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Les repas en famille améliorent la santé des enfants

Le Journal of Child Psychology and Psychiatry démontre que des repas en famille peuvent grandement améliorer l’état de santé des enfants.
 
L’étude dirigée par Barbara Fiese, directrice du Centre de résilience familiale de l’université de l’Illinois, montre que l’asthme et l’anxiété, qui sont reliés, peuvent être diminués grâce aux actions des parents qui passent plus de temps avec leurs enfants, améliorant ainsi leur sécurité. Que ce soit lors d’activités ou même de repas en famille, cela semble être très bénéfique pour les jeunes enfants. Une interaction saine durant ces moments améliore leur bien-être.
 
« Il est logique que les enfants qui ont des difficultés respiratoires puissent être anxieux et préférer avoir leurs parents avec eux, puisqu’ils peuvent les aider en cas d’urgence. Mais il est intéressant de noter que nous pourrions aussi constater que ce sentiment intense d’inquiétude est lié à la façon dont la famille interagit lors des repas. Lorsque les enfants avaient une angoisse de séparation, leurs repas étaient caractérisés par un retrait, un manque d’engagement, un faible niveau de communication », explique Mme Fiese.
 
De plus, on insiste sur le fait que la façon dont se déroule le repas est importante pour les enfants. Effectivement, si personne ne se parle, cela n’améliorera pas la situation. « Des interactions familiales altérées lors des repas peuvent accroître les sentiments d’isolement, de panique et de peur liés à l’angoisse de séparation », ajoute la directrice.
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La promotion de l’activité physique est une source d’anxiété

Un sondage, mené pas la sociologue Suzanne Laberge de l’Université de Montréal, révèle que les messages qui prônent l’activité physique sont une source importante d’anxiété et de culpabilité chez certaines personnes.
 
L’étude ciblait tous les messages incitant les gens à bouger plus. Bien qu’il est important de le faire, on croit qu’il faudra trouver de nouveaux moyens pour rejoindre les gens et pour que cela soit surtout plus réaliste
 
Ces messages ont le même effet sur les personnes de poids santé, en embonpoint ou obèses. Ils sont stressants.
 
Pour la majorité des personnes, l’activité physique est une préoccupation constante. Les femmes ont plus tendance que les hommes à se sentir coupables de ne pouvoir s’adonner à l’exercice.
 
Selon l’étude, les répondants affirment que les messages ne tiennent pas compte de leurs contraintes quotidiennes, comme les horaires, les installations qui ne sont pas accessibles à tous et le budget également. On croit qu’il faudrait tenir compte de ces contextes difficiles dans les messages véhiculés.
 
De plus, 1 personne sur 5 est totalement indifférente à cette promotion de l’activité physique et ne change pas son rythme de vie pour autant.
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Attention aux médicaments contre l’anxiété

Des chercheurs suisses et américains concluent que les médicaments anti anxiété, tels le Valium ou Xanax, peuvent créer une dépendance comparable à celle vécue par les consommateurs d’héroïne ou de cannabis.

Selon cette étude portant sur les benzodiazépines (BZD), ces médicaments psychotropes utilisés dans le traitement de l’anxiété, de l’insomnie et de l’agitation psychomotrice peuvent créer une accoutumance dangereuse.

Des médicaments très populaires contiennent des BZD qui permettent aux patients de calmer leurs neurotransmetteurs en augmentant une hormone dans le cerveau, la dopamine.

L’étude publiée dans le journal Nature révèle que certains patients consommant ces médicaments voient leur cerveau réagir un peu comme certains drogués avec l’héroïne.

Il en résulte effectivement une accalmie de l’anxiété, mais une dépendance pourrait être créée. Les chercheurs tenteront d’identifier dans les prochains mois s’il est possible de modifier les BZD afin qu’ils n’occasionnent plus de dépendance.

Des scientifiques allemands ont d’ailleurs publié une étude à ce propos dans les derniers mois. Ils croient avoir trouvé une nouvelle substance qui pourrait mieux agir face à l’anxiété, tout en limitant les crises de panique qui affectent encore plusieurs patients consommant les médicaments actuels.

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Les plantes pour une bonne santé mentale

Health News mentionne que la phytothérapie est de plus en plus utilisée et reconnue. Il s’agit de se servir des plantes pour les objectifs médicinaux. Elles sont souvent consommées sous forme de suppléments alimentaires.
 
Il est fréquent que l’hiver, avec l’excès de boulot et le manque de soleil, des signes de dépression se fassent sentir. Il existe pourtant des plantes qui peuvent vous donner un regain d’énergie.
 
Par exemple, le millepertuis est reconnu pour soulager les dépressions légères et modérées. La bergamote permet de régler l’horloge biologique interne du corps.
 
Une plante comme la valériane est même reconnue par l’Organisation mondiale de la santé pour ses propriétés calmantes qui réduisent l’anxiété. La mélisse agit contre les estomacs noués, diminue les douleurs digestives et a des vertus relaxantes.
 
L’éleuthérocoque, surnommé le ginseng de Sibérie, est un bon antistress et sa racine aide le corps à résister au surmenage.
 
Le ginseng est reconnu pour ses nombreux bienfaits sur le corps, dont son action contre le stress et sa capacité à retarder l’épuisement. Finalement, le rhodiola augmente aussi les capacités du corps à résister au stress.
 
Ne sont nommés ici que quelques exemples de plantes que suggère le site internet Health News.
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Les naissances prématurées reliées aux problèmes de comportement

Maintenant que les chances de survie des bébés prématurés ont été grandement améliorées, il est possible d’évaluer l’impact d’une telle naissance sur le développement.

Selon la revue Pediatrics, une étude du Collège de médecine de l’Université de l’Iowa révèle que les naissances prématurées causent souvent des problèmes de comportement plus tard.

