Catégories
Uncategorized

La taille d’une partie du cerveau reliée au niveau d’anxiété des enfants

Selon les chercheurs de la Stanford University School of Medicine, en mesurant la dimension de l’amygdale et l’ampleur de sa connectivité avec les autres parties du cerveau, on peut déterminer le niveau d’anxiété vécu par l’enfant dans son quotidien.

Vinod Menon mentionne cependant qu’une amygdale plus développée ne veut pas nécessairement dire que l’enfant passera obligatoirement par la dépression ou des troubles sévères d’anxiété plus tard. « Il s’agit d’un pas important dans l’identification des jeunes enfants qui sont à risque. »

En tout, 76 participants âgés de 7 à 9 ans ont été examinés. Menon et l’équipe de chercheurs ont été stupéfiés de voir la corrélation, très probante, entre le niveau de stress de l’enfant et le surdéveloppement de l’amygdale.

Les chercheurs ont identifié quatre systèmes néocorticaux fonctionnels touchés par l’amygdale. La perception, l’attention et la vigilance, la récompense et la motivation, puis le stimulus émotionnel et la gestion de celui-ci.

Comprendre l’influence de l’anxiété chez l’enfant en rapport avec des troubles anxieux plus sévères à l’âge adulte représente un bel espoir de traitement préventif, rapporte MedicalXpress.

Catégories
Potins

Evan Rachel Wood parle de son anxiété de séparation

On ne connaît toujours pas le nom de l’enfant de 4 mois de l’actrice Evan Rachel Wood, mais elle a cependant confié à Us Magazine qu’elle était déjà « trop habituée à sa présence ». Elle a ajouté : « Ils deviennent une partie de nous-mêmes, vous savez? »

Par chance, la nouvelle maman adore son rôle de parent. « Devenir mère était mon rêve. » Wood, 26 ans, mariée à l’acteur Jamie Bell, n’a toujours pas voulu révéler le nom de son fils. Cependant, elle a avoué que son nom lui a été donné avant même sa naissance. Le refus de communiquer cette information demeure donc un mystère.

Pour l’heure, l’actrice n’est pas encore de retour au travail, et a même confié qu’elle était heureuse d’avoir pu terminer le tournage de son prochain film, Charlie Countryman, avant d’apprendre qu’elle était enceinte. « J’ai été chanceuse », dit celle qui partage l’écran de ce long métrage avec Shia LaBeouf.

Ainsi, aucun autre projet pour le moment, Evan Rachel Wood se consacre entièrement à son fils.

Catégories
Potins

Evan Rachel Wood parle de son anxiété de séparation

On ne connaît toujours pas le nom de l’enfant de 4 mois de l’actrice Evan Rachel Wood, mais elle a cependant confié à Us Magazine qu’elle était déjà « trop habituée à sa présence ». Elle a ajouté : « Ils deviennent une partie de nous-mêmes, vous savez? »

Par chance, la nouvelle maman adore son rôle de parent. « Devenir mère était mon rêve. » Wood, 26 ans, mariée à l’acteur Jamie Bell, n’a toujours pas voulu révéler le nom de son fils. Cependant, elle a avoué que son nom lui a été donné avant même sa naissance. Le refus de communiquer cette information demeure donc un mystère.

Pour l’heure, l’actrice n’est pas encore de retour au travail, et a même confié qu’elle était heureuse d’avoir pu terminer le tournage de son prochain film, Charlie Countryman, avant d’apprendre qu’elle était enceinte. « J’ai été chanceuse », dit celle qui partage l’écran de ce long métrage avec Shia LaBeouf.

Ainsi, aucun autre projet pour le moment, Evan Rachel Wood se consacre entièrement à son fils.

Catégories
Uncategorized

Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.

Catégories
Uncategorized

La superstition en traitement de l’anxiété

Superstitieux, mais moins anxieux? C’est un peu la logique qui se cache derrière les révélations rapportées par Top Santé, qui font état des bienfaits de la superstition en « traitement » des troubles anxieux.

