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Grossesse : les antidépresseurs sont mauvais pour le bébé

Des chercheurs suédois ont constaté que le risque de développer des problèmes de haute tension artérielle double chez les bébés dont les mères ont consommé des antidépresseurs en fin de grossesse.

Il y aurait légèrement moins de cas chez celles qui ont pris le médicament en début de grossesse.

Ainsi, les bébés sont plus à risque d’être touchés par une maladie rare et grave appelée hypertension pulmonaire persistante. Elle se caractérise par une augmentation de la pression sanguine dans les poumons, qui peut conduire à une insuffisance cardiaque.

Le rapport des chercheurs de l’Institut Karolinska à Stockholm, en Suède, publié dans le British Medical Journal, révèle que même si le risque de développer l’hypertension pulmonaire est faible (environ 3 cas sur 1000), toutes les femmes doivent être averties des dangers des antidépresseurs et de leurs conséquences.

Les médecins doivent, quant à eux, soupeser les risques de prescrire massivement des antidépresseurs durant la grossesse.

Rappelons que des recherches antérieures ont également démontré que la consommation d’antidépresseurs ISRS peut provoquer des anomalies congénitales chez les bébés naissants.

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Antidépresseurs et risques encourus pour le bébé

Les femmes enceintes devraient redoubler de prudence si elles prennent du Prozac ou un médicament similaire.

Des chercheurs marseillais viennent en effet de reconnaître certains effets sur le nouveau-né. Pour ce faire, ils ont mené des recherches sur des souris.

En observant les souriceaux nés après qu’on ait administré du Prozac à la mère, ils ont remarqué que l’un de ses composants influait sur certains des réflexes des petits.

Il semble que la fluoxétine, une substance présente dans ce médicament et aussi dans d’autres types d’antidépresseurs, empêche le nouveau-né de réguler comme il se doit sa respiration.

Plus précisément, elle empêcherait l’adaptation du système nerveux du bébé lorsque celui-ci doit augmenter sa fréquence respiratoire. Les cas cités demandant cette augmentation sont les coliques, la tétée et les pleurs. Le nourrisson doit aussi augmenter cette fréquence quand il se trouve dans une pièce enfumée.

Il semble donc que cette molécule se transmette de la mère à l’enfant par le sang ou par le biais de l’allaitement.

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Le Prozac augmente les risques de malformations cardiaques chez le foetus

La Medicine and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA) met en garde les femmes enceintes contre le Prozac.
 
Cet antidépresseur double les risques que le futur bébé ait des malformations cardiaques congénitales si la femme a pris ce médicament en début de grossesse.
 
On estime qu’en général, un bébé sur 100 peut naître avec des problèmes comme un souffle au cœur, un trou au cœur ou des anomalies au niveau de la structure de l’organe ou de son rythme. Avec le Prozac, ce taux passe à deux naissances sur 100.
 
L’agence est arrivée à cette conclusion après avoir examiné quelques études sur la fluoxétine, l’ingrédient actif du Prozac.
 
Bien que les antidépresseurs ne soient pas recommandés durant la grossesse, environ 2,3 % des femmes enceintes en consomment. Selon des études précédentes, une femme sur cinq vivra une dépression durant sa grossesse et il est très important qu’elle soit traitée, car cela augmente les risques de naissance prématurée ou de bébé de poids insuffisant.
 
Toutefois, les médecins doivent être conscients des risques encourus avec les prescriptions d’antidépresseurs.
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Traiter le syndrome prémenstruel avec la sertraline

Les rechutes sont fréquentes chez les femmes présentant un syndrome prémenstruel (SPM) sévère qui cessent de prendre l’antidépresseur sertraline pour traiter leurs symptômes.

174 femmes ont participé à cette étude et la moitié d’entre elles ont pris de la sertraline pendant quatre mois, pour ensuite consommer un placebo.

Dès le premier mois, les chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université de la Pennsylvanie ont observé une nette amélioration des symptômes liés au syndrome prémenstruel chez 125 des candidates. Dès que ces dernières cessaient de consommer l’antidépresseur, l’équipe de la Dre Ellen W. Freeman observait une rechute dans 60 % des cas.

« Les patientes avec des symptômes sévères liés au SPM étaient plus à risque de rechute comparativement à celles qui avaient des symptômes plus légers », a fait savoir Mme Freeman.

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Les antidépresseurs liés au décès cardiaque

Une recherche, effectuée par le Dr William Whang de l’Université Columbia de New York, démontre que les femmes qui consomment des antidépresseurs sont plus à risque de décéder d’un arrêt cardiaque.

Ces résultats ne signifient pas pour autant que ce type de médicaments est dangereux, a fait savoir l’auteur principal de cette étude.

« Nous suspectons que leur usage agit comme un marqueur pour les personnes aux prises avec une dépression importante. Nous avons découvert que les femmes qui présentaient des symptômes sévères de dépression étaient deux fois plus à risque de mourir d’une crise cardiaque soudaine », a observé le Dr Whang.

