des calories, une équipe mixte de chercheurs de l’Inserm, du CNRS et des universités de Montpellier et de Nîmes a découvert un mécanisme commun expliquant le lien entre les deux comportements.

En utilisant des souris génétiquement modifiées capables de mimer une anorexie humaine, les chercheurs ont constaté qu’elles présentaient une anomalie moléculaire dans une région du cerveau impliquée dans la récompense.

Cette anomalie correspond à la « surexpression » (excès d’expression de gènes) du récepteur 5-HT4 à la sérotonine, un récepteur cellulaire qui contrôle également l’hyperactivité motrice chez les souris.

« Nous avons identifié pour la première fois à notre connaissance, une voie moléculaire commune impliquée dans l’anorexie et l’hyperactivité », résume Valérie Compan, qui a dirigé les travaux publiés dans la revue Translational Psychiatry.

Les chercheurs ont également découvert que le récepteur pouvait devenir totalement inactif et entraîner « une surconsommation d’aliments » qu’on retrouve notamment dans la boulimie.

« En l’absence totale de médicament pour traiter l’anorexie, ce récepteur pourrait représenter une cible thérapeutique efficace, car en l’inactivant, les patients accepteraient à nouveau de se nourrir, et en l’activant, ils pourraient modérer leur consommation d’aliments », ajoute Mme Compan.

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Le gène de la minceur chez la femme, héréditaire?

Le culte de la minceur est omniprésent dans notre société moderne, au point de créer plusieurs problèmes sociaux, spécialement chez les femmes, dans les dernières années.

Boulimie, anorexie, troubles alimentaires divers, obsession des régimes, entraînement excessif, voilà autant de problèmes qui peuvent apparaître chez les gens obsédés par la minceur.

Voilà que des chercheurs croient qu’il est possible que l’hérédité joue un rôle dans le degré de pression sociale ressenti par les femmes. En effet, une étude reprise par nlm.nih.gov explique que la moitié des facteurs qui causent une obsession de la minceur serait due au bagage génétique.

En d’autres termes, ce n’est pas que les médias et les magazines de mode qui seraient à blâmer, mais aussi l’environnement immédiat et les proches de celles qui possèdent déjà cette tendance génétique.

Cynthia Bulik, directrice de l’University of North Carolina Eating Disorders Program, explique : « En principe, fondamentalement, nos comportements varient en fonction de notre réaction face aux éléments de notre environnement. Donc, si une personne réagit plus fortement aux images véhiculées par les médias ou à la pression des pairs, une partie de cette réaction est certainement causée par une susceptibilité génétique prédéterminée ».

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Demi Lovato se fait lancer une Barbie sur scène

Était-ce un affront aux problèmes d’anorexie de la jeune chanteuse le fan voulait-il ou simplement rendre hommage à sa beauté?

Demi Lovato l’a interprété positivement, et le fait de relancer la Barbie dans la foule n’était pas nécessairement une rebuffade. Selon ce que rapporte Fan2.fre, c’était très symbolique pour l’artiste.

Récemment, on se rappelle qu’elle a dû être traitée pour des problèmes d’anorexie et donc, la poupée Barbie lui a remémoré l’image qu’elle projetait. C’est dans un petit discours touchant qu’elle s’est exprimée, en plein concert, dans le cadre du Z Festival.

« C’est assez drôle que quelqu’un me lance une Barbie. C’est plutôt ironique parce que toute ma vie, j’ai essayé de lui ressembler. Mais devinez quoi? Je ne suis pas une Barbie, et malgré tout, vous m’aimez encore! Je vous en suis très reconnaissante. Désolée, mais je vais devoir vous la rendre. Merci d’être ma source d’inspiration! »

La jeune star s’assume enfin et prouve qu’il n’a pas été vain de demander de l’aide pour vaincre son anorexie et par le fait même, la pression hollywoodienne.

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Des jouets qui causent l’anorexie chez les garçons

G.I. Joe, Superman et tous les autres sont un exemple de courage pour plusieurs petits garçons, mais aussi de corps parfait.

Sculptés avec leurs multiples abdominaux, ils sont minces et bien musclés, avec un visage bien structuré agrémenté d’une chevelure cirée, volumineuse et bien coiffée.

Très jeunes, les garçons, tout comme les fillettes avec leurs poupées Barbie, ont pour modèles leurs jouets favoris.

À ce sujet, la thérapeute américaine Niquie Dworkin explique sur le site 7sur7.be que les garçons pensent que le corps de leurs personnages préférés en plastique est la norme.

« Les petits garçons sont aussi exposés à des images d’hommes surréalistes », dit-elle.

Ainsi, en vieillissant, si plusieurs filles sont portées à se priver de nourriture ou à se rendre malades pour garder la ligne, les garçons sont extrémistes en salles de sport et tentent à tout prix d’avoir une belle carrure avec de gros muscles. Plusieurs se tournent même trop souvent vers les stéroïdes.

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Les troubles alimentaires touchent aussi les femmes plus âgées

Contrairement à la croyance populaire, il n’y a pas que les adolescentes qui peuvent être obsédées par leur poids et leur image; les femmes adultes aussi.
 
Une étude américaine parue dansl’International Journal of Eating Disorders mentionne que les troubles alimentaires guettent de plus en plus les femmes de 50 ans et plus.
 
Malheureusement, à cet âge plus avancé, les troubles alimentaires peuvent s’avérer être plus dommageables pour la santé des femmes.
 
62 % des plus de 50 ans ont dit que leur poids ou leur ligne avait un impact négatif sur leur vie, alors que 13 % des femmes de plus de 50 ans sont obsédées par leur poids au point de souffrir de troubles alimentaires comme l’anorexie, la boulimie ou le sport en excès.
 
1849 femmes ayant en moyenne 59 ans ont répondu à des questionnaires. 25 % étaient obèses, 29 % en surpoids, 42 % de poids normal et 2 % trop maigres.
 
Ces femmes peuvent également avoir recours à différents moyens pour perdre du poids, comme les pilules amaigrissantes (7 %), l’excès de sport (7 %), les diurétiques (2,5 %), les laxatifs (2 %) ou encore les vomissements (1 %).
 
79 % des femmes de plus de 50 ans ont déclaré qu’elles n’aimaient pas leur corps. Ainsi, cette étude révèle que les pressions sociales exercées sur les femmes et l’importance de l’image corporelle peuvent avoir un impact également plus tard dans la vie, et non seulement à l’adolescence.