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Les troubles mentaux mauvais pour le coeur

Une nouvelle étude, publiée dans la revue Circulation, démontre que ltroubles dépressifs et anxieux auraient une forte incidence sur la santé cardiaque.

Selon le Dr Mark Sullivan, professeur en psychiatrie et en sciences du comportement à l’Université de Washington, l’anxiété et la dépression augmentent les risques d’angine de poitrine, cette douleur qui envoie les patients chez le médecin.

Le Dr Sullivan et son équipe ont étudié 191 participants ayant des problèmes d’irrigation sanguine au coeur en leur faisant subir des tests de stress sous imagerie cardiaque. Les 30 % qui souffraient d’angine de poitrine chaque jour ou chaque semaine ont subi une évaluation psychologique et ont répondu à un questionnaire sur leur niveau d’anxiété et de dépression. Les chercheurs ont conclu que 44 % de ces patients étaient anxieux et que les deux tiers avaient eu une dépression majeure.

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Les bienfaits de la sieste chez l’enfant

La sieste chez les enfants de quatre à cinq ans n’est pas seulement bénéfique pour les adultes qui en prennent soin, mais également pour les petits eux-mêmes.

Selon une étude, dont on a présenté les résultats lundi dernier (8 juin) lors du congrès de l’Associated Professional Sleep Societies, les risques d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression diminuent lorsque les bambins dorment un peu durant le jour.

Le Dr Brian Crosby, du département de psychologie de l’Université de la Pennsylvanie, a travaillé avec 62 enfants. 77 % d’entre eux avait l’habitude de faire une sieste durant le jour et il a découvert que le taux d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression était plus élevé chez les enfants qui ne dormaient pas le jour.

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Association entre anxiété, dépression et insomnie

Une recherche effectuée auprès de 749 paires de vrais jumeaux, de 687 paires de faux jumeaux et de leurs parents insomniaques laisse entrevoir que l’association entre l’anxiété, la dépression et l’insomnie pourrait être d’ordre héréditaire.

Parmi les participants, 19,5 % des jumeaux avouaient souffrir d’insomnie, bien qu’ils soient âgés de 8 à 17 ans.

« Ce ne sont pas les jumeaux monozygotes qui avaient le risque plus élevé d’insomnie. Toutefois, dès que l’un d’entre eux est insomniaque, son jumeau est plus à risque d’avoir aussi ce trouble du sommeil que s’ils étaient dizygotes », a expliqué l’auteur derrière ces résultats, le Dr Philip Gehrman du département de psychiatrie de l’Université de la Pennsylvanie.

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Le ronflement chez les enfants

L’équipe de la Dre Eeva T. Aronen, du Centre hospitalier universitaire de Helsinki en Finlande, affirme que les enfants âgés de trois à six ans qui ronflent sont plus à risque de souffrir de divers troubles comme la dépression, l’anxiété, des retards de langage ou des troubles d’attention.

Les scientifiques ont travaillé avec 43 enfants d’âge préscolaire qui ronflaient d’une à deux fois par semaine et 46 enfants moins bruyants durant leur sommeil.

« 22 % des enfants ronfleurs ont des troubles au niveau de l’humeur assez sérieux pour nécessiter de l’aide professionnelle, comparativement à 11 % chez les autres enfants », affirme Mme Aronen.

Parmi les autres troubles associés au ronflement, on note également de la difficulté à s’endormir, des cauchemars ou des conversations durant le sommeil.

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Le stress exacerbe l’asthme

Une étude, publiée dans la revue Psychosomatic Medicine, nous apprend la corrélation entre les traumatismes infantiles et l’asthme chez les adultes.

Pour la Dre Kate M. Scott de l’Université de l’Otago à Wellington, en Nouvelle-Zélande, ces résultats confirment le lien entre des facteurs psychologiques et les symptômes de la maladie respiratoire. « Nous savions déjà que le stress ou l’anxiété pouvaient exacerber l’asthme, mais nous venons de démontrer qu’ils peuvent aussi augmenter l’incidence de souffrir de l’asthme », a-t-elle souligné.

La chercheuse a analysé les dossiers médicaux de plus de 18 000 adultes pour en arriver à ces conclusions.

