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La dépression peut entraîner l’Alzheimer

En Angleterre, plus de 50 000 personnes quittent leur emploi chaque année pour prendre soin d’une personne atteinte de démence. Des experts se sont penchés sur cette triste réalité et ont finalement trouvé un lien entre la dépression et la déficience cognitive légère.

C’est une étude de l’Université Rush dans l’Illinois qui a réussi à prouver que la dépression et la démence sont deux maladies indépendantes l’une de l’autre, donc qui ne se développent pas à partir des mêmes problèmes sous-jacents dans le cerveau, mentionne The Telegraph.

Cependant, la démence peut être une conséquence de la dépression chez les personnes âgées. Ainsi, celles qui ont des symptômes courants, comme vivre dans la solitude et avoir une perte d’appétit importante, peuvent souffrir de dépression, qui peut provoquer une déficience cognitive légère. Cette déficience peut conduire rapidement vers la perte des capacités de raisonnement et de la mémoire, et contribuer à la maladie d’Alzheimer.

Pour le Dr Wilson, auteur de l’étude parue dans la revue Neurology, il y a de l’espoir. « Si nous pouvons cibler, prévenir ou traiter la dépression et les causes de stress, nous pourrons aider les gens à maintenir la pensée et les capacités de mémoire durant la vieillesse, et ainsi prévenir la maladie d’Alzheimer. »

1764 hommes et femmes âgés de plus de 77 ans, qui n’avaient aucun problème de mémoire au début de chaque année où commençaient les analyses, soit pendant huit ans, ont participé à l’étude. Parmi ces gens, 680 sont décédés au cours de l’étude. Sur 922 survivants, 52 % ont développé une déficience cognitive légère, et 18 % sont devenus victimes de la démence.

 

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6 signes de stress chez le jeune enfant

She Knows vous informe de quelques indices à surveiller chez vos bambins si vous vivez vous-même du stress. Souvent, les parents ne se rendent pas compte que les enfants ressentent et vivent nos changements d’humeur.

Selon la spécialiste Adelle Cadieux, psychologue en pédiatrie, il existe 6 signes de stress à surveiller chez le bébé et le jeune enfant.

– Des problèmes de comportements soudains ou une réactivité émotionnelle;

– Des changements dans la routine de sommeil (autant l’augmentation que la diminution de celui-ci);

– Des changements au niveau de l’appétit. Certains n’auront pas faim, alors que d’autres auront tout à coup des goûts exagérés pour la nourriture, entre autres des fringales de malbouffe ou de glucides;

– Une diminution des résultats scolaires;

– L’augmentation de douleurs physiques. Ils se plaignent principalement de maux de tête ou de ventre, surtout avant une activité;

– Une modification dans les interactions sociales avec la famille ou les amis. Ils peuvent être plus en retrait, moins intéressés.

Cependant, il faut s’inquiéter uniquement lorsque ces changements interfèrent avec le quotidien.

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Prescription de médication pour le TDAH chez les enfants de moins de 4 ans

Une nouvelle tendance américaine qui agite les parents et spécialistes. Des nourrissons se retrouvent avec des médicaments comme l’Adderall, un stimulant contrant les effets du TDAH.

Selon She Knows, l’American Academy of Pediatrics n’approuve même pas le Ritalin et l’Adderall chez les enfants de 4 ans et moins, et déjà, c’est très précoce. Ainsi, plus de 10 000 enfants de 2 à 3 ans reçoivent de la médication non adaptée pour eux aux États-Unis.

Un pédiatre du nom de Russell Saunders a soulevé cette mauvaise pratique dans le Daily Beast. « Le comportement qui indiquerait un trouble de déficit d’attention avec hyperactivité chez un enfant de 9 ans et totalement normal chez un jeune de 2 ans. »

Comme l’indique Saunders, certains d’entre eux, éventuellement, seront traités pour le TDAH, alors que d’autres ont seulement besoin d’encadrement de la part des parents.

Les effets secondaires de cette médication sont dangereux, et encore plus chez les nourrissons. Le manque de sommeil et d’appétit peut gravement nuire au développement et à la croissance.

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Une méta-étude confirme les bienfaits des amandes

Les amandes bénéficient d’un nouvel appui massif, rapporte MedicalNewsToday, alors qu’une nouvelle méta-étude sur le sujet vient d’être présentée devant les membres de l’American Society of Nutrition.

