Catégories
Sport et Santé

Ebola : L’anxiété prend le dessus sur le virus

Les spécialistes affirment que la peur représente en ce moment un plus gros problème aux États-Unis que celui du virus de l’Ebola.

Selon Health Day, les spécialistes de la santé mentale constatent que la combinaison actuelle représente un dangereux cocktail. Une infection mortelle, l’ignorance sur la façon dont les infirmières de Dallas ont été contaminées et la couverture médiatique constante.

Pourtant, il faut remettre en contexte que deux décès, sur le bassin de la population, ne doivent pas être considérés comme une faille ou le début d’une épidémie. Sans compter qu’il faut éviter de lire les fausses rumeurs sur les médias sociaux.

Puisque la saison du rhume et de la grippe commence, et la similitude avec les symptômes du virus Ebola, il faut s’attendre à une panique. C’est du moins ce que croit James Halpern, directeur de l’Institut de prévention des troubles de la santé mentale lors de catastrophes.

« Il n’y a pas que le virus qui est contagieux », rapporte ce dernier. « Cela pourrait créer une contagion émotionnelle. »

Catégories
Uncategorized

Attention femmes stressées, vous êtes plus à risque de démence

L’étude dont il est question a été menée sur une période de 40 ans. Elle révèle que les femmes qui sont anxieuses ou qui ont des sautes d’humeur à l’âge adulte ont plus de risque de développer des maladies neurodégénératives plus tard.

Les commentaires de Dre Lena Johannsson ont été rapportés dans la revue scientifique Neurology. « La majorité des recherches sur l’Alzheimer ont été portées sur les facteurs tels que l’éducation, le cœur et le sang, les traumatismes crâniens, la génétique et l’historique médical familial. »

Cette nouvelle étude, réalisée par la Suisse, s’est attardée sur de nouveaux facteurs. « La personnalité peut influencer les risques de démence des individus, puisqu’elle a des conséquences sur le comportement, le style de vie ou les réactions au stress. »

En tout, 800 femmes âgées en moyenne de 46 ans au début de la recherche ont été suivies pendant environ 38 ans. Elles remplissaient régulièrement des tests de mémoire et des questionnaires sur leur style de vie.

Science World Report mentionne que celles qui ont obtenu les cotes de stress les plus élevées se sont révélées deux fois plus à risque de souffrir de démence.

Catégories
Uncategorized

Comment reconnaître l’anxiété reliée à l’école

Medical News Today rapporte les signes à surveiller chez votre enfant, selon BC Mental Health & Substance Use Services. Le stress et l’anxiété sont normaux de temps à autre, mais pas en continu.

Soyez attentif à ces signes :

– Tentatives répétées pour demeurer à la maison ou avec un adulte;

– Timidité excessive et évitement de situations sociales : sorties d’école, toilettes publiques, manger en public, etc.;

– Inquiétude constante et besoin de réconfort et d’être rassuré;

– Maux physiques inexpliqués (tête, estomac, difficulté à trouver son souffle);

– Crises, pleurs et cris injustifiés.

Comment réagir

– Revoyez votre routine à la maison et assurez-vous d’un environnement calme;

– Établissez vos attentes, limites et conséquences (réalistes) si les crises se poursuivent, mais demeurez toujours calme et récompensez toute amélioration;

– Aidez l’enfant à identifier ses émotions (nervosité, intimidation, timidité) et portez-y une attention particulière;

– Demandez à votre enfant quelles sont ses solutions dans telle ou telle situations. Développez ensemble des façons de désamorcer les moments de stress.

– N’hésitez pas à partager des exemples où il vous arrive aussi d’être stressé ou anxieux.

Catégories
Uncategorized

Une douleur chronique peut-elle être psychologique?

Les psychologues pensent autrement. Il existe un lien entre la douleur chronique et le psychique, ce qui ne signifie pas pour autant que les gens s’imaginent qu’ils souffrent.

On peut lire les commentaires de Martine Derzelle, psychologue-psychanalyste, dans Le Figaro : « C’est l’histoire de la poule et de l’œuf. Un patient douloureux est-il déprimé à cause de sa douleur ou celle-ci est-elle d’autant plus lancinante qu’il est déprimé? » Derzelle avoue que « le sens psychologique d’une douleur est très technique ».

Pour le psychologue clinicien Frederick Dionne, auteur québécois du livre Libérez-vous de la douleur par la méditation, les pensées réactionnelles proviennent fréquemment de l’anxiété et la colère.

La douleur chronique « peut » être dans votre tête, mais pas au sens qu’elle n’existe pas. Au contraire, une souffrance physique pourrait être le fruit d’une incapacité à mettre en mots une souffrance psychologique.

Pour les douleurs chroniques, psychologiques ou non, Dionne encourage à suivre la thérapie ACT (d’acceptation et d’engagement). Parce qu’il ne faut pas chercher de traitement miraculeux, mais aussi apprendre à vivre avec la douleur.

Catégories
Uncategorized

La thérapie cognitive plus efficace que les antidépresseurs pour la phobie sociale

La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) représenterait une meilleure avenue pour traiter l’anxiété sociale. Ce trouble touche de 7 à 13 % de la population. Elle peut débuter à l’adolescence ou au début de l’âge adulte. Ses conséquences peuvent être importantes tant personnellement que professionnellement.

