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Un anticoagulant pour réduire les risques d’AVC

Le New England Journal of Medicine nous apprend qu’un anticoagulant pourrait grandement diminuer la fréquence des accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les personnes qui souffrent de fibrillation auriculaire, aussi connue sous le nom d’arythmie.

 

Cette forme d’arythmie cause des battements de cœur irréguliers et une contraction inefficace du muscle cardiaque, favorisant ainsi les caillots de sang qui peuvent migrer vers le cerveau et causer un AVC.

 

La molécule apixaban est maintenant soumise aux derniers tests avant de recevoir l’approbation pour sa mise en marché.

 

Jusqu’à présent, 18 000 personnes de 39 pays ont testé avec succès l’apixaban et, comparativement au traitement actuel avec la warfarine, on note 21 % moins d’AVC et d’embolie artérielle, 31 % moins de saignements et 11 % moins de mortalité.

 

De plus, ce nouveau traitement cause moins d’effets secondaires et d’interférences avec d’autres médicaments. Il nécessite également moins de surveillance médicale.

 

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Des délais plus courts sont recommandés pour traiter les crises cardiaques

Ce n’est pas le traitement en tant que tel qui peut traiter une crise cardiaque, mais plutôt le laps de temps avant que celui-ci soit administré qui est la clé pour un retour à la normale, selon le Journal de l’Association médicale américaine.
 
Une étude québécoise révèle que subir un traitement dans un délai idéal est bien plus important que seulement recevoir une injection pour dissoudre le caillot de sang problématique ou encore subir une angioplastie, qui consiste en l’insertion d’un petit ballon dans l’artère bloquée afin de libérer le caillot.
 
On recommande que l’injection d’un anticoagulant soit administrée dans les 30 premières minutes suivant l’arrivée du patient à l’hôpital et qu’une angioplastie soit pratiquée dans un délai de 90 minutes.
 
C’est le constat auquel parviennent les chercheurs après avoir analysé 1 832 patients. 21 % ont reçu un anticoagulant et 79 % ont subi une angioplastie.
 
Ceci remet en cause la thèse voulant que l’angioplastie soit la seule option de prédilection, peu importe le temps d’attente avant qu’elle soit pratiquée.
 
Toutefois, les délais recommandés ne sont majoritairement pas respectés dans la réalité d’aujourd’hui.
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Du Pradax plutôt que de la warfarine

Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, il est préférable de traiter les patients ayant souffert d’un accident vasculaire cérébral (AVC) au Pradax plutôt qu’à la warfarine, un médicament prescrit depuis 50 ans contre les AVC et l’arythmie cardiaque.

Grâce à des essais cliniques, les chercheurs ont découvert que l’incidence d’un second AVC et d’embolie chute de 34 % chez les patients à qui l’on a donné 150 mg de Pradax deux fois par jour.

Le médicament réduit aussi le risque d’hémorragies associé à la consommation d’anticoagulants. « Nous disposons dorénavant d’un traitement par voie orale offrant une protection supérieure contre les AVC avec un risque réduit de saignement et ne nécessitant pas la surveillance régulière de l’anticoagulation », a fait savoir l’un des chercheurs derrière ces résultats, le Dr Stuart Connolly.

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Un anticoagulant par voie orale approuvé

Santé Canada vient de donner le feu vert au fabricant pharmaceutique Boehringer Ingelheim pour mettre sur le marché le Pradax (dabigatran etexilate), un médicament qui prévient la thromboembolie veineuse (TEV) chez les patients ayant subi une chirurgie au genou ou à la hanche.

La TEV se caractérise par la formation d’un caillot de sang dans une veine profonde du mollet, de la jambe ou du bassin, et l’embolie pulmonaire, qui est souvent mortelle.

« Avec l’homologation du Pradax, nous disposons maintenant d’une solution de rechange intéressante pour protéger nos patients contre la TEV »,a souligné le Dr David Backstein, chirurgien orthopédique à l’hôpital Mount Sinai à Toronto.

En plus de sa prise quotidienne, ce nouvel anticoagulant ne nécessite pas de tests sanguins effectués régulièrement pour mesurer la coagulation et diminue grandement l’incidence de thromboembolie veineuse, alors que 60 % des patients présentent un risque après une opération au genou et à la hanche.