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Les enfants qui évitent les situations stressantes font souvent de l’anxiété

Des chercheurs américains ont évalué 800 enfants à partir de l’âge de 7 ans, par le biais de questionnaires portant sur les tendances d’évitement et destinés aux jeunes ainsi qu’à leurs parents.

Les chercheurs ont été surpris de constater à quel point l’évitement des situations faisant peur aux enfants était lié au développement de l’anxiété.

La plupart des jeunes participants ont maintenu un niveau d’anxiété stable un an après l’étude, mais ceux qui avaient des comportements d’évitement étaient plus anxieux après cette période.

Il y a de l’espoir toutefois : 25 de ces enfants anxieux ont suivi une thérapie cognitivo-comportementale qui les a lentement exposés aux situations qui leur faisaient peur. Après un an, le taux d’évitement rapporté par leurs parents avait diminué de moitié.

« Cette approche pourrait nous permettre d’identifier les enfants qui sont à risque de développer un trouble anxieux. Les enfants qui évitent les situations stressantes ne peuvent pas faire face à leurs peurs, et par conséquent, ne peuvent apprendre que leurs peurs sont gérables et peuvent être contrôlées », a fait remarquer l’auteur de l’étude, le Dr Stephen Whiteside, selon Science Daily.

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L’hyperactivité favoriserait les idées suicidaires

L’étude proposée par l’Hôpital pour enfants de Boston émet un constat inquiétant après avoir suivi 232 enfants atteints du TDAH jusqu’à l’âge adulte.

Le principal responsable de la recherche, le Dr Barbaresi, est particulièrement inquiet des résultats, puisque l’échantillonnage a été prélevé sur une population de classe moyenne ayant facilement accès aux soins de santé. Malgré cela, seulement 37 % des enfants participant à l’étude n’ont pas développé de trouble mental additionnel à l’âge adulte.

Le TDAH touche 3 garçons pour 1 fille et atteint plus ou moins 7 % des enfants. Alors que la pensée populaire juge que l’affection est « surtraitée », le Dr Barbaresi pense tout le contraire.

D’une part, le TDAH ne diminue pas nécessairement à l’âge adulte. La recherche démontre que 29 % des jeunes étaient toujours aux prises avec le trouble. Chez 57 % des cas étudiés, un trouble psychiatrique s’est déclaré dès l’âge adulte, ou plus tôt.

Il s’agissait principalement de toxicomanie, de troubles de la personnalité, d’anxiété ou dépression majeure, ou encore d’épisodes hypomaniaques et de suicide.

Le Dr Barbaresi insiste auprès des parents. Il est primordial de maintenir un suivi serré jusqu’à l’adolescence, puis il faut observer de près les signes de toxicomanie, de dépression et d’anxiété, même chez les plus jeunes.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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Votre chat pourrait améliorer votre santé

Si vous possédez un chat, et qu’il aime bien ronronner, il pourrait bien s’avérer plus utile que vous le croyez, spécialement en ce qui concerne votre santé!

C’est ce que l’on comprend des propos du Dr Jean-Yves Gauchet, vétérinaire et père de la théorie du « ronron », ou « ronron thérapie », comme il l’appelle.

Ses dires sont rapportés par Top Santé, et le docteur affirme que le ronronnement félin peut venir en aide à plusieurs patients qui souffrent, notamment, de problèmes d’anxiété et de stress.

« Quand l’organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique. C’est le premier signal que la mère envoie à son petit, un appel de reconnaissance et d’apaisement qui fonctionne aussi avec l’homme », lance le vétérinaire.

Cette idée est bien connue de certains peuples, notamment des Japonais.

Même son de cloche du côté de la journaliste Véronique Aiache, qui rappelle : « À fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal. Les vibrations émises par le ronronnement ont d’ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse ».

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Comment aider son enfant anxieux

La première étape cruciale, c’est de déceler le problème. Plus rapidement vous aidez votre enfant, meilleur sera son pronostic à long terme.

Une certaine dose d’anxiété est normale. Après tout, c’est une réponse normale et saine au stress. Presque tous les enfants vivront de temps à autre des moments de forte inquiétude, d’anxiété de séparation avec leurs parents, etc. Cependant, si cette anxiété empêche votre enfant de fonctionner normalement, il serait bon de consulter.

