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Dispositif d’échographie efficace pour détecter l’appendicite chez l’enfant

Comme l’indique l’auteur principal de cette recherche sur l’échographie pour détecter l’appendicite chez l’enfant, le Dr James W. Tsung : « D’un point de vue médical, il s’agit du problème chirurgical le plus fréquent rencontré chez les enfants ».

Cependant, à ce jour, ce sont les radiographies et la tomodensitométrie (scan) qui représentent l’imagerie médicale la plus efficace. Or, l’exposition aux radiations est reconnue pour être néfaste, surtout chez les enfants, pouvant même mener au cancer.

Les spécialistes espèrent donc éviter cela aux enfants, à l’aide d’un dispositif portable pour effectuer des échographies. Le taux de précision étant de 94 %, peu d’appendicites ne sont pas détectées en utilisant cette méthode.

Sans compter qu’au terme de cette étude, rapporte Medical News Today, les spécialistes ont constaté que l’échographie permettait de diminuer le temps d’attente à l’urgence :

–  de 2 h 15 en moyenne pour les cas ayant besoin d’une radiologie, soit une prise en charge 46 % plus rapide.

– de 6 h en moyenne pour les enfants nécessitant une tomodensitométrie, soit une prise en charge 68 % plus rapide.

En outre, durant cette étude, l’utilisation du scan pour détecter l’appendicite chez les enfants a diminué de plus de 35 %, passant de 44 % des cas suspectés à 27 %.

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Elton John a cru qu’il allait mourir

La star a dû annuler le reste de ses concerts pour l’été, hier (9 juillet), lorsqu’il s’est rendu à l’hôpital à cause d’une douleur agonisante, alors qu’il était en plein spectacle.

« J’étais une bombe à retardement. Je crois que j’aurais pu mourir à tout moment », a déclaré Elton John, en confiant qu’il poursuivait ses chansons sur scène malgré la douleur atroce. « Je suis tellement chanceux et reconnaissant d’être en vie. »

Le chanteur de 66 ans a d’abord cru qu’il était aux prises avec un empoisonnement alimentaire, ce que les gens croient souvent lorsqu’ils ont les symptômes d’une crise aiguë d’appendicite. 

Cependant, à la suite des tests médicaux, il s’est avéré qu’un abcès de l’appendice était la cause réelle de sa douleur, et que celui-ci aurait pu lui être fatal.

Elton John se repose désormais dans sa demeure de Windsor, au sud-est de l’Angleterre, sous médication et antibiotiques pour diminuer les risques d’empoisonnement du sang. La star devra subir une opération dès que sa condition sera stabilisée.

Entretemps, une source a révélé au journal The Sun : « Elton a traversé le pire, mais il est encore très malade. Ce fut une épreuve horrible ».

Elton John, qui a deux fils, Zachary et Elijah, avec son mari David Furnish, a fait plus de 170 spectacles dans la dernière année. Malgré l’opération à venir, il pense déjà à son retour sur scène et espère bien pouvoir être de la partie au iTunes Festival en septembre.

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Un parallèle entre la race des enfants et le traitement pour une appendicite

L’appendicite est la plus importance cause de chirurgie abdominale d’urgence chez les enfants. Aux États-Unis seulement, 80 000 enfants subissent cette procédure chaque année.

Il s’agit d’une condition très sensible, puisque si l’appendice n’est pas enlevé à temps, une perforation peut survenir dans les 24 à 48 heures suivant le déclenchement des symptômes, et entraîner la mort.

Les chercheurs ont donc utilisé cette perforation de l’appendice, appelée péritonite, comme une indication d’un mauvais accès aux soins de santé pour les enfants. L’étude a analysé les données provenant de 107 727 enfants et jeunes âgés de 2 à 18 ans qui avaient été traités pour une appendicite.

Parmi ceux-ci, 53 % étaient d’origine hispanique, 36 % étaient caucasiens, 3 % étaient afro-américains, 5 % étaient asiatiques, et 8 % n’avaient pas de race identifiée.

Même après que les chercheurs aient ajusté les résultats pour tenir compte de facteurs externes comme l’âge et le revenu familial, les enfants hispaniques avaient 23 % plus de risque de souffrir d’une péritonite que les Caucasiens, tandis que ce risque était 34 % plus élevé pour les enfants asiatiques. De plus, le risque de complication était 18 % plus élevé chez les enfants hispaniques.

« Nous ne pouvons expliquer ces résultats », a dit l’auteur de l’analyse, le Dr Stephen Shew, « mais nous croyons qu’il existe différentes barrières en place », selon MedPageToday.

 

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L’opération de l’appendice ne remet pas en cause la grossesse

L’opération pour l’appendicite ne doit pas inquiéter les femmes qui veulent des enfants, expliquent des experts dans une étude publiée dans le journal Fertility and Sterility.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs de l’Université de Dundee ont étudié un grand nombre de données de la UK General Practice Research. Ils ont constaté que sur plus de 76 000 femmes qui avaient subi une appendicectomie, 39 % avaient eu une première grossesse dans les 10 ans.

Les résultats ne laissent pas de place au doute. « Les résultats montrent que les femmes qui ont besoin d’une appendicectomie ne devraient pas s’inquiéter des problèmes de fertilité. Les craintes d’infertilité après une appendicectomie ne sont pas fondées », explique l’un des chercheurs.

