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Le stress augmente l’appétit

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Calgary viennent d’établir un lien entre le stress et l’appétit chez des rongeurs. Toutefois, le chercheur de l’Institut du cerveau, Quentin Pittman, affirme que ce processus est le même pour l’humain.

Bien que des études supplémentaires doivent confirmer plus clairement les effets du stress sur l’appétit, on a remarqué que les rongeurs soumis à un stress consommaient plus de nourriture.

Le tout se passe dans l’hypothalamus (structure du système nerveux) qui envoie des signaux d’appétit plus intenses lorsque nous serions sous l’effet du stress.

Le stress modifie donc l’action des neurotransmetteurs endocannabinoïdes qui régulent la sensation de faim.

Selon le site Neuron, c’est sans doute pour cette raison qu’il est si difficile pour plusieurs personnes de suivre un régime à la lettre, car celui-ci peut provoquer un stress, ce qui envoie donc des signaux de faim au cerveau.

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Boire de l’eau aide à perdre du poids

Il a déjà été dit que l’eau était un coupe-faim naturel. Une nouvelle étude rapportée par le Times of India le confirme une fois de plus. 

Pour vous aider à contrôler votre appétit durant un régime amaigrissant, vous pouvez augmenter votre consommation d’eau.
 
Au moins huit verres par jour peuvent aider à la perte de poids.
 
Le professeur Donald S. Roberston et auteur de The Snowbird Diet indique que l’eau contribue à diminuer la graisse du corps, et ce, de façon naturelle.
 
Ceci serait lié à l’adéquation de l’eau pour les reins : avec moins d’eau, les reins ne fonctionnent pas parfaitement, ainsi une partie de leur contenu migre vers le foie, qui pour sa part, se charge de transformer les réserves de graisse en énergie. Mais comme il doit en plus gérer le contenu résiduel des reins, cela perturbe son fonctionnement, ce qui provoque une accumulation de graisse et par conséquent une prise de poids.
 
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L’obésité se joue-t-elle avant la naissance?

Afin de mieux comprendre en quoi le développement fœtal peut influencer celui d’un futur surpoids, des chercheurs américains se sont penchés sur la question hormonale. Leurs résultats sont parus dans Endocrinology.

Il semble qu’un changement dans les taux de ces hormones altère, en quelque sorte, le développement fœtal, soit au niveau du cerveau. Une telle transformation de l’évolution cellulaire aurait un impact sur les fonctions cérébrales qui régissent l’appétit.

Bien que ces observations aient été effectuées sur des modèles animaliers, il est évident, selon les chercheurs, qu’elles peuvent être reportées chez l’humain. Cette découverte représenterait donc, selon eux, l’une des explications primaires de l’obésité.

Parallèlement, des niveaux de leptine et d’insuline déréglés ont été relevés chez des enfants dont la mère était obèse, souffrait de diabète de grossesse ou s’alimentait de façon inadéquate.

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La malbouffe détruit la capacité du cerveau à gérer l’appétit

Le DailyMail nous apprend que la malbouffe est non seulement mauvaise pour la santé en général, mais elle détruit certaines cellules du cerveau qui aident à contrôler le poids.
 
Cela cause donc le cercle vicieux de l’obésité et expliquerait pourquoi certaines personnes ont tant de mal à perdre leurs livres en surplus.
 
Après avoir fait des tests avec des souris de laboratoire, les chercheurs ont observé que la malbouffe causait une inflammation de l’hypothalamus, la partie du cerveau comprenant les neurones qui maîtrisent le poids.
 
Toutefois, on ignore encore si ces dommages cellulaires sont permanents, mais ils contribuent sans l’ombre d’un doute à la prise de poids.

Éventuellement, cette découverte pourrait mener à la création d’un médicament pour remédier au phénomène.

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Penser à l’exercice augmente l’appétit

Penser à des exercices physiques augmente l’appétit, selon une étude rapportée par MedicMagic.
 
Le problème est que si, en fin de compte, on ne bouge pas, nous allons manger plus et donc, éventuellement, prendre du poids.
 
Les chercheurs ont étudié trois groupes de volontaires. Un premier devait lire un scénario qui disait qu’ils courraient 30 minutes en écoutant de la musique. Le deuxième groupe avait une lecture de scénario décrivant une activité physique fatigante et le troisième groupe avait un scénario qui n’était aucunement relié à l’exercice.
 
Après la lecture, on leur a remis un goûter comportant de nombreux aliments sucrés. Les participants des deux premiers groupes ont consommé 51,9 % plus d’aliments que le troisième groupe dont le scénario n’avait rien à voir à l’exercice.

Ainsi, il est donc important de bouger réellement, sinon votre consommation calorique risque fort d’augmenter.

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Une hormone influence notre goût pour la malbouffe

Apparemment, ce serait une hormone qui nous inciterait à continuer de manger de la nourriture moins bonne pour la santé, et ce, même lorsque nous sommes rassasiés.

