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Les impacts d’un désastre comme Sandy sur la santé mentale

Les dégâts causés par une tempête de la magnitude de celle que l’on a connue cette semaine, Sandy, ne se limitent pas qu’au matériel.

Bien sûr, il est facile de penser à cet aspect en premier lieu, avec les images en continu de dévastation et de destruction que nous proposent les chaînes de nouvelles. Cependant, il y a également la santé mentale qui peut en prendre un coup, selon www.nlm.nih.gov.

D’abord, il y a la famille et les proches des disparus qui doivent subir un choc émotionnel incomparable et commencer un deuil qui semble impossible.

De plus, toute la population en général, témoin de ces désastres, peut aussi subir les contrecoups de ces tragédies et voir leur santé mentale être affectée. C’est justement ces images en continu que la télévision nous renvoie qui en seraient la première cause.

Les spécialistes, dont des psychologues, affirment que les effets psychologiques de ces images vont assurément rendre plusieurs personnes apeurées et instables émotionnellement.

Des symptômes de « désordre de stress accru » (acute stress disorder) sont vérifiables un peu partout en Amérique à la suite du passage de l’ouragan Sandy.

On suggère aux gens sensibles à ces images et phénomènes de limiter le visionnement des chaînes de nouvelles en continu. La même règle s’applique autant, et même davantage, aux jeunes enfants.

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Une nouvelle étude s’attarde sur les comportements anxieux chez les parents

La science a déjà établi un lien entre des parents anxieux et des enfants anxieux, mais de nouvelles données précisent quels comportements semblent favoriser la transmission d’une génération à une autre.

Selon des chercheurs de l’Université Hopkins, la forme la plus répandue des troubles anxieux, la phobie sociale, était celle qui risquait le plus de générer de l’anxiété chez les enfants.

L’étude s’est attardée aux interactions entre 66 parents anxieux et leurs enfants de 7 à 12 ans. Les chercheurs ont observé les patients alors qu’ils collaboraient à accomplir deux tâches, et les ont évalués selon différents critères.

Parmi ceux-ci, les chercheurs ont remarqué que les parents souffrant de phobie sociale étaient moins affectueux envers leurs enfants, les critiquaient beaucoup plus et exprimaient des doutes sur les capacités de réussite des jeunes.

Ces comportements parentaux sont reconnus pour susciter de l’anxiété chez les enfants, et s’ils sont répétés, ils peuvent se transformer en un véritable trouble anxieux chez les jeunes, ont affirmé les chercheurs, selon ScienceDaily.

L’anxiété est causée par une combinaison de facteurs génétiques et liés à l’environnement. Les chercheurs ont souligné l’importance de mieux maitriser les facteurs environnementaux pour prévenir le développement de troubles anxieux chez les enfants.

Un enfant sur cinq souffre d’anxiété aux États-Unis, mais cette maladie est encore peu diagnostiquée.

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LeAnn Rimes a été en thérapie toute sa vie

La star de 30 ans a décidé d’elle-même d’entrer dans un centre pour traiter son anxiété et son stress, pendant une période d’un mois.

Elle insiste désormais sur le fait qu’elle tourne la page et peut entamer un nouveau chapitre de sa vie.

« Combien de gens ont la chance de repartir à neuf de nos jours, et surtout à cet âge? », a confié Rimes lors d’une entrevue avec Katie Couric.

La chanteuse du succès Fight the Moonlight admet qu’elle se sentait « affreusement blessée » avant d’entrer en réadaptation. Elle ne comprenait pas que les gens la questionnent quant à sa difficulté à traverser une période difficile, surtout concernant les critiques négatives sur sa relation avec son mari, Eddie Cibrian.

Rappelons que le couple avait commencé à se fréquenter alors qu’ils étaient tous les deux mariés avec d’autres personnes.

L’entrevue de l’émission de Katie Couric devrait être en ondes d’ici la fin de la semaine. Pendant son entretien, LeAnn Rimes a déclaré qu’elle aimait bien parler de ses progrès réalisés en thérapie.

« J’ai été en thérapie toute ma vie. J’aime le fait qu’une personne intermédiaire et impartiale m’écoute, sans critique, sans avoir aucun rapport dans ma vie, aucune emprise », explique Rimes.