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Les conséquences des crises d’angoisse

Une recherche, publiée dans l’European Heart Journal, nous apprend que les maladies cardiovasculaires sont plus fréquentes chez les personnes qui souffrent de crises de panique, particulièrement lorsqu’elles sont âgées de moins de 50 ans.

« Les symptômes d’une crise de panique sont très similaires à ceux d’une crise cardiaque et pourraient expliquer la relation complexe entre ces deux conditions », a souligné l’auteure derrière ces résultats, la Dre Kate Walters de l’Université College London.

Dans cette recherche, les troubles paniques augmentaient de 38 % l’incidence de crise cardiaque et les femmes âgées de 16 à 40 ans étaient le plus à risque.

Heureusement, les crises de paniques n’augmentent pas le taux de mortalité lié à une maladie cardiovasculaire chez les participants de cette étude.

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Les sites de santé qui rendent hypocondriaque

Une surprenante étude, réalisée par Microsoft, nous apprend que les internautes qui vont en ligne pour s’informer sur les symptômes, les traitements d’une maladie et le pronostic seraient anxieux au point de développer des problèmes de santé.

Les auteurs derrière ces résultats, Ryen White et Eric Horvitz, affirment qu’une recherche dans le Web concernant des maladies a pour effet d’augmenter l’anxiété de souffrir de celles-ci.

« Internet a le potentiel d’accroître l’anxiété des gens qui ont peu ou pas de connaissances médicales, particulièrement quand il est utilisé pour rechercher un diagnostic », mentionnent les chercheurs.

Qualifiés de « cyberchondriaques », les participants à cette étude ont tendance à interpréter des symptômes banals comme un signe de maladie. « De telles surenchères peuvent provoquer une anxiété, un investissement en temps et des dépenses de santé inutiles », concluent les auteurs.

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La dépression et l’anxiété exacerbent la douleur chronique

Selon le Dr Matthew J. Bair, du centre médical Roudebush d’Indianapolis aux États-Unis, la douleur chronique semble plus intense chez les personnes qui souffrent également de dépression et d’anxiété.

500 sujets, dont l’âge moyen était de 59 ans, ont participé à cette étude visant à analyser le lien entre la douleur chronique, la dépression et l’anxiété.

Quand les participants souffraient de ces deux conditions, les chercheurs ont recensé 43 jours de douleur chronique au cours des 3 mois d’étude. De plus, la douleur semblait plus intense selon les sujets.

« Ceux qui sont aux prises avec la dépression et l’anxiété ont une qualité de vie inférieure », a souligné le Dr Bair.

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Les vertus de la gomme à mâcher

Selon une étude financée en partie par Wrigley, important producteur de gommes, mâcher de la gomme aiderait à réduire le stress et l’anxiété.

40 sujets ont participé à cette recherche et ont avoué être beaucoup plus détendus et relaxés après avoir mâché de la gomme. De plus, ils étaient plus alertes et plus concentrés.

Ce n’est pas la première étude qui vante les vertus de la gomme à mâcher. En 1939, des scientifiques concluaient qu’elle réduisait la tension musculaire et rendait les gens beaucoup plus détendus. L’armée américaine avait d’ailleurs décidé de fournir gratuitement à ses militaires de la gomme à mâcher à la suite de la publication de ces résultats.

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Le traumatisme de l’hospitalisation

Selon des chercheurs de l’Institut de recherche de l’Hôpital de Montréal pour enfants, l’hospitalisation à l’unité des soins intensifs cause des traumatismes chez les enfants. Ces derniers deviennent plus anxieux et craintifs, même plusieurs mois après être revenus à la maison.

60 enfants de 6 à 12 ans, tous hospitalisés avant l’étude, ont participé à cette enquête menée par la Dre Janet Rennick. Elle affirme : « Certains avaient de grandes inquiétudes. Par exemple, ils craignaient de ne jamais être en santé ou d’être encore malades. D’autres avaient carrément des peurs. Plusieurs ne pouvaient jamais se séparer de leurs parents. Pour un enfant de 12 ans, c’est problématique. »

Des troubles de sommeil et de la colère sont aussi des problèmes que les enfants ont confié ressentir.

Afin de diminuer ce traumatisme, la Dre Rennick suggère aux parents d’apporter à l’hôpital des objets familiers et réconfortants, comme un ourson, ou encore, de lire des histoires à leur enfant lors de son séjour.