Quelques signes : l’enfant devient irrationnel, sa peur est démesurée par rapport à la cause du problème, l’enfant a des attentes beaucoup trop élevées face à lui-même, il n’arrive pas à contrôler ses comportements, et il évite des activités agréables ou n’arrive pas à y participer.

Écoutez bien votre enfant. Soyez honnête et posez-lui des questions pour mieux comprendre comment il se sent. Évitez de le juger et d’apparaître anxieux vous-mêmes.

Essayez de préparer l’enfant à des situations anxiogènes en lui expliquant ce qui va arriver et ce qu’il pourrait faire si quelque chose ne se passe pas comme prévu.

Il existe des psychothérapies adaptées à l’anxiété qui pourraient aider votre enfant, de même que certains médicaments.

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Les médicaments contre l’anxiété encore blâmés

On le sait, mais on ne le répètera jamais assez : si les médicaments contre la dépression et l’anxiété peuvent fonctionner et apporter une solution temporaire, il ne faut pas en abuser.

Il faut aussi mettre fin au traitement tôt ou tard, et plus tôt que tard sera certainement une bonne option.

Deux nouvelles études sur le sujet viennent de paraître et mènent à des recommandations que reprend Topsante.com.

Selon Bernard Bégaud, auteur en chef de l’étude, il y a d’abord un risque accru et vérifiable de démence chez les gens de 65 ans et plus qui utilisent ce genre de traitements.

Et ces « traitements » visés sont particulièrement ceux de benzodiazépines, prescrits pour traiter les troubles d’anxiété.

Selon les spécialistes questionnés, cette récente conclusion s’ajoute à la liste des autres risques observables en ce qui concerne les traitements par benzodiazépines.

On rappelle également que ces méthodes de traitement ne devraient être prescrites que lorsque d’autres méthodes ont échoué, notamment la thérapie.

De plus, les traitements de benzodiazépines peuvent créer une forte dépendance, laissant le patient aux prises avec un problème plus lourd qu’avant le traitement.

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Les réactions face au stress seraient influencées par les neurones

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont réussi à identifier un processus cérébral qui pourrait expliquer pourquoi certaines personnes réagissent mieux que d’autres en situation de stress.

Il s’agit en fait d’un système précis de circuits cérébraux qui déclenchent une réaction de résilience ou de susceptibilité accrue face à des éléments stressants ou angoissants.

On croit que ce système est celui qui peut mener certaines personnes vers des états dépressifs lorsque confrontées à des événements ou des épreuves difficiles. On croit donc que certaines nouvelles méthodes pourraient être appliquées dans le traitement de la dépression ou de l’anxiété chronique, notamment.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont reproduit ce système sur des souris, en augmentant ou en inhibant le processus en question. Pour y parvenir, on a créé un système précis par luminosité, qui ne dure qu’une fraction de seconde.

Les rongeurs ont alors réagi exactement comme on le prédisait. Les souris plus « fortes » ont sombré dans des états dépressifs lorsque placées en situation de stress, alors que les souris plus anxieuses ont semblé plus résilientes, soudainement.

Le Dr Ming-Hu Han, de la Mount Sinai School of Medicine de New York, explique : « Pour la première fois, nous avons démontré qu’un contrôle spécifique de certains circuits du cerveau peut changer immédiatement les comportements dépressifs ou anxieux, notamment avec notre méthode, en utilisant une lampe DEL ».

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La caféine pourrait bien vous rendre trouillard

Voici une nouvelle qui en surprendra plus d’un, et qui fera certes sourire plusieurs grands consommateurs de café.

C’est que la National Sleep Foundation vient de faire paraître une série de symptômes qui peuvent accompagner une trop grande consommation de caféine, et l’un de ceux-là est la peur.

www.nlm.nih.gov parle de « trouille », un sentiment relatif à la peur, mais aussi apparenté à l’angoisse et l’anxiété. On suggère d’abaisser sa consommation de café si l’on est sujet à ce genre de réactions négatives.

Aussi, on rappelle qu’un trop-plein de caféine peut aussi mener à de l’irritabilité, des étourdissements, des nausées, des maux de tête et de l’insomnie.

L’association parle également des risques de palpitations cardiaques, ou encore carrément de l’accélération du rythme du cœur. Aussi, une trop grande consommation de caféine peut mener à des problèmes de motricité, certaines personnes subissant soudainement des problèmes de coordination.

La déshydratation et des passages à la salle de bains plus fréquents sont à prévoir. On peut compenser la déshydratation par une consommation accrue d’eau, mais le meilleur moyen demeure encore de boire moins de café.