« Tout le monde a une opinion quant à ce que je devrais être ou devrais faire, mais maintenant, je priorise ce que je souhaite moi-même être. »

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Les femmes et le stress

En effet, Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à démontrer clairement ce phénomène, et même à en déterminer les raisons. Lorsqu’on dit que les femmes sont plus « émotives », il s’agit là d’un stéréotype facile, mais expliquer les raisons de ce jugement s’avère plus complexe.

Les spécialistes croient qu’une partie de la réponse se trouve dans l’évolution. Les femmes auraient plus tendance à ressentir du stress lorsqu’on attaque ou met en péril l’intégrité physique ou psychologique de sa famille, surtout de ses enfants. L’instinct de mère, évoluant au fil des générations, devient un principal facteur de réaction chez la femme.

L’homme, lui, serait plus enclin à réagir au stress devant des situations qui menacent son propre bien-être. Une réaction beaucoup plus égoïste, mais bien réelle.

De plus, les chercheurs pointent du doigt l’ère numérique et d’informations rapides dans laquelle on vit. Être bombardé de nouvelles, souvent pessimistes et négatives, placerait la femme moderne dans un état de stress plus élevé que l’homme.

En contrepartie, la femme qui voit son taux de cortisol augmenter (réaction du corps en période de stress) voit aussi sa mémoire s’activer davantage et retenir plus d’informations que l’homme.

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Le travail humanitaire favoriserait l’anxiété et la dépression

 Les bonnes âmes qui se dévouent chaque jour un peu partout sur la planète devraient surveiller leur santé mentale, affirme nlm.nih.gov.

En effet, il appert que le travail humanitaire favoriserait les problèmes d’anxiété et de dépression nerveuse, qui peuvent survenir pendant le voyage et au retour.

Un rapport propose donc aux employeurs dans ce domaine de mettre en place certaines mesures pour contrer le phénomène.

Dans l’étude, les chercheurs ont sondé plus de 200 travailleurs humanitaires et les ont suivis avant, pendant et après leurs interventions.

Au départ, on notait 4 % des travailleurs sujets à l’anxiété, et 10 % qui présentaient des symptômes de dépression. Il s’agit de statistiques normales, en comparaison avec le reste de la population.

Durant les affectations, les chiffres ont grimpé jusqu’à 12 % (anxiété) et 19 % (dépression diagnostiquée). Au retour, le taux d’anxiété rapporté chutait immédiatement de 8 %. La dépression, quant à elle, poursuivait sa hausse vertigineuse avec un taux de 20 %.

Tout comme pour les militaires, le retour à la maison peut s’avérer difficile, et il faut prendre conscience de ce phénomène, selon Alastair Ager, professeur à la Columbia University’s Mailman School of Public Health de New York.

Une vie sociale bien remplie et un soutien soutenu des proches sont des éléments clés dans le maintien d’une bonne santé mentale pour les gens qui vivent des expériences intenses comme l’aide humanitaire, conclut l’étude.

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George Michael doit être soigné pour anxiété

George Michael doit vivre quotidiennement avec des troubles d’anxiété graves, séquelles de son combat face à la mort, qu’il a vue de près lorsqu’il a souffert d’une pneumonie.

On a forcé le chanteur britannique à annuler les concerts de sa tournée Symphonica, en novembre, puisqu’il doit consulter un spécialiste.

George Michael, 49 ans, a annoncé la nouvelle après une performance au London’s Royal Albert Hall hier (30 septembre).

Il a déclaré : « J’ai annoncé aujourd’hui l’annulation de spectacles en Australie, ce qui me brise le coeur ».

Visiblement émotif, le chanteur a poursuivi : « La seule chose que je peux vous donner comme explication, c’est que depuis ma maladie de l’année dernière, j’ai tenté en vain de surmonter mon traumatisme. Les médecins m’avaient pourtant avisé qu’il se pouvait que je traverse cette période ».

Michael explique aussi qu’il était certain, à tort, que de retourner sur scène, en compagnie de ses fans, lui ferait le plus grand bien, puisque c’est ce qui le rend le plus heureux.

L’artiste a sous-estimé les contrecoups de ce genre de traumatisme et avait même donné 1000 billets aux médecins et infirmières qui, selon lui, lui ont sauvé la vie.

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L’anxiété influencée par le tempérament

En fait, les chercheurs étudient le lien entre le style de pensée des enfants et la tendance qu’ils ont à interpréter une menace dans une situation.