On a évalué le dossier de 104 enfants. 49 d’entre eux étaient nés très prématurément, soit entre la 24e et la 33e semaine de grossesse, avec un poids se situant entre 2,2 et 3,3 kilos.

On a étudié ces jeunes âgés de 7 à 16 ans et on a constaté que bien que leur quotient intellectuel était normal, ces jeunes étaient souvent hyperactifs ou souffraient d’un déficit d’attention. De plus, il y avait plus de risques qu’ils présentent des symptômes de dépression et d’anxiété.

La plupart n’avaient toutefois pas de troubles majeurs. On a conclu que 18 % étaient hyperactifs ou avait un déficit d’attention qui nécessitait un suivi médical rigoureux, alors que 14 % étaient dépressifs et anxieux.

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La musique est bénéfique pour le coeur

Une équipe de l’École de médecine de l’Université Harvard a analysé différentes études sur les effets de la musique chez les personnes ayant des problèmes cardiaques.

Bien qu’un nombre restreint de personnes y ait participé, les résultats demeurent très intéressants.

Après l’écoute de 30 minutes de musique, l’hypertension, les battements de cœur et l’angoisse diminuent chez les patients. À Hong Kong, on a même prescrit des séances d’écoute de 25 minutes par jour pendant 4 semaines et les résultats étaient les mêmes, la pression artérielle était à la baisse.

De plus, une musique joyeuse ou relaxante améliorerait la circulation sanguine dans le corps. On note également que l’anxiété chez les personnes ayant subi une crise cardiaque diminue grandement avec l’écoute de musique pendant vingt minutes.

Finalement, après une opération cardiaque, les personnes qui écoutent de la musique ressentent moins de douleur que les patients qui ne font que se reposer et réclament donc moins d’antidouleurs.

C’est dire que l’écoute de musique devrait donc faire partie de votre quotidien pour des questions de santé.

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Se nourrir est devenu une source d’anxiété

Dans les dernières années, l’alimentation est devenue un enjeu de la société. Avec des ajouts de nutriments de toutes sortes, le choix n’est pas pour autant devenu plus facile.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les personnes ne savent plus quoi ni comment manger devant la multitude de choix qui se présentent à eux et avec toutes les informations qui leur sont transmises.

C’est ce qu’a constaté Émilie Lacaille, de l’Université du Québec à Montréal, lors de son étude pour son mémoire, Cacophonie alimentaire et femmes québécoises : des modèles alimentaires en mutation.

Les aliments transformés seraient la principale source d’anxiété pour les consommateurs. Madame Lacaille a aussi noté que les gens avaient rompu l’héritage culinaire familial pour mieux adapter les menus à leur style de vie et avoir des mets qui leur ressemblent.

Aujourd’hui, on semble aussi vouloir privilégier le plaisir de manger et le partage d’habitudes saines et simples, sans tracas.

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Dépression et anxiété chez les tout-petits

Une étude québécoise révèle qu’un enfant sur sept aura un niveau élevé de dépression et d’anxiété avant même de faire son entrée à l’école. Malheureusement, en grandissant, cela ne s’améliore pas.

L’étude a été menée par une équipe du Laboratoire international sur la santé mentale de l’enfant et de l’adolescent attaché à l’Université de Montréal.

Les mères de 1 759 jeunes enfants ont été questionnées à trois reprises sur le comportement de leur rejeton au cours des cinq premières années de leur vie. Après analyse, les chercheurs ont établi quelques facteurs de risque qui prédisposent certains tout-petits à développer les problèmes.

On retrouve le tempérament difficile et capricieux des nourrissons de cinq mois et aussi le fait que la mère ait eu des périodes dépressives. Bien entendu, il y aurait également un possible lien génétique qu’il reste encore à approfondir.

Ces résultats alarmants démontrent qu’il est important de soutenir non seulement l’enfant, mais aussi la mère, afin de diminuer les risques de souffrir de dépression et d’anxiété à un si jeune âge.

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Les enfants, non épargnés par la dépression

Une recherche, dont les détails sont publiés dans The Journal of Child Psychology and Psychiatry, nous apprend que la dépression et l’anxiété touchent environ 15 % des enfants d’âge préscolaire.

De plus, les chercheurs ont également découvert que ces troubles psychologiques chez les bambins sont souvent liés à ceux de leur mère, qui avait des antécédents de dépression.

« Dès la première année, il existe des indications voulant que certains enfants soient plus à risque que d’autres de développer de hauts niveaux de dépression et d’inquiétude. Un tempérament difficile à cinq mois s’est avéré le plus important trait prédictif de la dépression et de l’anxiété chez l’enfant », a expliqué l’un des auteurs de l’étude, la Dre Sylvana M. Côté, du Département de médecine sociale et préventive de l’Université de Montréal.

Les chercheurs ont observé 1 758 enfants âgés de cinq mois à cinq ans pour en arriver à cette conclusion.

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La santé psychologique, une affaire familiale

Une recherche effectuée auprès de 981 patients de la Nouvelle-Zélande, de leur troisième à leur 32e anniversaire, a permis de démontrer l’importance des antécédents familiaux en matière de dépression, d’anxiété et d’abus d’alcool ou de drogue.

« Nous avons découvert que l’historique familial est associé à la présence ou non de ces troubles mentaux, à leur récurrence et à la sévérité des symptômes », a fait savoir l’un des auteurs, le Dr Barry J. Milne de l’Université d’Auckland.

Selon les chercheurs, cette découverte peut sans doute permettre de diagnostiquer plus rapidement ces troubles psychologiques et s’avérer une avenue à explorer pour les traitements.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans la revue spécialisée Archives of General Psychiatry.