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Les changements climatiques et la santé mentale

Quoique le sujet ne soit encore que très peu étudié, on pense de plus en plus que les changements climatiques ont un impact sur notre santé mentale. Entre autres, à la suite d’une catastrophe liée au climat, 1 personne sur 5 souffrira d’une blessure émotionnelle et de stress.

 

De plus, l’Institut du climat, un organisme australien, a noté un grand nombre de suicides lorsque de tels événements surviennent, de même qu’une plus grande propension à l’alcoolisme.

 

On lit aussi dans La Presse que les enfants sont plus vulnérables à ces impacts climatiques que les adultes, car ils vivent plus d’anxiété et souffrent plus facilement d’insécurité.

 

Une nouvelle étude vient donc être entamée afin de mieux comprendre cesdits effets des changements climatiques sur la santé mentale de la population en général.

 

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La thérapie par le jeu

Medical News nous apprend qu’une équipe du Rochester Institute of Technology et du St. Fisher College travaille sur un projet qui pourrait changer le monde de la thérapie auprès des plus jeunes.

Les enfants et adolescents d’aujourd’hui sont de plus en plus nombreux à opter pour la thérapie. Ils demandent de l’aide, notamment pour gérer ou régler leur anxiété et la pression qu’ils peuvent subir.

C’est dans cette optique que cette équipe de chercheurs prépare un jeu vidéo qui aura pour but de les aider à améliorer leurs aptitudes de maîtrise de soi. La plateforme logicielle en question, basée sur des contrôleurs psychosociaux, aidera les jeunes patients d’une toute nouvelle façon.

Ainsi, le jeu s’entame par une évaluation, en incluant l’utilisateur comme personnage, ce qui aidera celui-ci à mieux comprendre et décrire ses anxiétés et son comportement.

Des détecteurs physiologiques sont structurés dans le jeu vidéo, ce qui permettra au joueur de mieux reconnaître les manifestations de son anxiété et de son stress.

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Les nausées prédisent le comportement

Une nouvelle étude américaine soutient que les nausées du matin chez la femme enceinte pourraient engendrer certains troubles du comportement, apprenons-nous dans le Journal of Developmental Origins of Health and Disease.

Toutefois, ce lien serait établi lorsqu’il s’agit de nausées extrêmes, lequel problème se nomme l’hyperemesis gravidarum (HG). Dans certains cas, il peut mener à une hospitalisation, voire à un arrêt de la grossesse.

Il semble donc que les enfants dont la mère aura souffert du HG seraient 3,6 fois plus enclins à présenter un trouble bipolaire, de l’anxiété ou de la dépression, une fois l’âge adulte atteint.

Des études précédentes avaient fait un lien entre des nausées persistantes de la future maman durant son premier trimestre de grossesse et des troubles d’apprentissage et d’attention chez l’enfant (à l’âge de 12 ans).

L’hyperemesis gravidarum (HG) serait une cause de malnutrition et de déshydratation, ce qui aurait des impacts sur le développement cérébral du fœtus.

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La musique contre le cancer

Dans le cadre d’une étude dirigée par la Drexel University (Philadelphie), on a remarqué l’effet considérable de la musique sur l’état de jeunes patients cancéreux. En faisant l’étude de 30 recherches précédentes, on a relevé des améliorations quant à la douleur, notamment.

On a aussi remarqué une amélioration des signes vitaux comme la pression sanguine et l’humeur. En effet, les enfants de l’étude – tout comme les adultes, d’ailleurs – ont vécu moins d’anxiété s’ils écoutaient de la musique dans le cadre d’un traitement, selon Medical News Today.

Mentionnons que dans certains cas, les patients étaient invités à jouer du piano, à chanter, ou encore à créer des mélodies à l’aide d’un thérapeute.

C’est donc avec raison que l’on envisage d’intégrer la musique non seulement dans les traitements habituels contre le cancer, mais aussi contre des maladies chroniques et d’autres maladies dégénératives qui affectent les émotions.

Il n’y a encore aucune évidence quant au type de musique, mais il semble que ce soit plus efficace si les airs choisis correspondent aux goûts du patient, entre autres.

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La maladie mentale devient physique

Selon des chercheurs de l’University of Otago, en Nouvelle-Zélande, des problèmes de santé mentaux ou psychologiques, lorsque l’on est jeune, sont reliés à l’apparition de troubles physiques plus tard dans la vie.
 
Comme nous le lisons dans Archives of General Psychiatry, des problèmes tels qu’une dépression, de l’anxiété, la mort d’un parent, voire un divorce, seraient associés au développement de trois problèmes de santé chroniques.
 
Il s’agit de l’ostéoarthrite (la forme la plus courante d’arthrite), les douleurs chroniques à la colonne vertébrale et les maux de tête.
 
L’apparition en bas âge de problèmes mentaux ou psychologiques était toujours en relation avec de telles maladies chroniques à l’âge adulte dans la présente recherche.
 
Les chercheurs affirment aussi que l’on doit accorder une plus grande importance au trouble de l’enfance, puisqu’il serait associé à une plus forte probabilité de maladie chronique durant la vie adulte.
 
Bien que jusqu’ici on ait considéré l’influence de facteurs psychosociaux sur la santé future d’un enfant, on a peu pensé à celle de la santé mentale.
 
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Influencez-vous la personnalité de votre enfant?