« Un enfant qui interprète souvent les choses de la mauvaise façon peut penser qu’un ami qui ne lui dit pas bonjour à l’école signifie que leur amitié est chose du passé plutôt que l’ami était distrait et ne l’a pas vu. On se penche sur la façon dont les enfants interprètent le monde autour d’eux, et quels facteurs chez l’enfant et les parents peuvent influencer ces interprétations », explique le psychologue clinique Andres G. Viana.

Ce style d’interprétation négative pourrait mener à des troubles d’anxiété comme un trouble de l’anxiété de la séparation, l’anxiété généralisée, la phobie sociale, un trouble de panique ou un trouble de stress post-traumatique.

L’étude permettrait de mieux comprendre la personnalité de l’enfant afin de mieux prévenir différents types de troubles anxieux.

Selon le Journal of the American Medical Association, plus de 32 % des enfants expérimenteront un de ces troubles avant l’âge adulte.

Rappelons qu’après de graves traumatismes, certains troubles d’anxiété ne se résorberont jamais.

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Les enfants migraineux enclins à la dépression à l’âge adulte

L’étude, menée au Brésil auprès de 1856 enfants âgés de 5 à 11 ans, apporte des résultats concluants. Plus les migraines sont fréquentes, plus les chances de développer un désordre comportemental sont élevées.

Selon medicalnewstoday.com, c’est ce que rapporte le directeur du Glia Institute de São Paulo, Marco Arruda, en collaboration avec Marcelo Bigal du Albert Einstein College of Medicine à New York.

Arruda explique : « Plus de 3 % des enfants souffrent de fréquents maux de tête dès la petite enfance, jusqu’à l’adolescence. Une étude ultérieure avait déjà démontré le lien avec les problèmes physiques et mentaux tels que l’hyperactivité, les problèmes d’attention, la dépression et l’anxiété ».

Cependant, les chercheurs affirment que la fréquence et la durée des migraines n’avaient pas été considérées auparavant. Maintenant que ces résultats confirment cette théorie, il sera possible, dans le milieu médical, de mieux traiter ces enfants de façon préventive.

Néanmoins, d’autres recherches plus poussées devront être menées afin de déterminer de façon plus précise l’impact des migraines infantiles sur le comportement psychologique adulte.

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Les mathématiques causent de l’anxiété même en 1re année

Alors que l’on s’imaginait le contraire, les résultats de la première étude sur le sujet de l’anxiété auprès des élèves du primaire contredisent la pensée populaire.

Les résultats, publiés dans le Journal of Cognition and Development, mettent en lumière les recherches de Sian Beilock et Gerardo Ramirez du UChicago et leurs collègues, Elizabeth Gunderson et Susan Levine.

Les données ont été recueillies auprès de 88 étudiants de première année et 66 de deuxième année. Les facteurs analysés étaient les habilités pédagogiques, la mémoire dite « de travail » et la peur des mathématiques sur une échelle précise.

Puisque les élèves moins doués se mettent moins de pression, ils apprennent rapidement à contourner la mémoire de travail et, par exemple, vont compter sur leurs doigts. Justement, en consultant les résultats, Ramirez a constaté que l’anxiété créait une interférence avec la mémoire de travail, que les jeunes doués utilisent habituellement.

« Cette mémoire est la plus importante lorsque vient le temps de résoudre des problèmes mathématiques », affirme Ramirez. « Une anxiété précoce aura une tendance à effet boule de neige. Les enfants se démotivent, changent leur attitude et finissent même par éviter les mathématiques. »

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Le soja pour contrer les effets du bisphénol A

Nous savions qu’une exposition au bisphénol A (BPA) en début de vie pouvait augmenter les risques de souffrir de troubles anxieux, car cela provoque des changements d’expression génétiques dans l’amygdale du cerveau.

Selon la revue PLoS ONE, une alimentation riche en soja pourrait contrer ces effets.

Des chercheurs ont exposé des rats à de faibles doses de BPA pendant la gestation, la lactation et la puberté. Un groupe a reçu une alimentation exclusivement à base de soja, un groupe n’en a pas reçu, un groupe a eu du soja et a été exposé au BPA, et un groupe n’a pas eu de soja et a été exposé au BPA.

Les rongeurs qui n’ont pas eu de soja et ont été exposés au bisphénol A avaient un niveau d’anxiété élevé, puis on a remarqué dans leur cerveau des modifications génétiques liées aux troubles anxieux.

Les rats qui ont reçu une alimentation riche en soja n’ont pas démontré de signe d’anxiété, ce qui laisse croire que le soja peut réduire les effets du bisphénol A.