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Antoine Bertrand se remémore des souvenirs d’enfance

Antoine Bertrand s’est replongé dans ses souvenirs d’enfance lorsqu’il a tourné Frisson des collines. « Les gars qui tirent de la carabine à plombs sur les brassières de la voisine, pas pendant qu’elle les porte, mais quand elles sont accrochées sur la corde, on n’aurait pas eu le même film sinon (rires), c’est un peu de ma jeunesse. J’en ai encore une carabine à plombs. Ayant grandi en campagne, je retrouvais aussi les personnages que j’avais connus. Chez nous, il y en avait un Frisson, il y en avait un Burger. Moi, j’étais plus un Burger, alors je n’ai pas été obligé d’aller chercher loin pour jouer ce rôle », confiait le sympathique comédien à BUM Interactif.
 
Tourner à l’extérieur de Montréal a également créé une belle ambiance sur ce projet. « Aussitôt qu’on sort de la ville, c’est vrai, on a un feeling de colonie de vacances parfois. On dort à l’hôtel et des fois, il peut arriver que quelqu’un achète de l’alcool et peut-être qu’on fête (rires), mais on était tous sur le plateau à 6 h le lendemain matin », déclare le comédien avec un large sourire.
 
Antoine Bertrand semble aussi avoir trouvé un adversaire de taille en la personne du jeune Antoine Olivier Pilon qui incarne Frisson. « C’est un gars très mature, très drôle, il a un sens de la répartie incroyable. Il arrivait à me boucher trois fois par jour et je suis difficile à boucher. Je lui disais qu’il était trop fort pour la ligue lui. »
 
De plus, le comédien en était à son quatrième projet avec le jeune William Monette. « On a des caractéristiques physiques en commun, alors on a vécu les mêmes affaires, donc son personnage de Thibault me ressemblait plus lorsque j’étais jeune. Ça fait quatre fois qu’on tourne ensemble lui et moi. Il m’a joué jeune dans Virginie, il a joué mon frère dans Babine et il a joué mon fils dans Borderline. Tant qu’on sera rond tous les deux, on va travailler ensemble, je crois. Je n’arrête pas de lui dire de ne pas perdre de poids, de ne pas me laisser seul. Ça fait du bien d’en avoir un autre à coté de soi (rires). »
 
Le comédien poursuit le tournage des Boys et des Enfants de la télé, émission pour laquelle il a reçu une nomination au prochain Gala Artis pour l’animation. « Je suis super content, mais je ne m’attendais pas à ça. Ce n’est pas ma job d’être animateur, alors j’espère que je ne me mettrai pas trop à dos les animateurs (rires) », conclut-il.
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Cinéma

Antoine Bertrand sera Louis Cyr au grand écran

Depuis 2004, Antoine Bertrand est pressenti pour incarner Louis Cyr au petit écran, mais le Journal de Montréal nous apprend qu’un projet de film est maintenant en préparation chez Crystal Films.
 
Antoine Bertrand est donc pressenti pour jouer le rôle principal dans le projet cinématographique. « Il est vrai, il est sensible et sera parfait pour ce rôle, même s’il devra s’entraîner. Ce sera très exigeant », mentionne le producteur Christian Larouche au quotidien.
 
Daniel Roby (La peau blanche, Funkytown) réalisera le film et Sylvain Guy (La Liste, Monica la mitraille) signera le scénario. Le projet de 7 millions de dollars sera déposé sous peu devant les institutions pour recevoir le financement.
 
« Ce fut d’abord un projet de série télé, mais chaque épisode aurait coûté 950 000 $. Il y a deux ans, j’ai acheté les droits et je savais que l’histoire du héros Louis Cyr était parfaite pour le cinéma », ajoute le producteur.
 
Louis Cyr a eu une reconnaissance internationale. Il a été l’homme le plus fort au monde. Il est décédé à 49 ans, souffrant d’insuffisance rénale chronique. Selon Christian Larouche, son histoire est des plus intéressante et riche et elle mérite de faire l’objet d’un film.
 
Il est toutefois encore trop tôt pour dire quand nous pourrons voir le résultat en salles.
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Cinéma

Bande-annonce de Starbuck

La bande-annonce de Starbuck de Ken Scott est maintenant diffusée sur la Toile et le sera dès vendredi (26 novembre) dans les salles de cinéma.
 
Scott a coécrit le scénario de ce film avec Martin Petit. Il s’agit de son deuxième long-métrage après Les Doigts croches. Rappelons que Scott a également signé les scénarios de Maurice Richard et La grande séduction.
 
