Catégories
Uncategorized

Deux fois plus de risques d’anxiété chez les enfants avec des problèmes cardiaques congénitaux

Tel que vu sur Acta Paediatrica, un projet de recherche de l’hôpital universitaire d’Oslo, HEARTKIDS, a fait la lumière sur le lien existant entre les troubles du sommeil, l’anxiété et les problèmes cardiaques d’enfants d’à peine 18 mois.

Sur les 198 poupons de l’étude, qui avaient tous des problèmes cardiaques congénitaux, 58 d’entre eux faisaient état d’un degré sévère de complications. Les chercheurs ont ainsi pu établir une différence entre les deux groupes.

Ces problèmes d’anxiété ne toucheraient donc pas les poupons ayant des troubles cardiaques mineurs, mais pour ceux qui vivent avec des complications plus graves, les risques d’anxiété sont deux fois plus élevés que chez les enfants en général.

Ce phénomène en si bas âge s’expliquerait probablement par les nombreux séjours à l’hôpital et les procédures médicales découlant de ces malformations congénitales.

D’autre part, une étude précédente de HEARTKIDS avait démontré que les bébés de six mois ayant des problèmes cardiaques légers à moyens étaient plus aptes à vivre des épisodes très émotifs, comme l’irritabilité et les pleurs incessants.

Catégories
Uncategorized

La résonance magnétique pourrait prédire le traitement d’un enfant anxieux

Des neuroscientifiques de l’Université de Georgetown ont observé la réaction de 13 garçons et 10 filles lorsqu’ils passaient une imagerie par résonance magnétique. Les participants souffraient tous de problèmes d’anxiété.

Selon les chercheurs, la réaction de l’enfant souffrant de troubles anxieux indique si son cas nécessite une thérapie ou des médicaments.

Pour arriver à leurs conclusions, ils ont montré aux sujets des images de visages heureux et apeurés, ainsi que d’autres émotions clairement reconnaissables.

Les résultats de l’étude, parus dans Pediatrics, supposent que les enfants âgés de 8 à 16 ans ont moins de chances de réussite dans une thérapie de 8 semaines s’ils ont eu peur en voyant un bonhomme sourire en entrant dans le scanneur.

À l’opposé, ceux qui ont ressenti la peur en voyant des visages présentant cette même émotion sont de meilleurs sujets à la thérapie.

Catégories
Uncategorized

Les médicaments contre l’insomnie et l’anxiété augmentent les risques de mortalité

Les médicaments contre l’anxiété et l’insomnie augmenteraient de 36 % les risques de mortalité, selon une étude québécoise d’une équipe de chercheurs de l’École de psychologie de l’Université Laval.
 
La Revue canadienne de psychiatrie mentionne que ces médicaments affectent la coordination et la vigilance, augmentant du même coup les risques d’accidents, de chutes ou de fractures chez les personnes âgées et de difficultés respiratoires plus importantes chez les personnes qui ont des problèmes pulmonaires.
 
Les travaux ont été effectués sur 14 000 Canadiens âgés de 18 à 102 ans et suivis de 1994 à 2007.
 
« Les médicaments pour traiter l’insomnie et l’anxiété ne sont pas des bonbons et il ne faut pas croire qu’il est anodin d’en consommer », mentionne la professeure Geneviève Belleville.
Catégories
Uncategorized

Des champignons hallucinogènes pour soulager les cancéreux

Par le passé, les effets bénéfiques possibles des champignons hallucinogènes sur l’anxiété, le désespoir et l’isolement ont été étudiés, mais jamais les recherches ne s’étaient poursuivies, jusqu’à aujourd’hui.
 
Une petite étude américaine s’est penchée sur les effets des champignons magiques pour soulager l’anxiété des personnes ayant un cancer avancé. Douze personnes se sont soumises à des essais. Elles devaient prendre des gélules comprenant une dose de 0,2 mg/kg de psilocybine, cette substance hallucinogène présente dans certains champignons.
 