Selon des chercheurs américains du Centre médical Southwestern de l’Université du Texas, la ghrétine, une hormone qui stimule l’appétit, jouerait un rôle dans notre goût pour la malbouffe.

Avec des expériences menées sur des souris, on a tenté de savoir si un rongeur repu préférait rester dans la pièce où il avait mangé des aliments riches en gras ou s’il préférait se rendre dans une pièce avec de la nourriture fade.

On a constaté que les souris ayant reçu une injection de ghrétine préféraient nettement la première option, alors que celles n’ayant pas eu d’injection ne montraient aucune préférence nette.

De plus, lorsque les chercheurs bloquaient la sécrétion naturelle de ghrétine, les souris rassasiées passaient moins de temps à l’endroit où il y avait de la malbouffe.

Les souris ayant de la ghrétine pouvaient passer nettement plus de temps que les autres à manger de la nourriture grasse la tête passée à travers le trou.

Cela laisse supposer que les humains rassasiés qui continuent tout de même de manger ce type d’aliments ont la même réaction de l’hormone. Les humains et les souris ont des hormones et des connexions cellulaires au cerveau qui sont similaires. Maintenant, on souhaite connaître quel circuit provoque l’action de la ghrétine.

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L’Alzheimer reliée à l’appétit?

Des chercheurs viennent de découvrir un tout nouveau facteur dans le développement de la maladie d’Alzheimer et d’autres formes de démence. Il semble que le taux de leptine, cette hormone qui gère l’appétit, joue un rôle sur l’apparition de la maladie.

Selon l’équipe de l’École de médecine de l’Université de Boston, qui a publié ses résultats dans le Journal de l’Association médicale américaine, un haut niveau de leptine protègerait contre les formes de démence.

De précédentes études mentionnaient que la leptine augmentait les facultés de mémoire chez les animaux, ce qui confirme donc la présente étude. Cette hormone enclenche une série de réactions dans le système nerveux central. Elle est produite après un repas pour dire au cerveau que la personne a assez mangé.

L’étude a été menée sur des centaines de personnes âgées et on a constaté que chez celles qui avaient un bas niveau de leptine, le quart développait de l’Alzheimer. Chez les personnes ayant un taux de leptine normal, les risques de développer l’Alzheimer étaient de l’ordre de 6 %.

Cette découverte pourrait maintenant permettre de diagnostiquer la maladie grâce au taux de leptine et ainsi mener à de meilleurs traitements.

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Mâcher de la gomme peut être bénéfique

Selon une nouvelle étude, les hommes et les femmes qui mâchent de la gomme sans sucre trois fois par heure durant l’après-midi grignotent moins et, surtout, consomment moins de collations sucrées que lorsqu’ils ne mâchaient pas de gomme, rapporte ScienceDaily

Ils continuaient tout de même de grignoter des choses peu recommandées, mais globalement, la baisse de consommation de grignotines était significative. Ils consommaient environ 40 calories de moins en collation et 60 calories de moins en collation sucrée. 

Soulignons que cette étude a été réalisée auprès de 115 hommes et femmes âgés de 18 à 54 ans. Le groupe a été réparti entre ceux qui consommaient de la gomme et ceux qui n’en mâchaient jamais.

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Les fringales expliquées

Une étude québécoise publiée dans la revue Cell Metabolism nous en apprend davantage sur la ghréline, mieux connue sous le nom d’hormone de la faim.

Celle-ci est si puissante qu’elle agit sur le cerveau exactement comme l’alcool ou la drogue peuvent agir sur celui des personnes dépendantes de ces substances. « Elle jouerait un rôle très important chez ceux qui éprouvent de la difficulté à perdre du poids », a précisé le neurologue Alain Dagher.

Sécrétée par l’estomac, la ghréline circule dans le sang et parvient jusqu’aux cellules du cerveau, particulièrement dans la zone de l’hypothalamus, responsable des mécanismes de la faim.

« La ghréline est un puissant stimulant de l’appétit. Nous voulions vérifier son rôle dans l’acte de manger sans contrôle », mentionne le Dr Dagher, qui entrevoit déjà une nouvelle piste pour traiter l’obésité en bloquant l’hormone.

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Le cerveau, responsable de l’obésité?

Une recherche effectuée sur des rats par des scientifiques de l’université Southern California pourrait aider à mieux comprendre le surplus de poids chez les humains.

Selon les chercheurs, les neurones du noyau arqué, un groupe de cellules de l’hypothalamus, présentaient des défauts, ce qui avait pour conséquence de dérégler la sensation d’appétit et d’augmenter les réserves de graisse chez les rongeurs.

Ce phénomène a été observé dès les premières semaines de vie des rats. Les prochaines études sur le sujet devront se concentrer sur les façons de contourner cette prédisposition cérébrale qui entraînerait l’obésité.

On pourra consulter les résultats complets de cette étude dans l’édition de février du Cell Metabolism.