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Risque de diabète chez les enfants et adolescents exposés aux antipsychotiques

C’est ce que rapporte Medical Express, dans des données également publiées dans la revue scientifique Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry.

L’équipe menée par le Dr René Ernst Nielsen, psychiatre au Danemark, a évalué la base de données comprenant 48 299 jeunes qui avaient reçu un diagnostic de trouble mental entre le 1er janvier 1999 et le 30 juin 2010.  Ils ont ensuite validé la corrélation entre la prise de neuroleptiques et son incidence sur les risques de diabète.

Le type de trouble de la santé mentale n’avait aucun lien (plus ou moins susceptible) associé au développement du diabète de type 2. Cependant, les chercheurs ont réalisé que chez les jeunes prenant des antipsychotiques, le taux de diabète se situait à 0,72 %, alors que le taux chez les autres jeunes était de 0,27 %

L’objectif de cette recherche, selon Dr Nielsen, est de s’assurer que ce type de médication ne soit pas utilisé s’il existe une autre méthode moins dangereuse. Notamment, certains médecins prescrivent des neuroleptiques pour des troubles comportementaux qui pourraient être traités autrement.

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Antipsychotiques en hausse chez les jeunes en famille d’accueil

Les antipsychotiques ne sont pas nécessairement désignés pour le TDAH, et une étude a été réalisée en ce sens. Les groupes comparés étaient les jeunes souffrant de TDAH, les différents groupes d’âge, les gens admissibles au régime d’assurance médicament et la présence d’une famille d’accueil.

Les spécialistes ayant participé à l’étude sont Mehmet Burcu et Julie Zito de l’Université du Maryland, Aloysius Ibe de l’Université Morgan State et Daniel Safer de l’institut médical Johns Hopkins.

Au terme de la recherche, ils ont découvert que près du tiers des enfants de 2 à 17 ans ayant reçu le diagnostic du TDAH et vivant en famille d’accueil prenaient des antipsychotiques atypiques. Les plus souvent prescrits étaient la rispéridone, l’aripiprazole et la quétiapine.

Les experts sont alertés, puisque cette médication doit être donnée sous surveillance, être utilisée de façon sécuritaire et pendant une durée limitée. Son utilisation est en hausse dans les familles d’accueil.

Il est évident pour le Dr Harold S. Koplewicz qu’il y a « une tendance inacceptable au sein des spécialistes en psychiatrique infantile », et que cela doit cesser.

Les résultats ont été présentés dans la revue Child and Adolescent Psychopharmacology.

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Antipsychotiques en hausse chez les jeunes en famille d’accueil

Les antipsychotiques ne sont pas nécessairement désignés pour le TDAH, et une étude a été réalisée en ce sens. Les groupes comparés étaient les jeunes souffrant de TDAH, les différents groupes d’âge, les gens admissibles au régime d’assurance médicament et la présence d’une famille d’accueil.

Les spécialistes ayant participé à l’étude sont Mehmet Burcu et Julie Zito de l’Université du Maryland, Aloysius Ibe de l’Université Morgan State et Daniel Safer de l’institut médical Johns Hopkins.

Au terme de la recherche, ils ont découvert que près du tiers des enfants de 2 à 17 ans ayant reçu le diagnostic du TDAH et vivant en famille d’accueil prenaient des antipsychotiques atypiques. Les plus souvent prescrits étaient la rispéridone, l’aripiprazole et la quétiapine.

Les experts sont alertés, puisque cette médication doit être donnée sous surveillance, être utilisée de façon sécuritaire et pendant une durée limitée. Son utilisation est en hausse dans les familles d’accueil.

Il est évident pour le Dr Harold S. Koplewicz qu’il y a « une tendance inacceptable au sein des spécialistes en psychiatrique infantile », et que cela doit cesser.

Les résultats ont été présentés dans la revue Child and Adolescent Psychopharmacology.

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Les médicaments antipsychotiques en forte hausse chez les enfants les plus vulnérables

Des chercheurs américains ont analysé le dossier de 456 315 enfants et jeunes provenant de milieux difficiles entre 1997 et 2006. Ils ont réalisé que 9320 d’entre eux avaient reçu une prescription pour un médicament antipsychotique.

Durant la décennie, la prévalence de ces médicaments a presque triplé, passant de 1,2 % à 3,2 %. Les conditions qui menaient à cette prescription étaient principalement le trouble bipolaire, le déficit d’attention et d’hyperactivité ainsi que les troubles de comportement.

Les experts ont suggéré que cette hausse pourrait être due au fait que « cette population d’enfants reçoit un diagnostic sans pour autant subir une évaluation complète, qui serait requise pour ces conditions psychiatriques plus sérieuses. Également, nous pouvons avancer que malheureusement, le système actuel ne met pas assez l’accent sur la psychothérapie, et met trop l’accent sur la prescription de médicaments », rapporte Medscape.

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Les enfants consomment de plus en plus d’antipsychotiques

 

Publiée en ligne dans les Archives of General Psychiatry, elle mentionne que les psychiatres prescrivent ces médicaments lors du tiers des visites.

Les chercheurs ont déterminé que la prescription d’antipsychotique était passée de 0,24 % à 1,83 % chez les enfants et de 0,78 % à 3,76 % chez les adolescents.

Ces médicaments ne sont donc pas prescrits qu’en cas de schizophrénie ou de troubles bipolaires, mais aussi lorsque l’enfant présente des symptômes d’un déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

Ces médicaments ont toutefois des effets secondaires sur la santé, surtout lorsque prescrits pour une maladie qu’ils ne sont pas supposés soigner.