En général, toutes les personnes ont bien répondu au traitement sans ressentir d’effets indésirables. Après quelques semaines, on a remarqué que l’humeur des patients s’était grandement améliorée et que leur niveau d’anxiété avait quant à lui chuté.
 
Bien entendu, des recherches plus vastes sont nécessaires avant de recommander un tel traitement à grande échelle, mais ces premiers résultats sont très encourageants selon les Archives of General Psychiatry.
Catégories
Uncategorized

Les mères tristes ont des bébés plus petits

La dépression et l’anxiété des femmes durant leur grossesse peuvent affecter le poids du bébé à la naissance. Ces femmes sont plus susceptibles d’avoir un bébé plus petit, l’exposant ainsi à des risques accrus de mortalité en bas âge.
 
Selon le BMC Public Health, c’est la première fois que l’on établit ce genre de lien et ceci après avoir suivi des femmes des régions rurales du Bangladesh.
 
Les recherches démontrent que les problèmes de santé mentale sont plus susceptibles d’être la première cause de mortalité infantile, de santé précaire, de malnutrition et de faible statut socio-économique.
 
Sur les femmes qui ont été suivies, 18 % avaient reçu un diagnostic de dépression durant leur grossesse et le quart souffrait d’anxiété. Elles ont principalement eu des bébés plus petits que la moyenne.
 
Ce phénomène est préoccupant puisqu’un petit poids à la naissance peut conduire à un décès prématuré. Il est donc important que les femmes affectées aient un suivi de grossesse rigoureux.
Catégories
Uncategorized

Les chants d’oiseaux calmeraient les enfants

À l’Hôpital pour enfants Alder Hey de Liverpool, en Angleterre, on a mis sur pied un programme afin de tester l’effet des sons sur les réactions des patients. On constate que le chant des oiseaux diminue l’anxiété et la phobie des aiguilles, surtout chez les jeunes enfants.
 
Selon le Telegraph, les chercheurs ont constaté que les enfants étaient beaucoup plus calmes en entendant le chant des oiseaux lorsque venait le temps des traitements. En pédiatrie, on s’est même servi de cet outil pour calmer les petits patients avant qu’ils n’entrent en chirurgie et cela a fonctionné.
 
Des recherches supplémentaires sont en cours, mais les premiers résultats démontrent que toute forme d’art peut avoir des effets bénéfiques pour la santé.
 
Après avoir entendu ces chants d’oiseaux dans les corridors de l’hôpital, des patients ont même demandé à avoir un exemplaire du CD afin de le rapporter chez eux.
Catégories
Uncategorized

Le cycle de sommeil d’un bébé peut prédire son niveau d’anxiété plus tard

Une nouvelle étude fait part de résultats plutôt étonnants, rapporte le Psychiatry Research. Les bébés d’un mois qui ont un horaire de sommeil régulier sont moins susceptibles de devenir anxieux lorsqu’ils auront 13 ans.
 
Pour la recherche, on a demandé aux parents de tenir un journal de sommeil pour leur nourrisson entre 1990 et 1991. Ensuite, on a évalué le comportement de ces mêmes enfants alors qu’ils étaient âgés de 9 à 13 ans.
 
On constate que les enfants qui n’avaient pas un rythme de sommeil régulier à un mois démontraient plus de signes d’anxiété, comme des inquiétudes face à l’avenir.
 
Les chercheurs ont choisi des bébés d’un mois, car à cet âge, ils ignorent encore la différence entre le jour et la nuit, leur rythme naturel commence à peine à se consolider.
 
On conseille donc aux parents de ne pas fermer les rideaux dans le jour afin que le bébé apprenne la différence entre le jour et la nuit plus rapidement. De plus, on recommande de ne pas répondre au bébé de la même façon le jour et la nuit. Par exemple, pour changer sa couche ou le rassurer durant la nuit, le faire plus rapidement et ne pas jouer avec lui.
Catégories
Uncategorized

Les cauchemars sont néfastes pour la santé

Une étude chinoise, l’une des plus vastes sur le sujet jusqu’à maintenant, établit un lien entre de nombreux problèmes de santé et les cauchemars fréquents ou chroniques.
 