Dans Starbuck, Patrick Huard incarne David Wosniak, un éternel adolescent de 42 ans qui, au moment où il décide de prendre sa vie en main, découvre qu’il est le géniteur de 533 enfants. Sa vie s’annonce donc plus compliquée qu’il ne l’avait prévu.
 
Julie Le Breton, qui a déjà tourné avec Huard dans Cadavres, interprète son amoureuse Valérie, alors qu’Antoine Bertrand incarne un avocat.
 
Le film est produit par André Rouleau de chez Caramel Films.
 
Starbuck devrait prendre l’affiche en juillet prochain.
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Cinéma

Premières images du Poil de la bête

Les toutes premières images du film Le poil de la bête sont maintenant diffusées dans Internet. L’extrait vidéo met en scène Guillaume Lemay-Thivierge et Vivianne Audet dans une forêt. Ils sont vêtus de costumes d’époque et un cri de loup-garou se fait entendre.
 
Le poil de la bête est réalisé par Philippe Gagnon (Dans une galaxie près de chez vous 2) et raconte l’histoire de Joseph Côté, un incorrigible séducteur qui s’évade tout juste avant sa pendaison. Il vole l’identité d’un jésuite et se réfugie dans une seigneurie. Il y apprendra l’histoire du Père Brind’amour, un chasseur de loups-garous. Le jeune homme constate alors qu’il a pris l’identité d’un héros. De plus, il s’éprend d’une fille du Roy dont personne ne veut. Afin de sauver sa vie et celle de la femme qu’il aime, il deviendra un digne successeur du chasseur de loup-garou.
 
Le film met aussi en vedette Antoine Bertrand, Patrice Robitaille, Marc Beaupré, Martin Dubreuil, Michel Barrette, Marie-Chantal Perron, Mirianne Brûlé, Gilles Renaud, Sébastien Huberdeau, Pierre-Luc Lafontaine, Étienne Pilon, Marie-Thérèse Fortin, Patrick Drolet et Benoît McGinnis
 
Le film ne sortira que le 1er octobre prochain, mais déjà nous savons que la suite, Les enfants de chienne, est en écriture.
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Début du tournage du Poil de la bête

Les Films du Boulevard (Le Déserteur) ont annoncé le début du tournage du film Le poil de la bête pour le 25 octobre.

Réalisé par Philippe Gagnon (Dans une galaxie près de chez vous 2), ce film nous transporte en Nouvelle-France en 1665. Joseph Côté (Guillaume Lemay-Thivierge) est un grand séducteur, condamné à mort pour avoir attenté à la vie de l’Intendant Talon. Quelques heures avant sa pendaison, il s’évade et usurpe l’identité d’un jésuite. Il se réfugiera à la Seigneurie Beauport où il sera accueilli comme un héros. Il en deviendra un bien malgré lui en chassant des loups-garous.

Guillaume Lemay-Thivierge partagera la vedette avec Viviane Audet, Antoine Bertrand, Patrice Robitaille, Marc Beaupré, Martin Dubreuil, Marie-Chantal Perron, Mirianne Brûlé, Gilles Renaud, Sébastien Huberdeau, Michel Barrette, Marie-Thérèse Fortin, Patrick Drolet et Benoît McGinnis.

Le tournage se déroulera à Montréal et ses environs jusqu’au 4 décembre. Le film, qui bénéficie d’un budget de 4,5 millions de dollars, sera distribué par les Films Christal et les Films Séville. Le poil de la bête est attendu en salles le 1er octobre 2010.

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Une suite en développement pour Le poil de la bête

Alors que le tournage du Poil de la bête de Philippe Gagnon débutera cet automne, on songe déjà à la suite intitulée Les enfants de chienne, nous apprend La Presse.

 

Guillaume Lemay-Thivierge, Gilles Renaud, Sébastien Huberdeau, Vivian Audet, Marie-Chantal Perron, Patrice Robitaille, Martin Dubreuil, Hubert Proulx et Antoine Bertrand seront les vedettes du Poil de la bête, dont l’histoire se déroule à Québec, en 1665.

 

On mentionne déjà que la fin de la première histoire est ouverte et que le deuxième film, Les enfants de chienne, reprendra le fil narratif quelques mois plus tard. On souhaite faire une trilogie de cette histoire.

 

Le poil de la bête profite des appuis de la SODEC et de Téléfilm Canada pour un budget de quatre millions de dollars. Les producteurs espèrent en récolter deux de plus pour tourner la suite.