Evan Mayo-Wilson insiste sur le fait que l’anxiété sociale est « plus que de la simple timidité ». Il s’agit d’une maladie mentale. Son équipe a jeté un coup d’œil à 101 essais cliniques sur plus de 13 164 patients.

Parmi les thérapies sociales utilisées, la TCC était la plus efficace. Ceux qui n’avaient pas suivi de thérapie du tout avaient rencontré des situations difficiles. D’autre part, la psychothérapie avait des effets positifs à long terme, bien au-delà de la dernière rencontre.

Selon Mayo-Wilson, « un plus grand investissement au niveau des thérapies psychologiques améliorerait la qualité de vie, augmenterait la productivité au travail et réduirait les coûts de la santé publique ».

Cependant, afin de pourvoir au besoin, « il faudra mettre en place une meilleure infrastructure ». On manque à l’heure actuelle de spécialistes et d’endroits pour exercer.

Catégories
Uncategorized

L’intimidation entre frères et soeurs, une autre réalité

Un nouvel article publié dans la revue scientifique Pediatrics et rapporté par Science World Report révèle les résultats de la recherche menée par Dieter Wolke et son équipe.

Un adolescent intimidé par des frères ou sœurs plusieurs fois par semaine a deux fois plus de risques d’être déclaré dépressif lorsqu’il devient un jeune adulte. Il a aussi deux fois plus de risques de s’automutiler.

« Les formes d’intimidation où les victimes se retrouvent dans la cour d’école ou au travail ont été bien documentées, mais cette étude met en lumière une forme cachée de menaces », indique Wolke.

Près de 7000 enfants de 12 ans ont répondu à un questionnaire sur l’intimidation fraternelle. En tout, 786 jeunes en étaient victimes. Un suivi auprès d’eux à 18 ans a démontré que 12,3 % étaient en dépression, 14 % s’étaient automutilés dans l’année en cours, et 16 % souffraient d’anxiété.

Selon le chercheur, il est essentiel que les parents interviennent et établissent des « règles claires » quant aux conflits au sein de leur famille.

Catégories
Potins

Keira Knightley était anxieuse et se prenait trop au sérieux

Keira Knightley y va de quelques révélations dans une entrevue accordée au Daily Mirror. Elle admet s’être inquiétée de manière exagérée concernant son apparence et s’être prise trop au sérieux durant de nombreuses années.

« Est-ce que j’ai perdu des rôles à cause de mon physique? Oui. Est-ce que j’ai eu des rôles grâce à mon physique? Oui. Qu’est-ce que je peux faire? Je ressemble à ce que je ressemble. »

« J’étais exagérément inquiète jusqu’à l’âge de 25 ans, et je me prenais bien trop au sérieux. Les critiques me faisaient mal personnellement, et je ne savais pas comment ouvrir de manière émotionnelle (pour jouer), et me créer une carapace en même temps afin que les critiques ne me fassent pas de mal », explique Keira Knightley, dont le physique alimente constamment la presse à potins.

La star de The Imitation Game affirme qu’à un certain point, à la mi-vingtaine, l’inquiétude a soudainement fait place au calme et à la résilience.

?« Il y a ce genre de moment où tu te dis que tu n’as aucun contrôle, que tu ne peux rien faire pour ça », déclare l’actrice.

En terminant, Knightley déconseille vivement aux jeunes actrices de se « googler » elles-mêmes, une habitude malsaine qu’elle aurait entretenue durant un bon moment, et qui peut faire très mal à l’estime de soi.

Catégories
Potins

Keira Knightley était anxieuse et se prenait trop au sérieux

Keira Knightley y va de quelques révélations dans une entrevue accordée au Daily Mirror. Elle admet s’être inquiétée de manière exagérée concernant son apparence et s’être prise trop au sérieux durant de nombreuses années.

« Est-ce que j’ai perdu des rôles à cause de mon physique? Oui. Est-ce que j’ai eu des rôles grâce à mon physique? Oui. Qu’est-ce que je peux faire? Je ressemble à ce que je ressemble. »

« J’étais exagérément inquiète jusqu’à l’âge de 25 ans, et je me prenais bien trop au sérieux. Les critiques me faisaient mal personnellement, et je ne savais pas comment ouvrir de manière émotionnelle (pour jouer), et me créer une carapace en même temps afin que les critiques ne me fassent pas de mal », explique Keira Knightley, dont le physique alimente constamment la presse à potins.

La star de The Imitation Game affirme qu’à un certain point, à la mi-vingtaine, l’inquiétude a soudainement fait place au calme et à la résilience.

?« Il y a ce genre de moment où tu te dis que tu n’as aucun contrôle, que tu ne peux rien faire pour ça », déclare l’actrice.

En terminant, Knightley déconseille vivement aux jeunes actrices de se « googler » elles-mêmes, une habitude malsaine qu’elle aurait entretenue durant un bon moment, et qui peut faire très mal à l’estime de soi.

Catégories
Uncategorized

Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.

Catégories
Uncategorized

Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.