« Lorsque de tels médicaments sont prescrits, les parents devraient se poser beaucoup de questions. Est-ce que d’autres traitements sont possibles, dont la thérapie? Quels sont les risques probables et comment faire pour que mon enfant les évite? Pendant combien de temps est-ce que mon enfant devra prendre ce traitement? », selon le docteur derrière cette recherche, Mark Olfson.

Rappelons que les enfants qui prennent des médicaments antipsychotiques pour traiter une maladie mentale ou chronique sont six fois plus susceptibles d’être atteints d’un syndrome métabolique à moyen terme.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Grossesse : la prise d’antipsychotiques favorise le diabète gestationnel

Durant la grossesse, prendre des antipsychotiques n’est pas sans risque. La prise de ces médicaments augmente les chances d’avoir du diabète gestationnel, indique une étude suédoise de l’Institut Karolinska à Stockholm et de l’Université Uppsala.

Les femmes enceintes traitées avec des antipsychotiques, utilisés pour soigner les maladies mentales graves ou les troubles bipolaires durant la grossesse, doivent vraiment être surveillées pour le diabète gestationnel, mais également pour la croissance du foetus, indique l’étude publiée dans la revue Archives of General Psychiatry.

Le diabète gestationnel est deux fois plus fréquent chez les mères qui consomment des antipsychotiques, soulignent les scientifiques. Ces traitements ont aussi un effet néfaste sur la croissance du bébé. En plus de la taille du nouveau-né, les antipsychotiques peuvent agir sur sa circonférence crânienne.

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À quels enfants prescrit-on des antipsychotiques?

On lit sur Medscape les observations de chercheurs de l’University of Maryland quant à la prise d’antipsychotiques par les enfants. Il semble que ceux qui se trouvent au sein d’une famille d’accueil en prendraient plus souvent que les autres.

Les enfants qui sont soutenus par une aide gouvernementale recevraient eux aussi plus de prescriptions de ces médicaments.

On se questionne donc sur les pratiques actuelles quant à la prescription d’antipsychotiques au sein de cette population.

Les chercheurs ont pu faire ces constats après avoir passé en revue près de 17 000 prescriptions d’antipsychotiques attribuées à des enfants en 2003.

Plus du tiers des enfants qui vivaient dans une famille d’accueil avaient pris ces médicaments sous avis médical durant plus de 90 jours.

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Répercussions des antipsychotiques sur les enfants

Des chercheurs de l’Université de Washington se sont intéressés à la prise de certains médicaments liés à la santé mentale par les enfants. Il semble, selon leurs conclusions, que ceux qui prennent des antipsychotiques auraient plus souvent des problèmes de poids.

Précisément, la prise de tels médicaments durant trois mois aurait élevé de manière notable leur poids, de même que leur résistance à l’insuline. Les antipsychotiques, chez les enfants et les adolescents, augmenteraient donc le gras corporel et engendreraient certaines anomalies métaboliques.

Ces effets ne seraient pas sans conséquence, car ces changements physiques sont reliés à de plus grands risques de maladies cardiovasculaires et de diabète.

Ces risques ayant été remarqués chez les adultes, on a voulu vérifier ce qu’il en était pour les plus jeunes, notamment chez les enfants ainsi traités sans toutefois présenter de troubles psychotiques (par exemple lorsqu’il s’agit d’autisme ou de TDAH).

Les résultats de cette recherche ayant porté sur 220 enfants âgés de 6 à 18 ans ont été présentés par l’American Diabetes Association sur Medpage Today.

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Mesure médicale informative pour les nouveau-nés

En raison de répercussions observées chez des bébés, Santé Canada réclame aux fabricants de médicaments antipsychotiques de bonifier l’étiquetage de leurs produits.

Rappelons que des mouvements musculaires anormaux ainsi que des signes de sevrage, entre autres, ont été remarqués chez des nouveau-nés dont la mère avait dû prendre ce type de médicaments durant la grossesse.
 
Lesdits symptômes ont été observés durant quelques heures ou jours suivant la naissance, selon l’enfant. Leur gravité varie aussi selon les cas. Parmi ceux décrits, on retrouve des changements du tonus musculaire, des tremblements, de la somnolence et de la difficulté à manger, voire à respirer.

Cette mesure préventive devrait aussi sous-entendre qu’une femme qui est ou qui souhaite devenir enceinte, mais qui prend des antipsychotiques, doit absolument en aviser son médecin. Toutefois, un arrêt des médicaments ne doit pas être envisagé, car cela pourrait avoir des répercussions très graves.

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Les antipsychotiques dangereux pour le foetus

On apprend sur Bloomberg qu’un avis vient d’être émis quant à la prise d’antipsychotiques durant la grossesse. Ils auraient des effets néfastes sur la santé du bébé à venir lorsqu’ils sont ingérés durant le troisième trimestre. On a relevé plus de 20 médicaments du même type pouvant entraîner des séquelles une fois l’enfant né.

Les symptômes les plus courants sont des mouvements anormaux des muscles ainsi que l’absence de certains réflexes, tels que la difficulté à respirer ou à manger.
 
Aux États-Unis, la FDA (Food and Drug Administration) a fait savoir que depuis 2008, 69 cas de nouveau-nés présentant des mouvements anormaux des muscles et dont la mère avait pris des antipsychotiques durant la grossesse ont été rapportés.
 
Toutefois, les patientes qui doivent prendre des antipsychotiques ne doivent en aucun cas arrêter leur traitement sans avoir eu l’avis de leur médecin. L’arrêt abrupt de ce type de médicaments peut entraîner de graves conséquences.

Les antipsychotiques sont en grande partie utilisés pour maîtriser les symptômes de la schizophrénie et des troubles bipolaires.