Il semble qu’une personne sur 20 en souffre. Les mauvais rêves sont associés à l’insomnie, à la fatigue, aux maux de tête, mais également à un risque accru de dépression et d’anxiété.
 
Les problèmes de santé mentale, comme la dépression, sont cinq fois plus présents chez les personnes qui font des cauchemars régulièrement. Il est donc important de traiter le problème, mentionne le Daily Mail.
 
9 000 adultes ont participé à la recherche. 5,1 % faisaient des mauvais rêves au moins une fois par semaine. Les cauchemars étaient plus fréquents chez les femmes avec 6,2 %, alors que chez les hommes, le taux était de 3,8 %.
 
De plus, on a noté un lien entre la fréquence des cauchemars et les revenus ou le chômage. Les personnes à faible revenu ont 2,3 fois plus de chances de faire trois mauvais rêves ou plus par semaine, comparativement aux plus riches.
 
Parmi les cauchemars les plus fréquents, on note :
 
Une chute à 39,5 %
Être pourchassé à 25,7 %
Être paralysé à 25,3 %
Arriver en retard à un événement à 24 %
Voir une personne proche disparaître ou mourir à 20,9 %
Rêver de films d’horreur à 18,9 %
Ne pas parvenir à finir une tâche à 17,3 %
Catégories
Uncategorized

Souffrez-vous du syndrome de stress informatique?

Les deux tiers des gens qui utilisent un ordinateur sont touchés par la nouvelle pathologie nommée le syndrome de stress informatique.
 
Une étude dévoilée par le Chief Marketing Officer Council, qui regroupe 5 000 directeurs marketing dans le monde, a interrogé 1 000 Américains de 16 ans et plus. 62 % des répondants ont mentionné être devenus anxieux après un problème avec leur ordinateur, comme des pannes, des ralentissements, l’incapacité de se connecter à Internet et des redémarrages, pour ne nommer que ceux-là.
 
Les problèmes ont accru le niveau de stress chez 42 % des participants, alors que 39 % disent avoir perdu du temps précieux, que 21 % ont perdu des données personnelles et professionnelles importantes et que 7 % des personnes disent avoir vécu un traumatisme émotionnel après un problème informatique.
 
94 % des répondants se disent dépendants de leur ordinateur au quotidien et 62 % admettent avoir une très grande dépendance. Près des trois quarts ont eu un temps d’arrêt au cours de l’année, mais pour 35 % d’entre eux, ce temps d’arrêt n’a pas excédé plus d’une journée.
 
De plus, ceux qui souffrent du syndrome de stress informatique ne sont habituellement pas très tendres avec les services d’assistance technique, ce qui augmente aussi le stress.
Catégories
Uncategorized

Un lien entre le plomb dans le sang et la dépression

Alors que le plomb peut être nocif, voilà qu’une nouvelle étude conjointe entre le Canada et les États-Unis affirme qu’une exposition au plomb, même faible, est liée à un risque accru de dépression et de trouble panique.
 
Les chercheurs ont analysé les données recueillies entre 1999 et 2004 regroupant au total 1 987 adultes âgés de 20 à 39 ans.
 
134 ont reçu un diagnostic de dépression, 44 avaient un trouble panique et 47 souffraient d’anxiété. Leur concentration moyenne de plomb était de 1,61 microgramme par décilitre de sang.
 
Ceux qui présentaient le taux de plomb dans le sang le plus élevé avaient 2,3 fois plus de risques de souffrir de dépression, comparativement à ceux présentant le plus faible taux. Pour les troubles panique, les chances étaient multipliées par cinq pour ces mêmes groupes.
 
Pour l’étude, on a retiré les 628 fumeurs, car la cigarette augmente le taux de plomb.
 
« Il ne semble pas y avoir de concentration acceptable de plomb. On sait déjà que les enfants sont très vulnérables à l’exposition de plomb, qui nuit à leur développement intellectuel », mentionne l’auteure principale de la recherche, Maryse Bouchard, chercheuse au département de santé environnementale de l’Université Harvard.