Des chercheurs américains, de l’Université de Chicago, tracent un lien direct entre certaines actions superstitieuses et des niveaux de stress et d’anxiété plus bas, ce qui porte à croire que l’on pourrait utiliser cette méthode pour traiter certains troubles anxieux de façon partielle.

Bien que la superstition soit associée à la magie, au mystique, au karma et au cosmique, les psychologues sont loin de réfuter son utilité. Ils expliquent simplement que ces gestes, comme celui de toucher du bois ou de placer un porte-bonheur à un endroit clé, touchent une fibre importante de la psychologie humaine et permettent à l’individu qui pose le geste de se rassurer.

« Nous pouvons chercher à nous débarrasser des superstitions au nom de la modernité et du progrès, mais cela risque d’être difficile, car même si ces gestes nous semblent superficiels et irrationnels, ils sont parfois nécessaires. Les rituels superstitieux marchent vraiment. Ce n’est pas de la magie, c’est de la psychologie », peut-on lire dans les conclusions de l’étude publiée par le Journal of Experimental Psychology.

Catégories
Uncategorized

Ces mamans qui cessent l’allaitement à cause du stress

Les craintes des nouvelles mamans sont nombreuses. Que ce soit par conviction, par pression des proches ou parce qu’on a peur du jugement, à priori, si notre choix d’allaiter n’est pas totalement volontaire ou que l’on manque de soutien, il se peut que le stress prenne rapidement le dessus.

Une recherche publiée dans la revue Pediatrics explique les principales raisons qui poussent les nouvelles mères à abandonner l’allaitement au profit du biberon. Plus de 2700 femmes ont répondu au sondage et sur ce nombre, 532 allaitaient pour la première fois.

Après seulement 3 jours d’allaitement, sur ces 532 femmes, plus de la moitié étaient inquiètes parce que leur enfant arrivait difficilement à prendre le sein. Plus de 44 % soulevaient la douleur associée à l’allaitement, et 40 % craignaient de ne pas fournir suffisamment de lait. De plus, la peur de devoir allaiter dans un endroit public semblait s’ajouter au stress.

Les chercheurs ont noté que la combinaison de ces facteurs apportait un stress énorme, qui se mutait rapidement en anxiété et poussait les femmes à opter pour le biberon après seulement quelques jours.

Bien entendu, la remise en question qui en a résulté tenait compte du manque de soutien apporté aux femmes qui allaitent pour la première fois.

Catégories
Uncategorized

Un concept du bouddhisme pour aider les ado à vaincre le stress

Le principe veut que l’on rapatrie toute son attention vers le moment présent, pour être pleinement conscient, en éliminant toute source de distraction environnante. Une pratique qui nécessite une discipline régulière.

Cependant, une recherche effectuée à l’Université de Santa Barbara, en Californie, rapporte que les adolescents pourraient grandement profiter de cette approche psychologique pour améliorer leurs résultats scolaires et diminuer l’anxiété.

Des adolescents se sont prêtés à l’expérience et ont participé à 2 semaines d’entraînement à la « méditation consciente ». Par la suite, ils ont passé des examens de haut niveau et ont mieux réussi que leurs collègues qui n’avaient pas profité de l’entraînement.

« Aujourd’hui, les préadolescents et adolescents vivent dans une culture où de toute évidence, nous célébrons le multitâche », mentionne John McGrail, médecin qui a travaillé sur l’étude. C’est d’ailleurs ce surplus d’information avec lequel le cerveau jongle qui représente un danger.

Comme l’indique SheKnows, Stefanie Goldstein et son époux, tous deux spécialistes, ont monté un programme intitulé CALM, qui applique la méthode dont il est question. L’objectif (qui réussit très bien) vise à aider les jeunes à gérer le stress, la déception, les changements importants d’émotions, et tout ça, en se concentrant sur la pleine conscience du moment présent.