Les parents utilisent chacun leur méthode pour éduquer leurs enfants, tentant de réduire certains comportements et d’en encourager d’autres. Pourtant, il semble que ce ne sont pas toutes les techniques qui vont à tous les enfants.

C’est ce que soutiennent des psychologues de l’University of Washington. Selon leur étude parue dans le Journal of Abnormal child Psychology, il serait profitable pour l’enfant que l’éducation qui lui est donnée concorde avec sa personnalité.

On a remarqué, au fil de cette recherche de trois ans, qu’un bon accord entre le style d’éducation et la personnalité de l’enfant a fait baisser de la moitié les symptômes liés à la dépression et à l’anxiété.

À l’inverse, un mauvais accord entre ces deux segments d’analyse durant la même période de temps aura engendré le double de cas dépressifs et anxieux. L’éducation parentale ne devrait donc pas être donnée au hasard.

Cette étude a porté sur 214 enfants et leur mère. Autant de filles que de garçons faisaient partie du groupe, et tous avaient environ neuf ans lorsque la recherche a été entamée.

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Autre répercussion de la dépression maternelle

On s’inquiète des répercussions possibles sur la santé de l’enfant si sa mère vit une dépression durant sa grossesse. Un nouveau risque en découlant vient d’être annoncé : la prépondérance des problèmes respiratoires.

Une dépression maternelle et des états comme l’anxiété et le stress augmenteraient les risques d’asthme chez l’enfant. Selon des résultats parus dans Annals of Allergy, Asthma & Immunology, ce lien serait très fort.

En effet, dans le cadre de cette recherche, 70 % des femmes ayant vécu d’importants symptômes dépressifs durant leur grossesse avaient aussi remarqué que leur enfant, une fois l’âge de 5 ans atteint, avait une respiration difficile ou râlante.

Par cette corrélation, on soutient aussi l’idée selon laquelle les risques d’asthme sont très élevés durant la période prénatale.

Cette étude a porté sur 279 femmes (et conséquemment leurs enfants) et s’est étendue sur quelques années, soit avant, pendant et après leur grossesse.

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Vivre en ville crée du stress et de l’anxiété

Une nouvelle étude internationale du Douglas Mental Health University Institute, publiée dans Nature, met en lumière les risques pour la santé des gens nés ou vivants dans de grandes zones urbaines.

Pour la première fois, des chercheurs ont défini deux zones distinctes du cerveau qui sont affectées par la vie en ville.

Les résultats de l’étude démontrent que les gens de la ville ont 21 % plus de chance de souffrir d’anxiété que ceux qui vivent en zone rurale. Au niveau des troubles psychologiques, les urbains ont 39 % plus de chance d’avoir différentes pathologies.

Dans le cas de certaines maladies, comme la schizophrénie par exemple, les urbains ont pratiquement deux fois plus de chance de souffrir de cette maladie que les gens qui vivent à la campagne.

Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs ont suivi les activités cérébrales de volontaires provenant de régions rurales et urbaines. Ils ont procédé à une série de tests de résonnance magnétique. Les conclusions démontrent que certaines régions du cerveau sont plus sensibles aux expériences vécues en ville.

D’autres études à venir permettront de comprendre les liens entre la psychopathologie et les maladies psychologiques. Les conclusions de toutes ces recherches pourraient influencer le travail des urbanistes qui doivent créer les villes du futur.

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La digestion de bébé en lien avec l’anxiété

Si l’on a appris récemment que les maladies intestinales seraient en lien avec la dépression infantile, on revisite maintenant les problèmes digestifs, les voyant comme le centre de problèmes psychologiques, au lieu de l’un de leurs effets.

Selon PLoS One, des chercheurs de la l’École de médecine de l’Université Stanford, des problèmes digestifs chez les poupons, même de courte durée, pourraient mener plus tard à l’anxiété, voire à la dépression.
 
Il semble que l’irritation gastrique des premiers jours de bébé reprogrammerait le cerveau à un perpétuel état dépressif.
 
Les chercheurs soutiennent toutefois que les effets sont en fonction du moment de l’irritation gastrique durant le développement, de la même façon que tous les maux d’estomac ne mènent pas à des problèmes de santé mentale.

Cette étude a été réalisée sur des rats. Les recherches devront maintenant porter sur le processus cérébral impliqué et conséquemment s’il peut exister de nouvelles façons de traiter la dépression et l’anxiété chez l’humain.

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L’obésité, l’asthme et l’anxiété reliés à la fatigue chronique?

Le syndrome de fatigue chronique (SFC) chez de jeunes enfants serait plus fortement relié à l’obésité et à des troubles de l’humeur qu’il ne l’est chez les adultes, apprend-on dans Sleep.

C’est ce que concluent des chercheurs du Penn State College of Medicine en Pennsylvanie après qu’ils aient suivi 508 enfants.
 
Précisément, ces résultats font un lien entre le SFC et les facteurs médicaux, les médicaments pour l’asthme, le tour de taille et la mention des parents de symptômes dépressifs ou anxieux, entre autres.
 
Rappelons que le SFC est l’incapacité à demeurer éveillé durant le jour. Il peut avoir des effets néfastes sur le fonctionnement d’une journée normale.

Les chercheurs suggèrent donc quelques pistes à suivre pour prévenir ce problème, dont la perte de poids, le traitement de la dépression et de l’anxiété ainsi que des méthodes nocturnes de prévention de l’asthme, le cas échéant.