En analysant plusieurs études effectuées sur le compte des amandes et de leurs bienfaits, les spécialistes présents lors de la réunion annuelle de l’ASN ont confirmé plusieurs avantages à l’aliment, que ce soit dans le contrôle du poids, dans le contrôle de l’appétit et sur ses impacts généraux sur la santé.

« Présenter cette recherche à cette assemblée de scientifiques et de professionnels de la santé est primordial afin de transformer ces découvertes en applications pratiques et en recommandations », croit la Dre Karen Lapsley, l’une des dirigeantes de l’Almond Board of California.

Avec des statistiques qui démontrent que 97 % des Américains consomment au moins une collation par jour, et que 40 % en consomment de trois à quatre, conseiller les amandes comme changement alimentaire pourrait donc transformer plusieurs vies, selon plusieurs spécialistes.

D’autres conclusions plus étoffées à la suite de cette présentation sont à venir, mais cette méta-étude vient confirmer une fois de plus les bienfaits puissants des amandes au sein d’une alimentation saine.

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Médias sociaux : Les photos de nourriture ruinent votre appétit

Selon une nouvelle étude alimentaire qui analyse certains comportements sur les médias sociaux en lien avec la nourriture, les fameuses photographies de repas pourraient bien créer un phénomène inverse à celui que l’on croit.

Des chercheurs de la Brigham Young University (BYU) et de l’Université du Minnesota ont analysé le comportement de 232 participants volontaires dans le cadre d’une étude comportementale sur l’appétit et l’alimentation. Ils constatent que le simple fait de voir la nourriture des autres sur internet coupe l’appétit.

« En un sens, vous devenez fatigué de ce goût sans même avoir goûté le plat. C’est de l’ennui sensoriel. Vous êtes passé à autre chose. Vous ne voulez plus cette expérience désormais », explique Ryan Elder, professeur à la BYU et coauteur de l’étude.

La recherche, rapportée par MedicalNewsToday, a été publiée dans The Journal of Consumer Psychology et démontre pour la toute première fois l’impact des médias sociaux sur nos comportements et sur nos désirs.

Par exemple, les participants qui voient défiler des mets sucrés seront plus attirés par le salé, et vice versa. L’un des avantages de ce constat avancé par les chercheurs impliqués dans cette recherche est qu’il serait peut-être souhaitable pour quelqu’un qui veut éviter certains types de nourriture de regarder plusieurs photographies du plat interdit, et ainsi d’arrêter son choix sur autre chose.

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Les goûts et les couleurs, ça se dispute parfois

La couleur et la nature des couverts influent sur la façon dont nous percevons la nourriture, rapporte une étude qui déconseille ainsi fortement l’usage du rouge pour stimuler l’appétit.

« La façon dont nous percevons la nourriture est une expérience multisensorielle qui implique non seulement le goût et la texture des aliments, mais aussi l’arôme et la vue », résument les auteurs de l’étude, publiée dans la revue scientifique Flavour.

« Avant même que la nourriture soit dans notre bouche, notre cerveau a déjà formé un jugement sur elle, ce qui affecte l’ensemble de notre expérience alimentaire », affirment les chercheurs de l’Université britannique d’Oxford.

La couleur rouge serait particulièrement dissuasive. « Le rouge pourrait être utilisé pour présenter de la nourriture aux gens qui doivent rationner leur alimentation, mais certainement pas pour ceux dont le poids est trop faible », affirme l’étude.

Les chercheurs ont procédé à une batterie de tests à l’aide de couverts de différentes couleurs, formes, matières et poids, pour évaluer leur impact gustatif sur des dizaines de volontaires.

Ils en arrivent à la conclusion que de la nourriture piquée sur un couteau a un goût plus salé que si elle est consommée avec une cuillère, une fourchette ou un cure-dents, et qu’elle semble « plus chère » si on la mange dans une cuillère en plastique légère.

Au début de l’année, une autre étude suggérait déjà que le chocolat chaud paraissait meilleur lorsqu’il était servi dans une tasse de couleur orange ou crème, plutôt que blanche ou rouge.

Les spécialistes assurent toutefois qu’il n’existe pas réellement de formule magique, et que tout dépend du type d’aliment consommé.

