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Les patients souffrant d’Alzheimer reproduiraient les émotions environnantes

The National Library of Medicine dévoile des conclusions fort intéressantes concernant la maladie d’Alzheimer et comment elle agit sur les patients qui en souffrent sur le plan émotionnel.

Des chercheurs californiens, de UCLA et UCSF, ont constaté que les patients atteints d’Alzheimer avaient tendance à réagir aux émotions environnantes et démontrées par les proches, et à les reproduire.

Ainsi, une personne anxieuse et troublée ne ferait pas bon ménage auprès des personnes atteintes d’Alzheimer, ne faisant que contribuer à un état de confusion et de malaise.

« Le calme appelle le calme », lance le Dr Sam Gandy, spécialiste new-yorkais sur la question.

« C’est la façon dont voyagent les émotions à travers les gens et sans avertissement. Les maladies comme l’Alzheimer et les autres démences accentuent cet effet de contagion émotionnelle », explique Virginia Sturm, de l’Université de San Francisco.

Les chercheurs se disent stupéfaits de constater le lien unique qui unit les êtres humains entre eux, et croient que ces conclusions permettront aux intervenants d’effectuer du meilleur travail auprès des patients. 

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Les jolies femmes seraient plus fertiles et moins stressées

Difficile de parler de stéréotype lorsque l’information provient d’une étude scientifique, et pourtant, le sujet de celle-ci a de quoi surprendre.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte les conclusions issues d’une étude traitant d’un possible lien entre la beauté physique d’une femme et sa fertilité, ainsi que son niveau de stress moyen.

Ainsi, on apprend qu’une femme plus jolie que la moyenne serait moins anxieuse et susceptible d’être stressée, en plus de bénéficier d’une fertilité plus accrue!

Cependant, à l’inverse des hommes, la beauté féminine ne serait pas gage d’un système immunitaire plus fort, toujours selon les chercheurs en tête de l’étude.

On peut également associer les deux faits ensemble, puisque le stress trop important nuirait à la fertilité chez la femme. On peut donc dire que la beauté engendre moins de stress, ce qui favorise conséquemment la procréation.

D’autres recherches sur le sujet sont à prévoir, mais il semble que les liens proposés ici soient bien réels. La beauté ne serait donc pas toujours que superficielle, semble-t-il.

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Comment gérer l’anxiété prénatale sévère

En effet, selon Today’s Parent, l’anxiété prénatale doit être prise en charge au même titre qu’une dépression qui suit la naissance de l’enfant.

Si plutôt que de ressentir la joie d’être enceinte, vous multipliez les scénarios catastrophes, parlez-en à votre médecin. Une femme portée sur l’anxiété peut effectivement réagir très négativement à l’annonce d’une grossesse, sans être en mesure de gérer ses émotions.

Celles-ci se transformeront rapidement en cercle vicieux. Est-ce que je saurai m’occuper d’un enfant? Est-ce que mon mariage en souffrira? Et si jamais il était handicapé ou qu’il m’arrivait quelque chose pendant la grossesse et que mon conjoint doive s’occuper seul de l’enfant…

Vous vous sentez concernée? Il n’y a aucune honte à avoir. Mais vous devez être recommandée à un spécialiste rapidement afin de vous aider à traverser cette période, dès que les symptômes de votre anxiété deviennent physiques. Ils vont du trouble du sommeil au sentiment de resserrement de la poitrine ou à des palpitations cardiaques.

Il arrive que l’intensité des symptômes nécessite un traitement médical, mais dans la plupart des cas, rassurez-vous, un bon thérapeute sera suffisant. Parler de ce qui nous inquiète avec un spécialiste est d’une aide précieuse. Celui-ci pourra également vous conseiller une thérapie cognitive complémentaire, notamment en yoga ou en méditation.

Ceci étant dit, si vous vivez déjà avec des troubles anxieux, soyez prévoyante. Si vous désirez des enfants, faites part de votre crainte à votre médecin.

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Réussir à aider son enfant s’il est du type trop anxieux

Ce type de personnalité fait en sorte que l’enfant se préoccupe de tout et se retrouve plus facilement en détresse émotionnelle. Il s’inquiète des examens à venir, de sa performance dans le sport, se critique facilement et a souvent des maux de tête ou d’estomac.

Mis à part l’aide du psychologue, Parenting Squad vous apporte quelques astuces pour aider votre enfant à la maison.

La routine – Il s’agit d’une base essentielle au bien-être des enfants. La routine de sommeil entre dans cette catégorie. Bien reposé, l’enfant sera plus calme et confiant, surtout s’il sait à quoi s’attendre de ses journées.

