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La solitude favoriserait les troubles cardiovasculaires

Le fait d’être seul dans la vie n’est pas uniquement une triste réalité pour bien des gens, mais s’avèrerait également un important facteur de risque pour le cœur, selon les informations rapportées par Top Santé.

C’est la Fédération française de cardiologie qui s’est penchée sur le phénomène, et affirme que la solitude provoque une hausse des risques de maladie cardiovasculaire par deux fois.

Deux fois plus de chances, donc, pour une personne qui vit dans la solitude d’être victime d’un AVC ou d’un trouble cardiaque, mais il y a plus. Selon les chercheurs de la Fédération, la solitude gonfle aussi les statistiques d’obésité, de tabagisme, de stress, et d’hypertension. Ces deux derniers facteurs sont également des causes possibles de troubles cardiovasculaires.

Les gens seuls auraient aussi tendance à se nourrir moins sainement, ce qui ajoute à ce cocktail de risques pour le cœur.

« La prévention cardiaque est très centrée sur la lutte contre l’obésité, le tabac, le cholestérol. En revanche, peu de médecins interrogent leurs patients sur la qualité de leurs interactions sociales, et même s’ils le faisaient, ils ne pourraient pas les prescrire sur ordonnance. Faire du bien à un proche en l’appelant, échanger un simple sourire, exprimer sa reconnaissance à son entourage sont des moyens simples de rompre avec l’isolement. Donner également de son temps peut avoir un impact certain sur la santé mentale, sur l’humeur, et donc préserver le coeur en bonne santé », explique avec justesse le président de la Fédération, M. Claude Le Feuvre.

Une « prescription » fort importante, si l’on considère d’autant plus que les statistiques de solitude grimpent en flèche chez les aînés.

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L’incroyable effet des aquariums sur la santé

Quiconque possède un aquarium moindrement élaboré à la maison, ou qui a déjà passé quelques heures dans un aquarium public, comprendra parfaitement la teneur de cet article et des révélations qui s’y trouvent.

C’est que Top Santé s’est attardé au phénomène et à l’impact des aquariums sur notre santé mentale et physique, et rapporte des opinions d’experts qui peuvent surprendre.

Cités dans Le Figaro, ces experts français notent d’abord un impact direct d’un moment passé à observer des poissons dans un aquarium sur la tension artérielle et sur le niveau de stress.

Un simple aquarium permettrait donc de calmer l’angoisse et l’anxiété, mais aussi de calmer la douleur! Toujours selon ces chercheurs, une baisse de la douleur ressentie par un patient donné est souvent observable après cinq minutes passées devant un aquarium, un effet qui pourrait perdurer jusqu’à 30 minutes.

Plus encore, les poissons dans leur habitat permettraient même à des personnes atteintes de maladies graves comme l’Alzheimer d’améliorer leur qualité de vie au quotidien, notamment en ce qui concerne leur apport alimentaire. Dans la même veine, le fait de nourrir des poissons aurait aidé des jeunes aux prises avec des troubles alimentaires.

En bref, les poissons et les aquariums permettent de calmer de façon générale et ouvrent ainsi la porte à une foule de bienfaits sur la santé, et même sur le personnel médical, alors que plusieurs estiment qu’un aquarium installé dans une salle d’attente calme l’impatience des patients!

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La spiritualité réduirait l’anxiété et serait bénéfique pour la santé

Les gens spirituels semblent moins nombreux de nos jours, ou peut-être sont-ils moins bruyants quant à leurs croyances qu’à une certaine époque, le sujet étant devenu pratiquement un tabou dans notre société.

Cependant, il semble que la spiritualité soit un excellent allié de la bonne santé mentale et physique, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), si l’on se fie à une nouvelle étude sur le sujet.

Selon des chercheurs britanniques menés par la psychologue Roxane Gervais, les personnes qui se disent croyantes ou spirituelles seraient moins malades que les autres, et s’absenteraient du travail pour cette même raison moins souvent que les personnes qui se disent sans foi.

Aussi, il appert que ces mêmes personnes subissent moins les affres du stress et de l’anxiété, le tout largement aidé par le sentiment que la vie a un réel sens, et qu’elles ne sont pas seules.

« La spiritualité offre une protection contre les aléas de la vie moderne. Alors que le rythme du travail et de la vie s’accélère, les gens ont besoin de trouver un sens… et la jeune génération est spécialement en quête de plus qu’un simple gros chèque de paie… », lance la Dre Gervais, qui croit que de faciliter l’accès à des ressources spirituelles sur les lieux de travail pourrait améliorer les performances et la santé mentale des employés et employeurs.

Un discours qui tranche avec le débat actuel qui sévit au Québec, n’est-ce pas?

