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Les parents refusent de voir la réalité quant aux drogues

Le Centre canadien de la lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies a commandé un sondage qui a été réalisé par téléphone auprès de 1 002 parents. Du lot, 131 parents avaient des enfants âgés de 12 à 17 ans.

Selon 70 % des répondants, leurs adolescents n’ont jamais expérimenté la drogue, que ce soit des substances illicites ou des antidouleurs sous ordonnance. Or, la réalité est tout autre.

Un autre sondage, celui-là réalisé en Ontario en 2009, nous a appris que près du tiers des jeunes de 15 à 17 ans et plus de la moitié des 18 à 19 ans ont fumé de la marijuana durant l’année.

Par ailleurs, le cinquième des parents du présent sondage a reconnu que la pharmacie du domicile contenait des antidouleurs sous ordonnance, mais croit à 92 % que leurs adolescents n’en ont jamais volé.

Pourtant, 18 % des jeunes Ontariens ont avoué en avoir déjà consommé dans un but autre que de soulager la douleur et les avoir pris à la maison.

Michel Perron, chef de la direction du Centre canadien, conseille donc aux parents de parler ouvertement de drogues avec leurs adolescents, sans toutefois le faire d’une manière inquisitrice.

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Les parents refusent de voir la réalité quant aux drogues

Le Centre canadien de la lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies a commandé un sondage qui a été réalisé par téléphone auprès de 1 002 parents. Du lot, 131 parents avaient des enfants âgés de 12 à 17 ans.

Selon 70 % des répondants, leurs adolescents n’ont jamais expérimenté la drogue, que ce soit des substances illicites ou des antidouleurs sous ordonnance. Or, la réalité est tout autre.

Un autre sondage, celui-là réalisé en Ontario en 2009, nous a appris que près du tiers des jeunes de 15 à 17 ans et plus de la moitié des 18 à 19 ans ont fumé de la marijuana durant l’année.

Par ailleurs, le cinquième des parents du présent sondage a reconnu que la pharmacie du domicile contenait des antidouleurs sous ordonnance, mais croit à 92 % que leurs adolescents n’en ont jamais volé.

Pourtant, 18 % des jeunes Ontariens ont avoué en avoir déjà consommé dans un but autre que de soulager la douleur et les avoir pris à la maison.

Michel Perron, chef de la direction du Centre canadien, conseille donc aux parents de parler ouvertement de drogues avec leurs adolescents, sans toutefois le faire d’une manière inquisitrice.