La communication – Il faut encourager votre enfant à définir ses émotions et à communiquer ce qu’il ressent, même si au début, les mots seront difficiles à trouver. N’hésitez pas à lui parler de ce qu’est l’anxiété, pour l’aider à identifier les émotions qui s’y rapportent.

La détente – Sous forme de respiration, de yoga ou de méditation, peu importe. L’enfant anxieux a besoin d’un coin calme où il peut se retirer. Apprenez-lui entre autres à prendre de bonnes respirations en comptant jusqu’à 10 lorsque ses émotions prennent le dessus.

Régler les problèmes – Le fait de régler une situation représente souvent un stress pour ce type d’enfant. Aidez-le à trouver des solutions, à les développer lui-même avec le temps. Ainsi, plutôt que de céder à la panique, il réfléchira.

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Signes précurseurs de maladie mentale chez l’enfant

Puisque du 5 au 11 mai, c’est la Semaine de la santé mentale des enfants, la RBC souhaite communiquer certaines informations cruciales pour les parents. Via son Projet Santé mentale des enfants RBC, voici des comportements sur lesquels on devrait porter attention :

1- Un enfant dont l’humeur et/ou le comportement changent constamment, particulièrement si l’humeur tend toujours vers la tristesse, et que l’enfant fait subir ses instabilités comportementales aux autres. Si sa façon d’agir est inhabituelle, observez-le de plus près.

2- Les enfants comme les adultes vivent des périodes de stress et d’inquiétude. Mais lorsque celles-ci sont trop fréquentes, surtout en ce qui a trait à l’anxiété, et qu’elles perdurent, il faut se poser des questions.

3- Les résultats scolaires peuvent fluctuer au courant de l’année. Mais s’ils chutent soudainement sans raison, il y a lieu de s’inquiéter. La difficulté de concentration peut être à l’origine du problème.

4- Des montagnes russes d’émotions sont également un signe précurseur de troubles mentaux. Lorsqu’elles sont incontrôlables, que la colère et la peur sont exprimées de façon exagérée, et ce, sans raison, ce n’est pas normal.

Sachez que lors du sondage effectué par la RBC, pour près du tiers des répondants, il y avait au moins un enfant atteint de maladie mentale dans leur entourage familial.

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Les bienfaits associés au temps passé loin de nos enfants

Premièrement, la psychologue pour enfants Stephanie Mihalas, qui travaille au Center for Well Being de Los Angeles, confirme que cette pratique est essentielle. Vous devez consacrer du temps à votre couple, à vous-même en tant que parent, puis à votre enfant, puisqu’il s’agit d’une étape de développement social essentielle.

Les bienfaits pour votre enfant

Il va de soi que vous risquez la crise de larmes les premières fois où vous quitterez la maison en le laissant au soin d’un autre adulte. Mais bientôt, il comprendra que lorsque vous partez, vous l’aimez encore et que vous revenez toujours. « Ils ne comprennent pas le principe et bien souvent, ils ne sont que le miroir de l’anxiété du parent », affirme la Dre Mihalas.

Sachez qu’éventuellement, ces courtes séparations, surtout vers l’âge de 3 ou 4 ans, donneront un sentiment d’indépendance à votre enfant. Il aimera vous raconter ce qu’il a fait pendant votre absence.

Les avantages pour vous

Il ne s’agit pas seulement d’une fiction. Le temps passé dans une soirée en compagnie d’amis et d’autres parents, loin de la routine avec votre enfant, vous permettra d’être moins irritable et d’apprécier vos journées.

Il est prouvé, rapporte Parenting Squad, que pendant des moments agréables du genre, votre corps libère des ocytocines. Il s’agit d’une hormone naturelle qui diminue l’anxiété et le stress. Cela vaut donc la peine d’essayer!

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Aidez vos enfants à passer au travers de l’anxiété lors d’un divorce

Le terme médical exact est le trouble d’anxiété de séparation. Il s’agit d’une détresse extrême ressentie par l’enfant lorsqu’il est séparé de quelqu’un qui lui est cher, notamment le père ou la mère.

Tous les enfants ressentent à un moment ou un autre de l’anxiété. Cependant, dans ce cas-ci, on parle de cas extrêmes. L’enfant refuse de dormir seul, de ne pas être à la vue de ses parents, ou pire, refuse catégoriquement d’aller à l’école.

Avant de sauter aux conclusions, lorsque des symptômes de stress élevé se manifestent, intégrez ces conseils, indiqués sur Psychology Today :

– Conservez une routine, c’est crucial.

– Respectez les sentiments, même exagérés, de vos enfants.

