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Kaley Cuoco : La vraie raison de son divorce

Alors que Kaley Cuoco et Ryan Sweeting étaient restés discrets sur les raisons ayant mené à leur rupture il y a quelques jours, voilà que le US Weekly dévoile que c’est la dépendance à la drogue de Sweeting qui en serait à l’origine.

En effet, le joueur de tennis serait aux prises avec une sérieuse dépendance à des médicaments antidouleurs depuis son opération au dos l’année dernière.

«Elle le soutenait, mais il n’arrivait pas à rester sobre. Il lui disait qu’il allait travailler, mais au lieu de ça il se droguait. Il n’était pas l’homme qu’elle pensait» a confié une source.

Kaley Cuoco s’est donc retrouvée mariée avec un homme différent de celui dont elle était devenue amoureuse. Elle avait visiblement foi en lui, malgré son arrestation en 2006 pour possession de substances illicites et intention de vente.

Selon la même source, le couple aurait tenté à maintes reprises de resserrer les liens, mais chaque tentative a échoué à cause des tensions impossibles à ignorer.

Selon ce que sa collègue de The Big Bang Theory Mayim Bialik a pour sa part confié à E! News, l’actrice de 28 ans se porterait très bien et serait très bien entourée.

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Des antidouleurs qui causent la mort

Medical News Today fait état d’une nouvelle recherche concernant les antidouleurs de type opioïdes, qui créent une forte dépendance et des effets similaires à l’opium et la morphine.

Les résultats de cette étude ont été publiés par les chercheurs de l’Université McGill de Montréal dans la revue American Journal of Public Health.

Les États-Unis et le Canada sont numéro 1 et 2 des pays qui prescrivent en plus grande quantité ce type de médication. Les morts reliées aux opioïdes arrivent souvent aux gens qui les utilisent sans prescription ou qui les combinent à d’autres drogues ou à de l’alcool.

En 2010, uniquement aux États-Unis, les antidouleurs sous prescription ont été responsables de plus de 16 000 décès, et 12 millions d’Américains en utilisaient sans prescription.

Pour Nicholas King, l’auteur de la recherche à la faculté de médecine de McGill, il s’agissait de « trouver des preuves solides » de ce qu’avançaient les différents ouvrages littéraires et les médias.

« Nous n’avons pas trouvé de preuve concrète concernant des ventes sur Internet ou de la part de pharmaciens ou d’erreurs de prescription, comme le laissent croire les médias. »

En sensibilisant le corps médical, King espère que les autres pays éviteront cette épidémie.

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Des antidouleurs qui causent la mort

Medical News Today fait état d’une nouvelle recherche concernant les antidouleurs de type opioïdes, qui créent une forte dépendance et des effets similaires à l’opium et la morphine.

Les résultats de cette étude ont été publiés par les chercheurs de l’Université McGill de Montréal dans la revue American Journal of Public Health.

Les États-Unis et le Canada sont numéro 1 et 2 des pays qui prescrivent en plus grande quantité ce type de médication. Les morts reliées aux opioïdes arrivent souvent aux gens qui les utilisent sans prescription ou qui les combinent à d’autres drogues ou à de l’alcool.

En 2010, uniquement aux États-Unis, les antidouleurs sous prescription ont été responsables de plus de 16 000 décès, et 12 millions d’Américains en utilisaient sans prescription.

Pour Nicholas King, l’auteur de la recherche à la faculté de médecine de McGill, il s’agissait de « trouver des preuves solides » de ce qu’avançaient les différents ouvrages littéraires et les médias.

« Nous n’avons pas trouvé de preuve concrète concernant des ventes sur Internet ou de la part de pharmaciens ou d’erreurs de prescription, comme le laissent croire les médias. »

En sensibilisant le corps médical, King espère que les autres pays éviteront cette épidémie.

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Les antidouleurs peuvent faire perdre de l’ouïe

La prise régulière d’antidouleurs comme l’ibuprofène et le paracétamol peut rendre sourd en fin de vie.
C’est ce que révèle une étude parue dans l’American Journal of Epidemiology. La prise régulière de ces médicaments peut augmenter les risques de surdité de 34 % chez les femmes en fin de vie.
 
Maintenant, il reste à savoir si les résultats seront les mêmes chez les hommes. Des études sont prévues à ce sujet.
 
Les trois ans de recherche chez les femmes démontrent que l’usage des antidouleurs de deux à trois fois par semaine peut faire perdre de l’audition plus tard.
 
Les pertes auditives peuvent être 13 % plus élevées avec l’ibuprofène et aller jusqu’au 24 % si l’usage est de six fois ou plus par semaine.
En ce qui concerne le paracétamol, les risques sont accrus de 13 à 21 %, selon l’usage qui en est fait.
 
De nouvelles études doivent aussi découvrir ce qui cause ce phénomène.
 
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La codéine peut causer la mort chez les enfants

Tout en gardant l’anonymat des enfants, la revue spécialisée Pediatrics a révélé le cas de trois petits (deux Canadiens et un Américain) qui sont décédés en 2010 et 2011, après avoir absorbé des antidouleurs à base de codéine à la suite d’une chirurgie.

Il est ressorti de cette étude que prescrire ce type d’antidouleurs peut représenter un danger pour la vie des enfants. Dans le cas des ces trois bambins, l’autopsie a démontré que leur corps avait assimilé la codéine trop rapidement. Celle-ci aurait pris la forme de morphine et serait ainsi devenue dangereuse pour leur santé.

Selon le docteur Gideon Koren de l’Hôpital pour enfants malades de Toronto, « il serait préférable de soulager la douleur des jeunes enfants avec de l’ibuprofène (Advil et Motrin) ainsi que de l’acétaminophène (Tylenol) plutôt que prescrire des médicaments à base de codéine », cite Radio-Canada.

Malgré le fait que l’ibuprofène soit reconnu pour accentuer les risques de saignement à la suite d’une chirurgie, le Dr Koren croit qu’il est encore mieux de prioriser ce type de médicament à celui à base de codéine.

L’article de Pediatrics mentionne que ces médicaments avaient été prescrits après deux chirurgies visant l’ablation des amygdales et une autre qui consistait à perforer le tympan pour drainer une otite.

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Les neuroleptiques et antidépresseurs ne sont d’aucune aide pour la démence

Les études sur la démence et la maladie d’Alzheimer se font plus nombreuses ces derniers jours avec la Conférence internationale sur la maladie d’Alzheimer qui se tient en ce moment à Paris.
 
Deux études publiées dans des revues médicales britanniques pointent du doigt l’usage des neuroleptiques et antidépresseurs pour traiter la démence.
 
La première étude, dévoilée par The Lancet, rapporte que le professeur Sube Banerjie du King’s College de Londres affirme que deux des antidépresseurs les plus prescrits pour la démence n’apportent aucun bienfaits, mais plutôt des effets secondaires. Ce même professeur avait, en 2009, pointé du doigt l’usage abusif des neuroleptiques dans la maladie d’Alzheimer.
 
« Les deux classes d’antidépresseurs les plus prescrits pour la dépression dans la maladie d’Alzheimer ne sont pas plus efficaces qu’un placebo. Les médecins doivent repenser le traitement des patients Alzheimer dépressifs et reconsidérer leurs habitudes de prescriptions d’antidépresseurs », dit-il.
 
Une autre étude publiée dans le British Medical Journal démontre que les antidouleurs, comme le paracétamol, seraient beaucoup plus efficaces que les neuroleptiques pour calmer les patients déments agités, souvent en raison de leur douleur qu’ils n’arrivent plus à exprimer.