Catégories
Uncategorized

L’apport des grands-parents encourage l’agrandissement de la famille

Selon une récente étude de l’Université de la Finlande de l’Est, le bien-être des petits-enfants ainsi que la décision d’en avoir d’autres reposent entre autres sur les grands-parents.

Les mères qui reçoivent le soutien physique et émotionnel de leurs parents sont plus portées à avoir un second ou même un troisième enfant. La présence des grands-parents maternels est aussi associée à moins de problèmes émotionnels et comportementaux de la part des enfants.

D’autre part, si ce sont les grands-parents paternels qui offrent leur soutien, le couple qui a de jeunes enfants sera porté à agrandir la famille, informe Medical News Today.

L’étude a été menée par Dr Antti O. Tanskanen et son équipe auprès de 8 pays européens : la France, la Norvège, la Bulgarie, la Lituanie, l’Angleterre, le Pays de Galles, l’Écosse et l’Irlande du Nord.

En Europe, les grands-parents contribuent énormément à l’éducation de leurs petits-enfants. Cependant, la recherche a aussi démontré qu’une contribution trop importante pouvait mener à l’obésité des enfants dès l’âge de 3 ans, bien que ce soit involontaire.

Catégories
Uncategorized

La collation : véritable ennemi du maintien du poids

Une nouvelle étude abonde dans le même sens que certaines théories précédemment avancées par certains spécialistes voulant que la collation s’avère le véritable ennemi du maintien du poids, rapporte le Daily Mail (UK).

On entend par là qu’il vaut mieux manger trois « gros » repas par jour que de tenter d’en manger des petits, ponctués de collations à travers la journée.

L’étude rapportée provient des Pays-Bas et ajoute donc à l’idéologie qui soutient qu’il est plus facile de maintenir son poids, voire de maigrir, en mangeant à sa faim et à des heures régulières, mais seulement à trois reprises.

L’équipe de la Dre Mireille Serlie, basée à Amsterdam, affirme être la toute première à véritablement vérifier les impacts de ce style de vie. Les chercheurs concluent sans aucun doute que le fait de bonifier ses repas en bannissant les collations permettent de ne pas, ou peu, prendre de poids, en plus de protéger le foie.

« Notre étude propose la première preuve que de manger plus souvent, au contraire de manger trois gros repas, contribue à engraisser le foie, indépendamment du tour de taille », explique Dre Serlie.

En Amérique du Nord, on estime que les jeunes consomment le quart de leur apport calorique quotidien en collations.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Hepatology.

Catégories
Uncategorized

La consommation de riz contribue à la bonne santé

Ceux qui aiment bien manger du riz seront certainement ravis de prendre connaissance des conclusions d’une nouvelle étude sur le sujet, alors que les autres voudront peut-être commencer à intégrer l’aliment à leur régime hebdomadaire.

Une nouvelle recherche partiellement fondée par le département de l’agriculture américain semble confirmer plusieurs avantages du riz sur la santé des individus qui le consomment de façon régulière, rapporte MedicalNewsToday.

On mentionne d’abord que le riz permet de maintenir son poids ou d’en perdre plus facilement, en plus de proposer des apports nutritifs non négligeables. Le riz contient notamment du fer, du potassium, du magnésium et des fibres.

De plus, les chercheurs en tête de l’étude estiment que le riz permet l’amélioration de plusieurs marqueurs de santé importants. Choisir le riz permet aussi de réduire les apports en sel, sucre et calories.

En contrepartie, quelques études mettaient récemment en garde les grands consommateurs de riz conter la présence possible, et souvent infime, d’arsenic dans certains produits, mais il semble néanmoins que la situation n’est pour l’instant pas trop alarmante.

Les conclusions de l’étude mentionnée ont été publiées dans le journal Food and Nutrition Sciences.

Catégories
Uncategorized

Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

Catégories
Uncategorized

Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

Catégories
Uncategorized

Les deux meilleurs moyens de prévenir la grippe

À l’ère de la technologie et des percées médicales constantes, on pourrait s’attendre à ce que de nouvelles façons, hormis le vaccin, soient proposées ou découvertes pour prévenir la bonne vieille grippe lors de la saison hivernale.

Or, selon les informations rapportées par Top Santé, des chercheurs se sont penchés sur les meilleures méthodes présumées pour prévenir et contrer la grippe, pour finalement couronner deux des plus vieux trucs du monde comme meilleures façons d’y parvenir.

En effet, selon les chercheurs de l’équipe du Dr Michael Allan, basée à l’Université d’Alberta, le simple fait de se laver les mains et quelques apports supplémentaires en zinc seraient toujours les deux meilleures manières de repousser le virus de l’influenza le plus longtemps possible.