– Essayez de découvrir le catalyseur de son anxiété.

– N’attendez pas trop longtemps avant de demande de l’aide. Soyez humble.

– Demeurez calme lorsque vous dites au revoir pour le weekend. Votre état d’âme est important pour le réconfort de votre enfant.

– N’hésitez pas à faire usage de médication. Elles sont efficaces, et considérez que c’est temporaire.

– Chaque fois qu’un épisode de séparation se passe bien (école, weekend, etc.), utilisez le renforcement positif.

– Éliminez les films ou séries télévisées effrayantes. Votre enfant est déjà fragile. Ces images pourraient accentuer ses cauchemars.

Finalement, n’oubliez pas de demander de l’aide ou du soutien pour vous-même. Il ne faut pas oublier que vous vivez aussi un stress considérable.

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Dépensez-vous trop d’énergie à vous en faire pour rien?

PsychCentral dévoile des passages forts intéressants de deux livres qui traitent d’un sujet qui semblera sans doute familier pour plusieurs personnes.

On aborde dans ces publications le phénomène de « s’en faire pour rien », un mal psychologique qui touche beaucoup plus de gens qu’on croit.

Le problème, c’est que ce comportement engendre des hausses de stress, des sentiments d’angoisse et d’anxiété, en plus de faire en sorte que le cerveau et l’organisme travaillent beaucoup trop, et constamment.

On suggère premièrement d’éliminer tous les « et si », c’est-à-dire d’arrêter de s’inquiéter de choses qui ne se sont pas produites ou qui ne se produiront probablement jamais. « Ais-je barré la porte… », « Et si elle se fâchait… » ou encore « Qu’arrive-t-il si… » sont des exemples révélateurs utilisés par les auteurs.

Décrivant quatre cycles précis qui définissent ce comportement, les auteurs croient qu’il est possible de traiter cette habitude à force de volonté, de concentration et d’exercices de confiance personnelle.

On vous invite à consulter l’article complet, qui dévoile encore plus de détails sur ce « syndrome » et qui propose plusieurs solutions et analyses.

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L’anxiété affaiblit aussi le système immunitaire

L’anxiété n’a pas que des répercussions sur la santé psychologique, mais aussi physique. C’est ce qui ressort de cette étude américaine, rapportée par Top Santé, qui parle des dangers entourant une anxiété chronique.

Les angoissés quotidiens sont sujets à contracter diverses maladies et certains virus plus que les autres, signale l’étude, puisque le stress affaiblirait le système immunitaire.

Les chercheurs de l’Université d’Ohio expliquent le phénomène par une hausse de la protéine C, caractéristique de l’inflammation. Cette dernière rend le corps plus fragile et vulnérable aux nombreuses maladies.

Deux groupes de femmes ont été formés pour cette recherche, et chacun des groupes devait simuler un entretien d’embauche. Le premier pouvait ensuite se détendre en pensant à des choses « neutres », alors que le deuxième devait revivre l’expérience et se questionner.

Le deuxième groupe a aussitôt enregistré des hausses de la protéine C.

Les chercheurs rappellent donc l’importance d’être calme et de se libérer de l’emprise du stress quotidien et de l’angoisse, car il s’agit d’émotions qui empoisonnent l’organisme.

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Une femme sur 7 souffrirait de dépression post-partum

Une nouvelle étude portant sur 10 000 nouvelles mères a révélé que 14 % d’entre elles souffraient de dépression post-partum. De ce nombre, 826 ont subi une évaluation psychiatrique complète.

Près de 20 % d’entre elles avaient déjà pensé à se faire du mal. Ce nombre est très préoccupant quand on sait qu’un décès post-partum sur 5 est lié au suicide, et que cette cause de mort est la 2e plus importante chez les nouvelles mères, après les complications liées à l’accouchement.

De plus, 30 % des femmes qui souffraient de dépression ont affirmé qu’elles étaient déjà dépressives avant leur grossesse, et le même nombre souffrait de dépression durant celle-ci. Près de deux tiers de ces femmes souffraient également d’anxiété. 22 % avaient un trouble bipolaire, qui n’avait jamais été diagnostiqué par leur médecin.

« La majorité des nouvelles mères qui souffrent de dépression post-partum ne sont jamais identifiées ni traitées, même si elles sont à haut risque de développer des problèmes psychiatriques. Il s’agit d’un problème de santé publique énorme. La santé mentale d’une mère a un impact énorme sur le développement du foetus, ainsi que sur le développement physique et mental du bébé », a expliqué la Dre Katherine Wisner, selon PscyhCentral.