Plusieurs associations et spécialistes s’accordent pour dire qu’on ne devrait pas dépasser trois cafés par jour, en moyenne.

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La psychothérapie aide les enfants qui font de l’asthme et de l’anxiété

L’étude, publiée dans Nursing Children and Young People, a porté sur des enfants de 7 à 16 ans qui étaient asthmatiques et qui avaient également reçu un diagnostic d’anxiété reliée à leur santé.

Les infirmières, qui avaient reçu une formation de base, ont appris différentes techniques aux enfants, par exemple le fait de se concentrer sur le moment présent plutôt que de s’inquiéter à propos de ce qui pourrait arriver ou ce qui est arrivé dans le passé. Les enfants ont également appris à restructurer leurs pensées négatives récurrentes et à les remplacer par des pensées positives, afin d’empêcher le mécanisme d’anxiété de s’enclencher.

Une formation sur les effets physiques de l’anxiété a aussi été prodiguée aux jeunes, qui ont par exemple appris comment une respiration dysfonctionnelle peut mener à l’hyperventilation. Finalement, des techniques de relaxation et de respiration d’urgence ont été inculquées.

« Le programme nous apparaît comme efficace, procurant un accès rapide à une intervention psychologique chez des patients qui en éprouvaient le besoin », ont affirmé les auteurs, selon Science Daily. « L’étude révèle aussi le besoin pour tout le personnel infirmier d’être au courant de l’effet négatif de l’anxiété sur l’asthme. »

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Un lien entre le stress en bas âge et l’anxiété à l’adolescence chez les filles

Une étude s’est attardée sur les liens entre l’exposition au stress dans les premières années de vie et le développement de problèmes de santé mentale comme l’anxiété et la dépression.

Les chercheurs ont analysé les encéphalogrammes de 57 adolescents, 28 filles et 29 garçons. Le cerveau de certaines filles présentait des connexions cérébrales plus faibles entre la région qui interprète les « menaces » perçues et la région qui permet de réguler les émotions négatives.

En étudiant l’historique de ces filles, les chercheurs ont pu observer que celles-ci avaient souvent eu une mère qui vivait beaucoup de stress lorsqu’elles étaient bébés. De plus, à l’âge de quatre ans, ces filles avaient un niveau de cortisol élevé – cette hormone étant directement liée au stress.

Les jeunes filles devaient également décrire leur niveau de stress au moment de l’encéphalogramme, mais ce facteur a été beaucoup moins significatif pour prédire leurs connexions cérébrales que leur historique d’exposition au stress, selon PsychCentral.

« Ces données posent des questions sur la manière dont les garçons et les filles ont une réponse différente au stress vécu en bas âge. Nous savons que les femmes souffrent plus souvent de troubles d’humeur et de l’anxiété, et cette différence entre les sexes est très prononcée, particulièrement à l’adolescence », a rapporté l’auteur de l’étude, Richard Davidson, un professeur de psychologie et de psychiatrie à l’Université du Wisconsin à Madison.

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Les mathématiques peuvent vous faire mal

Les mathématiques peuvent vous faire mal… et ce n’est pas une figure de style. Selon santelog.com, qui rapporte une étude américaine (Chicago), des chercheurs ont établi que les mathématiques ou certaines sciences peuvent causer de véritables maux aux gens qui ne se sentent pas à la hauteur.

Cette réaction en déclenche une autre d’anxiété, que le cerveau peut matérialiser en véritables douleurs physiques. Il s’agit du même genre de réaction que lorsqu’une personne subit un rejet social ou se retrouve en situation de danger, toujours selon le site.

Le simple fait d’être obligé de résoudre des équations peut enclencher ce processus chez ceux qui n’ont pas la bosse des mathématiques.

Ces réactions d’angoisse ou d’anxiété qui se métamorphosent en douleur physique existent déjà, selon les chercheurs. Cela dépend de la personne et de ses peurs, mais l’appréhension peut mener au mal.

Ces données permettent de mieux comprendre certains comportements humains, puisqu’il semble évident qu’une personne va tenter d’éviter toute situation qui le place dans ce genre de situation extrême.

On peut remarquer ce phénomène, dans le cas qui nous concerne, chez les gens qui fuient tout type de calcul mental ou tout genre de problème mathématique, et ce, tout au long de leur vie.