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Les jeunes qui côtoient des chevaux sont moins stressés

Une nouvelle recherche démontre que les jeunes qui travaillent avec les chevaux sont beaucoup moins stressés que leurs pairs.

Les scientifiques en sont venus à cette conclusion à l’aide d’échantillons de salive. Les résultats sont publiés dans le Human-Animal Interaction Bulletin.

L’une des expertes, Patricia Pendry, explique l’objectif de cette étude, rapportée par Medical News Today : « Nous sommes plus spécifiquement intéressés à l’optimisation de la saine production d’hormones du stress chez les jeunes adolescents ».

La raison est simple, selon Pendry : « Nous savons, par rapport à de précédentes recherches, que les modèles d’hormones de stress en santé sont susceptibles de protéger contre le développement de problèmes de santé mentale ou physique ».

Les participants à l’étude, des jeunes de 10 à 14 ans, ont suivi un programme de 12 semaines d’apprentissage des chevaux avec le PATH (Palouse Area Therapeutic Horsemanship), spécialisées en thérapie depuis plus de 30 ans.

« Nous avons réalisé qu’au terme des 12 semaines, en fin de journée, les enfants ayant participé au programme présentaient une quantité d’hormones de stress très inférieure aux autres jeunes », a confié Pendry.

Bien que la recherche ait été effectuée dans un but préventif, Patricia Pendry est sûre que désormais, ce programme pourra être utilisé pour diminuer le stress chez les adolescents présentant un niveau d’anxiété plus élevé.

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Le stress pourrait être une condition contagieuse

Une nouvelle étude allemande vient donner raison aux plus réceptifs aux énergies d’autrui, rapporte Top Santé, et constate que certaines émotions comme le stress seraient littéralement contagieuses.

Se concentrant sur le stress et l’anxiété, l’étude produite par les chercheurs du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences, à Leipzig en Allemagne, propose une expérience plus que concluante.

Simple mais efficace, l’expérience en question constituait à demander à 211 sujets volontaires d’observer attentivement une personne en situation de stress intense. Les chercheurs évaluaient alors les réactions des sujets, notamment en analysant leurs niveaux de cortisol (aussi appelé l’hormone du stress).

Résultat? Une personne sur quatre a vu son niveau de stress monter en flèche à la suite de l’observation, ce qui pourrait signifier également qu’une personne sur quatre possède une plus grande sensibilité aux émotions et énergies de son environnement.

Une étude des plus intéressantes, en somme, qui tend à démontrer l’importance de s’entourer de personnes et de situations positives au cours de sa vie.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le magazine Psychoneuroendocrinology.

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Patrice Coquereau publie un livre sur ses troubles anxieux

L’acteur québécois Patrice Coquereau, qui a fêté ses 53 ans hier (8 avril), est dans le métier du cinéma depuis 28 ans. Il est également reconnu pour son excellent humour. Pourtant, à partir de la vingtaine, il s’est retrouvé aux prises avec des troubles anxieux.

Comme l’indique le Journal de Québec, 12 % des Canadiens souffrent de ce trouble. Cependant, le sujet demeure encore tabou pour certains.

Pour aider les autres à comprendre, vivre et s’en sortir, le comédien a choisi d’écrire un livre intitulé Guérir à gorge déployée. Il a choisi la voie la plus difficile, soit celle de l’autoguérison.

Difficile de confier ses peurs, ses angoisses et le chemin qu’il a dû parcourir pour surmonter ses crises de panique, sans compter que sans la médication, le travail est d’autant plus ardu.

Coquereau a donné de nombreuses conférences sur le sujet. Entre autres le 2 février dernier à Saint-Jérôme, puis dans une série de présentations l’été dernier, intitulées S’employer à se déployer.

Guérir à gorge déployée est publié aux Éditions de l’Homme.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les mères souffrent-elles toutes d’anxiété?

Une mère, par définition, s’inquiète du bien-être de ses enfants. Mais voici quelques raisons fournies par SheKnows qui vous indiquent pour quelle raison vous devez apprendre à lâcher prise.

L’anxiété cause :

Une immense dépense d’énergie – Si vous faites le bilan de la dernière journée. Parmi vos inquiétudes, lesquelles se sont réalisées? Aucune? Une seule? La réalité, c’est que l’anxiété dépense une quantité énorme d’énergie mentale et vous épuise.

Une diminution de l’honnêteté de vos enfants – En voyant que vous êtes constamment anxieuse, vos enfants finiront par cacher la vérité, puisqu’ils craindront de vous inquiéter encore plus. Ils camoufleront leurs propres peurs et émotions.

Une inversion du rôle parent-enfant – En réalisant que vous devenez sans cesse agitée et stressée au moindre risque qu’il se produise un incident, vos enfants finiront par s’inquiéter de vous et tenteront de prendre soin de leur mère.

La dépression – À long terme, l’anxiété mène à un état dépressif. Chaque événement, chaque chose à faire et chaque incertitude finissent par gruger le moral, et l’épuisement fait le reste.

Le psychologue John Hopkins affirme que près de 65 % des enfants qui vivent avec un parent anxieux risquent eux aussi de développer un trouble de l’anxiété.