Tous les détails de cette étude se retrouvent dans le Journal of the American College of Cardiology.

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Les femmes répondent mieux aux antidépresseurs

Selon une étude menée par le Sequenced Treatment Alternatives to Relieve Depression (STAR*D), les femmes aux prises avec une dépression majeure qui sont traitées avec l’antidépresseur Citalopram répondent mieux à la médication que les hommes.

La Dre Elizabeth A. Young et son équipe ont observé les réactions à la médication chez près de 2 876 sujets âgés de 18 à 75 ans. Ces derniers ont consommé de 20 à 60 milligrammes de cet antidépresseur pendant 14 semaines.

Si les symptômes liés aux troubles dépressifs étaient plus sévères chez les femmes au début de l’étude, les participantes ont été traitées avec succès contre la dépression dans 29,4 % des cas, comparativement à 24,1 % des cas masculins.

Selon les chercheurs, ce phénomène pourrait être attribué à l’effet de l’oestrogène sur la sérotonine, une amine qui est moins secrétée dans le cerveau lors d’une dépression.

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Le Viagra et les femmes dépressives

Une recherche publiée dans le journal de l’American Medical Association nous en apprend un peu plus sur les effets de la célèbre pilule bleue chez les femmes.

Si les effets sur la libido et le désir féminin ne semblent pas concluants, le Viagra améliorerait tout de même la vie sexuelle et l’atteinte de l’orgasme chez 72 % des femmes qui prennent des antidépresseurs.

Les chercheurs, qui ont mené cette étude, croient donc que le Viagra n’est pas suffisamment efficace pour déjouer les antidépresseurs, médicaments dont les effets secondaires atténuent la libido, mais qu’il favoriserait tout de même l’atteinte de l’orgasme.

L’auteur principal de cette recherche, le Dr Stanley Althof, se dit par ailleurs préoccupé que 43 % des participantes aient avoué souffrir de migraines, alors que cette condition ne touchait que 27 % de celles qui prenaient le placebo.

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Les antidépresseurs sans danger

Selon une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal et du CHU Sainte-Justine, les antidépresseurs consommés lors du premier trimestre de la grossesse sont sans danger pour la mère et le foetus.

La chercheuse Anick Bérard a analysé les dossiers médicaux de 2 329 futures mères chez qui l’on avait diagnostiqué un trouble dépressif lors de la grossesse ou qui prenaient des antidépresseurs 30 jours avant d’être enceintes, pour ensuite tenter de faire un lien entre la médication et la mortalité infantile.

« Il s’agit de la première étude portant sur l’effet de la prise d’antidépresseurs pendant le premier trimestre de grossesse sur le risque de malformations congénitales dans la population de femmes atteintes de troubles de santé mentale. En ce qui concerne les malformations à la naissance chez cette population, nous n’avons pas trouvé de différences entre les femmes qui utilisaient des antidépresseurs et celles qui n’en utilisaient pas pendant leur premier trimestre de grossesse », a mentionné Mme Bérard.

Cette découverte permettra donc de traiter sans conséquence ni inquiétude les troubles dépressifs chez la femme enceinte.

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Hausse des prescriptions d’antidépresseurs chez les étudiants

Le quotidien Le Nouvelliste nous apprend qu’il y a une hausse des prescriptions de médicaments pour lutter contre la dépression chez les étudiants qui fréquentent les cégeps du Québec.

Toutefois, Marc Bournival, responsable du service de psychologie du Cégep de Trois-Rivières, mentionne qu’on est encore loin d’une génération dépressive et que la majorité des cégépiens ne sont pas aux prises avec ce trouble de plus en plus fréquent.

« On ne peut pas ne pas s’en préoccuper », a mentionné M. Bournival, qui rappelle qu’il existe un lien entre la consommation d’antidépresseurs et les tendances suicidaires.

Le fait que les étudiants consultent de plus en plus des spécialistes démontre qu’il y a une réelle volonté de se prendre en main.

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L’efficacité des antidépresseurs varie

Les Hispano-Américains et les Noirs atteints par la dépression réagiraient moins bien aux antidépresseurs, comme le Celexa, que les personnes blanches.

C’est du moins l’une des conclusions d’une recherche effectuée sur 2 700 adultes traités pour une dépression majeure à qui l’on a administré pendant 10 semaines le Celexa.

Les patients blancs ont mieux réagi au traitement, tandis que les symptômes de la dépression chez les personnes d’origine noire et d’origine hispanique persistaient à 62 % des cas.

Les chercheurs sont toutefois prudents et croient que les conditions de vie et un état de santé plus pauvre peuvent expliquer les écarts entre les groupes étudiés.

« Les Latino-Américains et les Noirs sont désavantagés sur le plan socioéconomique. Ils ont plus de problèmes de santé, leur niveau d’éducation est moins élevé et leur emploi est généralement moins valorisant », a tenu à préciser dans un communiqué le docteur Ira M. Lesser, qui dirigeait l’étude.

Selon le docteur, une thérapie peut alors être nécessaire, en plus de la médication traditionnelle afin de traiter la dépression.