Catégories
Uncategorized

La thérapie thermale serait une bonne alternative aux médicaments

Des spécialistes français confirment et vantent les mérites de ce qu’on appelle « la thérapie thermale », qui consiste en une série de traitements par des bains d’eau bien chaude, selon ce qu’on comprend des informations proposées par Top Santé.

Le Dr Olivier Dubois est celui qui dépose ses conclusions en lien avec ses recherches sur ce type de traitement alternatif, après avoir mis sur pied le programme SPECth. Son but était d’analyser les impacts de la thermalisation sur la santé de patients donnés, et de voir si cette méthode pouvait bel et bien venir en aide aux personnes souffrant de problème de sommeil et de dépendance.

Comme les troubles du sommeil sont malheureusement trop souvent réglés à coup de prescription, un problème de dépendance aux psychotropes peut finir par se développer. Même chose en ce qui concerne l’anxiété et les problèmes d’angoisse chronique.

Les résultats proposés par Olivier Dubois semblent étonnants, et celui-ci est ravi de pouvoir confirmer les effets de la thérapie thermale sur ce type de patient.

« Dans le trouble anxio-dépressif, le résultat est spectaculaire », lance Dubois, qui croit que la thermalisation doit devenir un outil privilégié dans le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil, afin de non seulement améliorer le sort des patients, mais aussi éviter une surconsommation de médicaments.

Catégories
Potins

Robert Pattinson souffre de dysmorphobie

Dans une entrevue publiée dans la revue australienne Sunday Style, Robert Pattinson confie qu’il est « très difficile de demeurer équilibré mentalement » dans l’univers de la célébrité.

La couverture du magazine, sur laquelle figure la star, le présente avec cet air mystérieux, empreint d’assurance, qu’il affiche habituellement. Mais qu’on se le dise, il s’agit d’une façade!

En réalité, depuis son rôle d’Edward Cullen dans Twilight et sa relation tumultueuse avec sa covedette, Kristen Stewart, l’acteur londonien a été propulsé vers les célébrités les plus épiées de la planète. Réalité avec laquelle il a beaucoup de difficulté à jongler, surtout à cause de ses troubles anxieux.

En toute humilité, Pattinson avoue qu’il souffre de dysmorphobie, c’est-à-dire de la peur obsédante d’être laid ou difforme, en particulier lorsqu’il doit se présenter sur le tapis rouge.

« Jusqu’à la seconde près où je sors de la voiture, je deviens complètement dingue tant je suis anxieux. Puis, d’un coup, l’angoisse se dissipe », raconte-t-il. « J’imagine que cela provient entre autres de mes grandes insécurités. Je n’ai pas d’abdos développés et je déteste aller au gym. Je préférerais me saouler plutôt que d’enlever mon t-shirt. »

Catégories
Potins

Robert Pattinson souffre de dysmorphobie

Dans une entrevue publiée dans la revue australienne Sunday Style, Robert Pattinson confie qu’il est « très difficile de demeurer équilibré mentalement » dans l’univers de la célébrité.

La couverture du magazine, sur laquelle figure la star, le présente avec cet air mystérieux, empreint d’assurance, qu’il affiche habituellement. Mais qu’on se le dise, il s’agit d’une façade!

En réalité, depuis son rôle d’Edward Cullen dans Twilight et sa relation tumultueuse avec sa covedette, Kristen Stewart, l’acteur londonien a été propulsé vers les célébrités les plus épiées de la planète. Réalité avec laquelle il a beaucoup de difficulté à jongler, surtout à cause de ses troubles anxieux.

En toute humilité, Pattinson avoue qu’il souffre de dysmorphobie, c’est-à-dire de la peur obsédante d’être laid ou difforme, en particulier lorsqu’il doit se présenter sur le tapis rouge.

« Jusqu’à la seconde près où je sors de la voiture, je deviens complètement dingue tant je suis anxieux. Puis, d’un coup, l’angoisse se dissipe », raconte-t-il. « J’imagine que cela provient entre autres de mes grandes insécurités. Je n’ai pas d’abdos développés et je déteste aller au gym. Je préférerais me saouler plutôt que d’enlever mon t-shirt. »