 

Le premier film sortira le 10 octobre 2010; le tournage des Enfants de chienne s’amorcerait après cette date.

Distribué par Les films Séville, Le poil de la bête pourra compter sur une vaste campagne de promotion, incluant des bandes-annonces précédant les deux prochains films de la série Twilight.

 

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Borderline est récompensé en Allemagne

Le film Borderline, réalisé par Lyne Charlebois, vient de recevoir quatre prix prestigieux au Festival du film de Mannhein-Heidelberg, en Allemagne.

Le jury international, présidé par le réalisateur allemand Edgar Reitz, a d’abord souligné l’interprétation d’Isabelle Blais en lui accordant une mention spéciale.

Le jury de la FIPRESCI a remis le Prix international de la critique à la réalisatrice Lyne Charlebois.

Borderline a aussi reçu le prix Œcuménique pour la qualité de son interprétation et la force de sa narration.

Puis, le jury des propriétaires de salles de cinéma a remis le Prix de Recommandation à l’oeuvre québécoise.

Borderline sera présenté lors de la Semaine du cinéma du Québec à Paris, dès le 26 novembre.

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Ce qu’il faut pour vivre aux Oscars?

L’équipe de Ce qu’il faut pour vivre a de quoi se réjouir. Parmi les 16 films admissibles, le film de Benoît Pilon a été choisi pour représenter le Canada dans la course aux Oscars pour la catégorie Meilleur film étranger.

Un seul film par pays est accepté pour la course aux Oscars. Ensuite, l’académie choisit cinq d’entre eux pour les nominations au gala.

L’annonce des mises en nomination sera faite le 22 janvier 2009.

Rappelons que Ce qu’il faut pour vivre raconte l’histoire de Tivii (Natar Ungalaaq), un chasseur inuit envoyé dans un sanatorium de Québec pour soigner une tuberculose.

Séparé de son monde, de sa famille, incapable de communiquer, il se laissera mourir. Son infirmière, Carole (Éveline Gélinas), fera alors venir le jeune Kaki (Paul-André Brasseur) d’un autre sanatorium.

Ce garçon connaît le monde des Inuits et des blancs, il parle les deux langues. Sa venue redonnera à Tivii une raison de s’accrocher à la vie.

Le film a remporté le Grand prix spécial du jury au dernier Festival des films du monde de Montréal.

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Borderline présenté à Toronto

Le film Borderline, réalisé par Lyne Charlebois, a été retenu dans la catégorie Canada First pour le prochain Festival international du film de Toronto, qui se tiendra du 4 au 13 septembre prochain.

Mettant en vedette Isabelle Blais, Jean-Hugues Anglade, Antoine Bertrand, Pierre-Luc Brillant, Angèle Coutu, Sylvie Drapeau et Marie-Chantal Perron, Borderline a cumulé des recettes de 1 290 570 $ au box-office québécois, le plaçant en troisième place du palmarès 2008 des films les plus populaires.

Basé sur deux romans de Marie-Sissi Labrecque, Borderline raconte la vie d’une étudiante en littérature, élevée par sa grand-mère après l’internement de sa mère dans un centre psychiatrique, qui fait face à son douloureux passé, constitué d’évasions dans le sexe et la drogue, tout en constatant que sa liaison avec son professeur, marié, ne mènera nulle part.

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Ce qu’il faut pour vivre, sélectionné pour le FFM

Le film Ce qu’il faut pour vivre du réalisateur Benoît Pilon (Roger Toupin, épicier variété) sera présenté en grande première le 25 août prochain, lors du Festival des films du monde de Montréal.

Le scénario est cosigné par Bernard Émond et Benoît Pilon. Le film met en vedette Natar Ungalaaq (Atanarjuat – La légende de l’homme rapide), Éveline Gélinas, Vincent-Guillaume Otis, Paul-André Brasseur, Louise Marleau, Guy Thauvette et Antoine Bertrand.

L’histoire nous plonge dans les années cinquante, alors qu’une vague de tuberculose fait rage dans le Grand Nord canadien, obligeant les Inuits à se faire soigner dans différentes villes. Tivii (Natar Ungalaaq) doit se faire soigner à Québec. Incapable de communiquer, il se retrouve dans un univers totalement inconnu.

Son infirmière, Carole (Éveline Gélinas), demandera le transfert du jeune orphelin Kaki dans son sanatorium, car il a connu le monde inuit et parle aussi la langue. Tivii pourra ainsi partager sa culture.