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Pour en finir avec la grippe

Mieux vaut prévenir que guérir, selon l’adage, mais lorsque l’opération échoue, il faut alors composer avec le problème et tenter d’en finir le plus vite possible.

C’est surtout vrai dans le cas de l’influenza, ou virus de la grippe, qui finit par frapper à peu près tout le monde au cours d’une année. L’arrivée de l’hiver fait bien sûr grimper les statistiques en matière de grippe, et s’ouvre alors le bal des vaccins et des remèdes préventifs.

Top Santé s’intéresse cependant cette fois aux victimes de la grippe, pour qui les nombreux moyens de prévention n’ont pas donné l’effet escompté.

Le Dr Cohen, du GROG, affirme qu’il est préférable de ne pas « attendre que ça passe » et de prendre tous les moyens pour en finir avec la grippe le plus rapidement possible.

Il conseille d’abord l’utilisation d’un antiviral dans les 36 heures suivant l’apparition des premiers symptômes de la grippe, un traitement qu’il est possible de retrouver en pharmacie, sous ordonnance.

On doit ensuite s’accorder beaucoup de repos et s’attaquer ainsi à la fièvre et la fatigue musculaire. La toux est également l’un des ennemis à abattre afin de se relever d’une vilaine grippe, et le choix du traitement peut être laissé à la discrétion du patient (miel, sirop, eau salée, etc.).

L’important, semble-t-il, est de s’accorder du temps pour se soigner, et de ne pas laisser les choses empirer par l’inaction, car une grippe non soignée peut alors s’étirer sur plusieurs semaines d’enfer…

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Les requins à la rescousse des humains?

Une recherche faite au Centre médical de l’Université de Georgetown à Washington démontre que la squalamine, produite par le foie des requins, aurait des propriétés antivirales pour combattre certains virus humains.
 
Cette substance inhibe les cellules sanguines du virus de la dengue et des infections du foie, comme l’hépatite B ou C.
 
De plus, chez les rongeurs, on a réussi à enrayer la fièvre jaune, la maladie du sommeil et un type d’herpès avec la squalamine.
 
« Il s’agit d’une substance prometteuse qui, dans son principe actif et sa structure chimique, n’a rien de commun avec d’autres matières à l’étude en ce moment pour traiter les virus », explique celui qui a découvert la molécule, le professeur Michael Zasloff.
 
Pour le moment, le site MaxSciences mentionne que l’on ne connaît pas encore le dosage exact de squalamine qui serait bénéfique pour combattre les infections. D’autres recherches doivent être effectuées.
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Vers une meilleure guérison de l’hépatite C

L’ajout d’un antiviral nommé le booeprevir au traitement conventionnel contre l’hépatite C doublerait l’efficacité du traitement standard de la maladie, et donc, améliorerait grandement les chances de guérison.

Selon The Lancet, ce sont des chercheurs américains qui ont fait la découverte.

Habituellement, on utilise l’interféron pégylé et la ribavirine pour guérir l’hépatite C; avec le booeprevir, les chances de guérison sont doublées.

L’étude a été faite dans 67 hôpitaux aux États-Unis, au Canada et en Europe.

Cette découverte en est surtout une positive pour les personnes atteintes par le génotype 1 de la maladie, soit le plus difficile à traiter.

Rappelons que l’hépatite C touche 170 millions de personnes dans le monde, et qu’à long terme, elle peut provoquer la cirrhose et le cancer du foie.

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Lueur d’espoir pour le traitement du cancer

La Dre Katherine Borden, de l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC) de l’Université de Montréal, a publié les résultats de sa recherche concernant l’efficacité de la ribavirine, un antiviral, dans le traitement de patients atteints de cancer.

Selon la chercheuse, ce médicament agit sur le gène eIF4E qui est déréglé dans 30 % des cancers.

« Les résultats que nous avons obtenus sont les premiers à montrer que le ciblage du gène eIF4E chez l’humain procure des bienfaits cliniques. Nous avons non seulement démontré que la ribavirine bloque l’activité du gène eIF4E, mais aussi constaté qu’elle n’avait aucun effet indésirable chez les patients », a fait savoir la Dre Borden.

Tous les participants à l’étude souffraient de leucémie myéloïde aiguë M4 ou M5 pour laquelle aucun traitement n’avait été efficace jusqu’ici. « Nous avons observé un degré spectaculaire d’amélioration de l’état des patients, y compris des rémissions partielles et complètes », ont conclu les chercheurs.

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La fin de l’influenza?

La découverte d’anticorps monoclonaux par l’équipe du Dr Robert Liddington, de l’Université Harvard aux États-Unis, laisse entrevoir la fin du virus de la grippe.

Grâce à des travaux menés sur des souris, l’équipe de scientifiques a observé que ces anticorps se fixent sur une région cellulaire, ce qui neutralise la prolifération du virus du groupe 1 (N1).

Toutefois, avant de procéder à des essais cliniques sur les humains, les chercheurs envisagent de travailler avec des furets.

La recherche complète est publiée dans la revue médicale Nature Structural & Molecular Biology.