Le Dr Allan a analysé plusieurs études précédentes pour en arriver à ce constat, et malgré l’impact présumé du zinc en prévention de la grippe, le spécialiste ne conseille cependant pas une prise systématique de suppléments.

« Ce n’est pas quelque chose que je recommanderais sur une base régulière. Le zinc peut mener à des nausées et n’a pas un goût particulièrement plaisant », explique-t-il.

Le lavage de main s’avère cependant une solution plus simple et plus efficace.

Les probiotiques ont aussi été mentionnés comme possible solution préventive.

Le Dr Michael Allan publiait ces conclusions, ainsi qu’une analyse des traitements possibles une fois la grippe contractée, dans le Canadian Medical Association Journal.

Catégories
Uncategorized

Les CDC proposent une réduction du sodium dans les restaurants

Les CDC américains (Centers for Disease Control and Prevention) lancent une campagne et proposent de réduire les apports en sel retrouvés dans les repas proposés par les restaurants sur leur territoire.

L’organisation croit qu’il est possible d’agir efficacement et de réduire la consommation globale moyenne de sel des habitants, qui fréquenteraient les divers restaurants à hauteur de 5 fois par semaine, en moyenne.

Publiant via leur site officiel un rapport intitulé From Menu to Mouth: Opportunities for Sodium Reduction in Restaurants, les CDC croient qu’il est possible de créer un effort commun et d’ainsi améliorer la qualité de vie des citoyens, en plus de sauver un nombre considérable de vies sur le long terme.

« Le fait est qu’il est possible de le faire et de sauver des vies en réduisant les apports en sodium, et cela peut être fait en réduisant, en remplaçant, et en reformulant », lance le directeur, le Dr Tom Frieden.

Au nombre des propositions, les CDC suggèrent de placer des nutritionnistes à la disposition des restaurateurs, d’obliger la publication des apports nutritionnels des repas sur les menus, et de sensibiliser les cuisiniers à la cause de diverses manières.

On cite notamment le cas de la ville de Philadelphie, qui a travaillé de concert avec 206 restaurants dans la campagne Philadelphia Healthy Chinese Take-out Initiative, avec un certain succès (20 % de réduction de sodium chez plusieurs restaurateurs).

Pour de plus amples renseignements, visitez le www.cdc.gov/salt ainsi que le www.millionhearts.hhs.gov.

Catégories
Uncategorized

La vitamine E pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer

Une nouvelle étude encourageante démontre le potentiel de la vitamine E à freiner les ardeurs de la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre le ralentissement de la progression de cette terrible maladie.

Cette découverte provient d’une équipe de chercheurs américaine basée au Minnesota et menée par le Dr Maurice Dysken. Elle fait état d’une amélioration de la condition des patients souffrant d’Alzheimer ayant reçu de fortes doses de vitamine E.

« On a découvert que la vitamine E ralentit significativement la progression, en comparaison avec le placebo », lance le Dr Dysken.

Il ne s’agit aucunement d’une forme de traitement, mais plutôt d’une manière de gagner du temps et d’améliorer la condition des patients souffrant d’Alzheimer, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

On parle d’une réduction de 20 % du déclin annuellement, et d’un besoin moins évident de soins de la part du personnel médical, toujours selon l’étude de Dysken et de son équipe.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association, au dernier jour de 2013.

Catégories
Uncategorized

Les apports en sel seraient influencés par le cerveau, non par la quantité consommée

Une étude publiée dans l’American Journal of Hypertension, et rapportée par Medical News Today, avance que les apports et taux de sel observables chez l’humain sont gérés par le cerveau, invalidant du même coup les récentes publications de la communauté scientifique en matière de consommation de sel.

On le sait, le sel a mauvaise presse depuis un moment, et les campagnes de sensibilisation afin de convaincre la population de réduire les apports alimentaires en sel se multiplient.

Or, selon l’équipe de chercheurs de la UC-Davis, menée par le David McCarron, le cerveau de chaque individu gère les apports en sel de façon différente, ce qui empêche véritablement de tracer une moyenne d’apports recommandés.

On estime à 2200 milligrammes la différence notable, en moyenne, du taux de sel observable chez un individu, des chiffres qui seraient les mêmes depuis 50 ans.

Donc, selon McCarron, les preuves scientifiques sont encore trop minces pour garantir un réel impact négatif sur la santé découlant d’une consommation de sel jugée « trop grande ». Il croit que la façon d’aborder le problème et les efforts de sensibilisation doit être revue.

Si le chercheur et son équipe disent vrai, il s’agirait d’un spectaculaire revirement de situation!

Catégories
Uncategorized

Compter les calories serait inutile, selon une étude

Se pourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

ourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net