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Lire pour guérir

Top Santé rapporte une tendance des plus intéressantes en matière de thérapie et de méthodes de traitements alternatives contre la dépression et les troubles de l’humeur : la lecture.

En effet, il semble que de plus en plus de thérapeutes et de spécialistes s’attardent sur ce qu’il serait convenu d’appeler la bibliothérapie. Ils décident ainsi de « prescrire » des lectures aux patients en mal de vivre ou sous le coup d’un épuisement moral et/ou professionnel.

C’est particulièrement le cas du côté des États-Unis et maintenant de l’Angleterre, alors que l’on a mis sur pied un programme intitulé The Reading Agency, permettant aux praticiens et thérapeutes de prescrire des choix de lecture à leurs patients.

Des troubles comme l’anxiété, l’angoisse, la dépression, le sentiment de vide ou d’épuisement, le manque de foi ou encore le manque de confiance pourraient être soulagés partiellement ou complètement par des lectures adéquates.

« Les romans peuvent aider les personnes à se reconnaître, à s’identifier à un problème, à se sentir moins seules, à se dire que des solutions existent, ou encore à se poser des questions », lance un spécialiste et psychothérapeute européen.

Certains organisent même des séances d’échanges sur les livres prescrits, afin que les patients puissent discuter entre eux et avec leur psychothérapeute des émotions et des perceptions proposées par ceux-ci.

Il s’agit incontestablement d’une alternative des plus intéressantes à la prescription systématique d’antidépresseurs.

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Le stress et l’anxiété directement liés aux risques de crise cardiaque

Oui, être anxieux et stressé peut vous mener tout droit à la crise cardiaque. Voilà la conclusion large que l’on peut tirer de l’étude publiée et rapportée par l’American Heart Association.

L’anxiété, qui frappe de plus en plus de gens, semble-t-il, apparait comme un facteur de risque très important pour l’équipe de chercheurs américains basés à l’Université de Pittsburgh, en Pennsylvanie.

Menée par la Dre Maya Lambiase, l’équipe tire ces conclusions après l’analyse des résultats découlant du suivi de plus de 6000 patients, sur une période de 22 ans.

« Tout le monde fait de l’anxiété de temps en temps. Mais, quand c’est élevé ou chronique, cela peut avoir un effet sur vos années vasculaires au bout de la route », explique Lambiase, qui estime à 33 % la hausse des risques de crise cardiaque chez les personnes anxieuses.

Cependant, elle et son équipe tracent également un lien entre l’anxiété et la mauvaise alimentation, le tabagisme et l’absence d’exercice physique, qui contribuent tous de façon indirecte à ce lien observable.

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Quand Noël est synonyme d’anxiété

Êtes-vous nerveux, angoissé ou anxieux à l’approche des fêtes? Vous n’êtes pas seul. En fait, selon ce que rapporte Top Santé, l’anxiété liée à Noël et à la période des fêtes serait largement répandue, et peut même s’avérer un véritable cauchemar pour les personnes déjà atteintes de troubles anxieux le reste de l’année.

L’Institut National de la Santé, l’INSERM (France), observe notamment une hausse de l’anxiété sociale pour plusieurs personnes à l’arrivée de la fête de Noël, et conclut que « l’exposition à ces situations sociales redoutées provoque de façon quasi systématique une anxiété et une détresse intenses ».

Mais il n’y a pas que l’idée de devoir se prêter au regard et au jeu des réunions familiales qui peut provoquer ces pointes de stress, mais aussi bien sûr la situation financière et psychologique des individus, à l’arrivée du mois de décembre, et même avant.

« Même si un certain degré d’inquiétude concernant les finances, les maladresses potentielles causées par l’ivresse et le fait de passer du temps avec la famille au complet est totalement rationnel, les personnes souffrant d’anxiété sociale peuvent devenir obsédées par ces questions », constate BBC News, qui s’est également penchée sur la question.

Si plusieurs patients affirment faire leur magasinage des fêtes dès l’automne afin d’éviter la foule, ce qui peut s’avérer une piste de solution pour l’un des problèmes liés à l’anxiété, les spécialistes s’entendent pour dire qu’il vaut mieux chercher l’aide d’un professionnel et consulter, pour ainsi obtenir des outils contre l’anxiété chronique, ne serait-ce que pour quelques séances.

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L’anxiété post-natale une autre forme de dépression post-partum

Comme l’indique parentsociety.com, les conséquences de la dépression suivant la naissance d’un enfant sont parfois dévastatrices. Les symptômes ont une influence physique, mentale et émotionnelle, sans compter que le partenaire de vie est lui aussi affecté.