Par exemple, des boîtes jaunes permettent d’améliorer la saveur du citron dans les sodas, alors que des couleurs froides, comme le bleu, donnent l’impression d’une boisson plus désaltérante. Une boisson dans un contenant rose sera à l’inverse perçue comme étant plus sucrée.

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Les petits encas satisfont autant l’appétit que les gros

(Relaxnews) — Les personnes qui adorent grignoter noteront qu’une étude américaine avance que les petites portions de croustilles ou de bonbons dont on raffole satisfont autant les fringales que les grosses quantités.

L’étude de l’Université Cornell a été menée auprès d’une centaine d’adultes à qui on a donné de petites et de grandes portions du même encas.

Le groupe de plus gros mangeurs a consommé environ 100 calories de plus que l’autre. Les deux groupes ont cependant rapporté une baisse significative de leur envie de nourriture 15 minutes après l’encas, ce qui laisse entendre que les grosses portions ne sont pas nécessaires.

 « Ces recherches montrent que la notion d’alimentation plaisir — la faim hédoniste — est plus motivée par la disponibilité d’aliments que par la nourriture déjà consommée », note le coauteur de l’étude Brian Wansink, dans un communiqué.

Il ajoute : « Manger un petit peu satisfait la faim et n’amplifie pas l’envie de grignoter ».

« Si vous voulez contrôler votre poids, voici le secret : prenez un tout petit encas et attendez. Après 15 minutes, votre estomac et votre cerveau se souviendront uniquement qu’ils ont eu droit à un bon encas », conclut le professeur Wansink.

Ces résultats sont parus dans la revue Food, Quality and Preference.

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Une grenade qui fait maigrir

Vous aurez sans doute compris que l’on parle ici du fruit, qui a presque complètement perdu sa place dans le régime alimentaire nord-américain (comme bien d’autres excellents fruits et légumes, d’ailleurs).

Voilà que Top Santé rapporte une étude écossaise, effectuée à l’Université Queen Margaret d’Édimbourg, qui affirme que la grenade est une alliée de taille dans la lutte aux kilos en trop.

Il appert que cet aliment permet de mieux gérer sa faim et d’en ressentir beaucoup moins les effets.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les comportements de 29 sujets. Certains ont reçu des compléments de grenade à leur régime, alors que d’autres n’ont reçu qu’un simple placebo.

On leur demandait ensuite de se placer devant une bonne assiette de pâtes, alors que les chercheurs identifiaient les réactions de ces volontaires en les observant et par voie de sondages.

Les résultats semblent probants, à un point tel que les chercheurs peuvent affirmer que le groupe ayant reçu des suppléments de grenade ressentait moins la faim (12 % moins), se sentait plus satisfait après les repas (plus 16 %) et avait moins envie de manger constamment (21 % moins).

Avec de tels chiffres, la grenade n’a plus de raison de ne pas effectuer un grand retour dans votre assiette! On recommande les compléments et extraits de grenade, vendus dans plusieurs boutiques.

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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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Trop peu de sommeil pour trop d’appétit

Des chercheurs croient que le sommeil peut jouer un rôle dans la façon dont l’organisme réagit à la nourriture. Quelques études sur le sujet sont parues depuis quelque temps, et on trace un lien de plus en plus clair entre le sommeil et la nutrition.

En voici une nouvelle, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui fait maintenant une corrélation entre le nombre d’heures de sommeil et la puissance de l’appétit. Selon les chercheurs en tête de l’étude, trop peu de sommeil favoriserait l’amplification d’hormones qui font croître à leur tour l’appétit, ou le sentiment d’avoir faim.

De plus, ils se sont aperçus que le processus de la faim est différent chez les hommes et chez les femmes.

Un double constat que nous explique l’enquêtrice principale au dossier, Marie-Pierre Saint-Onge, de l’Obesity Nutrition Research Center (St. Luke’s/Roosevelt Hospital) de New York : « Les résultats obtenus pointent en direction d’un lien direct entre la privation de sommeil et la régulation de l’énergie. L’état “d’équilibre de l’énergie”, pour une personne qui est en période de gain ou de perte de poids, serait critique pour le métabolisme. Les réponses hormonales qui suivent une privation de sommeil sont des facteurs importants ».

Les résultats ne sont pas aussi clairs chez la femme, ajoute l’équipe de chercheurs. Le lien entre le sommeil et l’appétit chez la femme demeure à prouver, mais celle-ci ne réagit manifestement pas de la même façon que l’homme dans ce dossier.