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La douleur reliée à la santé mentale chez les adolescents

Pour la toute première fois, des chercheurs se sont penchés sur les douleurs physiques qui peuvent entraîner notamment la dépression et l’anxiété chez les jeunes de 13 à 18 ans.

L’étude a englobé 566 adolescents qui présentaient des symptômes dépressifs, mais aussi des troubles de l’alimentation, le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité) et même de différents niveaux d’autisme.

Selon le professeur Marit Sæbø Indredavik, de la Norwegian University of Science and Technology (NTNU), les travailleurs du domaine de la santé ont tout intérêt à prêter une plus grande attention aux douleurs chroniques chez ces jeunes.

En tout, ce sont 70 % des répondants qui ont avoué vivre avec une douleur physique chronique. Ce taux était encore plus élevé chez les adolescents dépressifs, où ce sont 8 jeunes sur 10 qui souffraient physiquement. La douleur la plus fréquente était au niveau musculo-squelettique, prédominant chez les filles.

« Ces données sont tellement élevées que tout le système de soutien des besoins des enfants et adolescents doit être sensibilisé », affirme le professeur Indredavik.

Le prochain lien à effectuer pour les chercheurs est de comparer le niveau d’activité physique chez ces jeunes, par rapport à ceux qui ne vivent pas ce genre de douleur.

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La douleur reliée à la santé mentale chez les adolescents

Pour la toute première fois, des chercheurs se sont penchés sur les douleurs physiques qui peuvent entraîner notamment la dépression et l’anxiété chez les jeunes de 13 à 18 ans.

L’étude a englobé 566 adolescents qui présentaient des symptômes dépressifs, mais aussi des troubles de l’alimentation, le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité) et même de différents niveaux d’autisme.

Selon le professeur Marit Sæbø Indredavik, de la Norwegian University of Science and Technology (NTNU), les travailleurs du domaine de la santé ont tout intérêt à prêter une plus grande attention aux douleurs chroniques chez ces jeunes.

En tout, ce sont 70 % des répondants qui ont avoué vivre avec une douleur physique chronique. Ce taux était encore plus élevé chez les adolescents dépressifs, où ce sont 8 jeunes sur 10 qui souffraient physiquement. La douleur la plus fréquente était au niveau musculo-squelettique, prédominant chez les filles.

« Ces données sont tellement élevées que tout le système de soutien des besoins des enfants et adolescents doit être sensibilisé », affirme le professeur Indredavik.

Le prochain lien à effectuer pour les chercheurs est de comparer le niveau d’activité physique chez ces jeunes, par rapport à ceux qui ne vivent pas ce genre de douleur.

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Un moyen efficace de traiter la phobie sociale chez l’adolescent

Lorsque la gêne est si importante qu’elle empêche la communication, on parle d’anxiété sociale. Selon Medical News Today, très peu de recherches ont été axées sur le sujet. Il est ici question de trouver un traitement adapté spécifiquement aux phobies sociales (PS) chez les jeunes de 13 à 16 ans.

L’étude a comparé les effets de la thérapie cognitive individuelle, la thérapie cognitivo-comportementale de groupe, ainsi qu’une forme de thérapie placebo. Sur l’échantillon de 279 adolescents ayant reçu un diagnostic primaire de phobie sociale, 57 ont assisté, de façon aléatoire, à l’une ou l’autre des thérapies.

Les participants ont été évalués avant et après leur thérapie, puis 12 mois plus tard à titre de suivi. Comparativement aux thérapies de groupe et placebo, la thérapie cognitive individuelle s’est avérée très prometteuse. Les jeunes présentaient une nette réduction des symptômes, ce qui n’a pas été le cas dans les deux autres environnements de traitement.

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Trouble anxieux chez l’enfant, gage de rechutes s’il est mal traité

La recherche a été menée aux États-Unis, sous le titre CAMELS (Child/Adolescent Anxiety Multimodal Extended Long-term Study), auprès de 288 volontaires âgés de 11 à 26 ans.

Les participants ont tous été traités pour troubles anxieux, à la suite d’une évaluation d’un spécialiste de la santé. Les notions de présence de troubles anxieux, de sévérité de l’anxiété et du fonctionnement quotidien global de l’individu ont été analysées.

Les jeunes ont été suivis à l’aide d’une thérapie cognitivo-comportementale, de la médication, une combinaison des deux, ou encore à l’aide d’un placébo. 

Les jeunes ont été réévalués 6 ans après le début des traitements. Si près de la moitié (46,5 %) étaient en rémission, il n’en demeure pas moins que 48 % des participants avaient subi un autre épisode de trouble anxieux nécessitant un traitement, les filles étant deux fois plus à risque de rechute.

Ceux ayant été traités à l’aide de médication étaient également plus à risque de vivre à nouveau de l’anxiété si le traitement n’était pas suffisamment long.

« Ce n’est pas parce qu’un enfant réagit bien à un traitement précoce que notre travail est fini, et que nous pouvons baisser la garde », explique la psychologue Golda Ginsburg, dans des propos rapportés par Top Santé.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Jama Psychiatry.