Jonathan Abramowitz, président associé et directeur de l’Anxiety and Stress Disorders Clinic à l’Université de la Caroline du Nord, explique que trop de femmes souffrent en silence de la cousine de la DPP : l’anxiété post-partum. « Nous appelons l’anxiété post-partum le trouble caché, puisqu’il y a encore tellement peu de femmes qui le reconnaissent, et il est mal diagnostiqué. »

L’anxiété post-natale peut être similaire à la dépression post-partum et même être développée conjointement. Ce trouble se définit par des comportements excessifs. Notamment, nettoyer la maison et les bouteilles du bébé sans arrêt, vérifier que l’enfant va bien en continu, avoir peur de rester seule avec le bébé et, surtout, être persuadée qu’il se passera quelque chose de terrible et que vous ne pourrez pas l’éviter.

Puisque ce trouble peut vous empêcher de fonctionner au quotidien, il est important de vous tourner sans attendre vers un spécialiste lorsque vous en reconnaissez les symptômes.

Lors de l’étude menée à ce propos, sur les 1000 participantes, 11 % souffraient d’anxiété post-partum (APP).

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Les différents impacts du sport selon l’heure de la journée

On le sait, il faut se mettre au sport, à l’activité physique, et mener une vie active. Les différentes options en matière d’exercice sont nombreuses et permettent différents changements ou impacts sur le corps, mais saviez-vous que le moment de la journée que vous choisirez pour pratiquer votre activité physique préférée aurait lui aussi un impact direct sur le type de résultats obtenus?

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, en se basant sur quelques études réalisées sur le sujet, notamment de l’Appalachian State University en Caroline du Nord, de l’Université de Californie et de l’Université de Chicago.

Ainsi, on apprend que le meilleur moment pour perdre du poids grâce au sport serait le matin, très tôt, entre 6 h et 8 h. On attribue cet effet sur le poids au niveau élevé de cortisone observable le matin, et qui permet de brûler graisse et calories plus aisément.

L’activité physique en après-midi aurait plutôt un impact biologique sur le rythme circadien, et permettrait davantage de lutter et prévenir plusieurs maladies et troubles de l’humeur.

Pour terminer, ceux qui choisissent de pratiquer une activité physique le soir, soit entre 17 h et 19 h, verront leurs niveaux de stress et d’anxiété diminuer grandement, en plus d’afficher de meilleures performances qu’à tout autre moment de la journée.

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L’utilisation des téléphones intelligents va de pair avec l’angoisse

Des spécialistes et professeurs de l’Université Kent publient une étude dans laquelle ils tracent une corrélation directe entre la surutilisation des téléphones intelligents chez les jeunes adultes et les adolescents, et les hausses observables d’angoisse et de détresse psychologique, rapporte Santé Log.

Les professeurs en tête de l’étude ont cherché à savoir si l’utilisation abondante de ces appareils technologiques, désormais indissociables de la vie quotidienne, pouvait avoir un lien avec les cas d’anxiété et d’angoisse qui semblent en constate hausse chez les jeunes adultes.

La recherche, par ailleurs publiée dans le journal Computers in Human Behaviors, se base sur un sondage effectué auprès de près de 500 étudiants universitaires. En mesurant le temps d’utilisation moyen du téléphone intelligent par chaque individu, puis en soumettant les sujets à une série de tests et de questionnaires, les chercheurs de Kent ont conclu que l’utilisation de ces appareils va de pair avec une baisse des résultats scolaires et une hausse de l’anxiété.

Quelques autres études du genre abondaient déjà dans le même sens, notamment en ce qui a trait aux médias sociaux. On suggère donc de limiter le plus possible l’utilisation de ces appareils et de s’octroyer des pauses technologiques, ce qui semble désormais représenter un véritable tour de force pour les nouvelles générations.

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Les troubles mentaux des adolescents ne sont pas traités

C’est ce que révèle l’étude menée par E. Jane Costello, professeure en psychologie et en épidémiologie et directrice adjointe du Duke Center for Child and Family Policy, de la Duke University.

Selon les résultats, les adolescents souffrants du TDAH, de trouble de l’opposition ou autre trouble comportemental reçoivent les soins adéquats dans 70 % des cas. Cependant, ceux qui souffrent de phobies ou de troubles anxieux sont ceux qui sont le moins pris au sérieux, et donc non traités en majorité.

De plus, lorsqu’ils reçoivent « de l’aide », celle-ci provient souvent d’un pédiatre, d’un travailleur social à l’école ou d’agents de probation, plutôt que de la part d’un vrai spécialiste de la santé mentale.

Costello est d’avis que l’on doit former plus de psychiatres pour les mettre au service des milieux scolaires, rapporte Medical News Today.

Le sondage a récolté les données du National Comorbidity Survey Adolescent Supplement, mené auprès de plus de 10 000 adolescents américains de 13 à 17 ans. Cette étude a été mise sur pieds à la suite des nombreux cas de violence rapportés dans les dernières années, notamment les tueries en milieu scolaire.