L’étude a été réalisée, car beaucoup de femmes ont exprimé des craintes quant à leurs chances d’avoir une famille après cette opération. « Un grand nombre de patientes pensent qu’elles peuvent devenir infertiles après une appendicectomie. »

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Diagnostic déficient de l’appendicite chez l’enfant

Il semble que des questions financières atteignent la santé des enfants. On apprend dans Le Figaro que près de 18 000 enfants ont reçu un diagnostic 48 heures plus tard que d’autres, en vue d’éviter un trop grand nombre d’interventions coûteuses.

Il s’en est suivi une catastrophe, pour ces enfants. Parmi ceux qui auront ainsi attendu, 22,6 % ont subi une rupture de leur paroi de l’appendice. De plus, une vingtaine d’enfants diagnostiqués trop tard pour une crise d’appendicite auront eu à subir une chirurgie visant à enlever une partie du côlon.

Les enfants tardivement diagnostiqués auront aussi été hospitalisés plus longtemps que les autres; on parle ici d’une proportion comparative de 3,5, soit de 3 à 10 jours.

D’autre part, les considérations financières auront été vaines, car ces diagnostics tardifs auront finalement coûté deux fois plus cher aux compagnies d’assurance.

Toutefois, il faut mentionner que le diagnostic de la crise d’appendicite est ardu chez l’enfant. Il existe malgré tout le score d’Alvaro, lequel sert à évaluer efficacement l’urgence de la situation.

Dans cette charte, chacun des symptômes de l’appendicite correspond à un nombre de points; au-dessus de quatre, le patient est en observation; au-dessus de six, on procède à une intervention.

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Risques d’une rupture fatale de l’appendice de l’enfant

Les enfants qui vivent dans une région où se trouvent peu de pédiatres courraient un plus grand risque de décéder d’une rupture de l’appendice que ceux qui ont accès à un plus grand nombre de médecins.

C’est ce que l’on retient d’une étude du Centre pour enfants Johns Hopkins aux États-Unis publiée dans JAMA-Archives of Surgery.

Celle-ci se base sur 250 000 données recueillies par des hôpitaux et portant sur des enfants ayant souffert de l’appendicite.

L’hypothèse présente a été retenue après avoir rejeté plusieurs autres facteurs tels que l’accès à l’imagerie médicale, les couvertures d’assurance ainsi que le nombre d’hôpitaux et d’opérations dans la région donnée.

Il semble que la corrélation entre le pédiatre et une rupture fatale de l’appendice serait que ce professionnel de la santé peut détecter plus tôt un enfant atteint.

Rappelons finalement qu’environ le tiers des enfants qui souffrent de l’appendicite vivront la rupture de leur appendice.

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Une infection virale à l’origine de l’appendicite

La revue médicale Archives of Surgery rapporte que l’appendicite pourrait être causée par une infection virale au même titre que la grippe, selon les résultats d’une étude de chirurgiens et médecins du Southwestern Medical Center de l’université du Texas.

De nombreux cas d’appendicite qui se sont produits entre 1979 et 2006 ont été analysés. On a noté certaines ressemblances dans les changements de saison et la fréquence des crises. On en déduit donc que l’appendicite pourrait être le résultat d’une infection virale.

Le nombre de cas augmentait en 1977,1981, 1984,1987, 1994 et 1998, avec plus de cas durant l’été. Cela suggère qu’il pourrait y avoir des facteurs qui favorisent le développement de la maladie, dans l’environnement notamment.

La cause directe de l’appendicite demeure toujours inconnue à ce jour. Selon les chercheurs, elle n’est toutefois pas causée par la grippe ou un virus intestinal.

De plus, l’étude révèle une donnée étonnante, l’appendicite n’a pas toujours besoin d’être soignée par le biais d’une chirurgie d’urgence pour retirer l’appendice, contrairement à ce qui est véhiculé depuis de nombreuses années dans le monde médical.

L’étude s’est basée sur des cas de marins qui n’ont pu être opérés en urgence et dont on a soigné l’appendice sans chirurgie. Même si les gens doivent toujours consulter, on remet en question les chirurgies pratiquées depuis des années.

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Un test d’urine pour détecter l’appendicite?

Grâce à la découverte d’un marqueur urinaire associé à l’appendicite par des scientifiques de la Faculté de médecine de l’Université Harvard, à Boston, un nouveau test permettant de diagnostiquer plus facilement l’inflammation pourrait bientôt voir le jour.

Soixante-sept enfants âgés de 11 ans chez qui l’on soupçonnait la maladie ont collaboré à cette étude. On a ainsi découvert l’existence de trois marqueurs, dont la leucine-riche glycoprotéine alpha-2 (LRG), fiable à 97 %.

Grâce à ce marqueur, un diagnostic d’appendicite a été établi même si les résultats obtenus à l’aide du scanographe semblaient normaux.

Soulignons que pour le moment, aucun test en laboratoire ne permet de détecter l’appendicite.

 

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Une autre conséquence de la mauvaise qualité de l’air

Les travaux menés par le Dr Gil Kaplan et son équipe de l’Université de Calgary ont démontré qu’il existe un lien significatif entre la pollution de l’air et le risque d’appendicite.

En observant 5 000 adultes ayant subi une appendicectomie à Calgary entre 1999 et 2006, le chercheur conclut que cette inflammation de l’appendice est en hausse dans les pays industrialisés comme le Canada, les États-Unis et le Royaume-Uni depuis plus de 100 ans.

En effet, environ une personne sur 12 au pays devra subir l’ablation chirurgicale de son appendice au cours de sa vie.

Le Dr Kaplan a aussi conclu que l’amélioration de la qualité de l’air ne pourrait que contribuer à prévenir certains cas d’appendicite.