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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les consommateurs peu influencés par la publication des apports caloriques

Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon constatent que les nouvelles mesures concernant la publication et l’affichage des apports caloriques appliquées un peu partout dans le monde n’ont que peu d’impact sur le comportement des consommateurs.

Publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par Santé Log, l’étude démontre que l’affichage des calories comprises dans les menus de restaurants, par exemple de fast-food, n’incite pas vraiment les clients à faire des choix plus éclairés en matière de nutrition.

Pour vérifier cette théorie, l’équipe de Carnegie Mellon a analysé les réactions et comportements de plus de 1000 sujets clients dans deux franchises McDonald’s de la région de New York.

Après avoir séparé les sujets en trois groupes et informé ces consommateurs des calories retrouvées dans les repas de la célèbre franchise, des apports caloriques recommandés ou encore en ne disant rien du tout, les chercheurs constatent avec stupéfaction que les trois groupes agissent de la même façon.

Il semble que les gens font ce qu’ils veulent, malgré les dangers et les recommandations! Cependant, les chercheurs impliqués croient que toute cette sensibilisation entourant la malbouffe amène les restaurateurs à créer de meilleurs repas, ce qui s’avère une excellente chose.

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Stevia : la nouvelle alternative efficace au sucre

Non, il ne s’agit pas d’un nouveau prénom en vogue, mais plutôt d’un sucre nouveau genre qui pourrait être appelé à devenir la solution parfaite au remplacement du sucre raffiné.

Stevia, donc, est le nom de ce nouveau produit que le Daily Mail (UK) décrit comme étant « doux comme le sucre, mais sans aucune de ses calories ».

Le produit provient d’une plante extraite d’Amérique du Sud et qui jouit d’une vague de popularité auprès de plusieurs observateurs qui aimeraient bien mousser Stevia comme alternative au sucre, qualifié d’ennemi numéro un de la nutrition depuis quelque temps.

« Stevia peut aider les gens à apprécier un sucre de texture naturelle, tout en réduisant les calories, s’intégrant ainsi parfaitement dans le cadre d’une diète équilibrée et bonne pour la santé. Il y a d’énormes occasions pour l’industrie de satisfaire les demandes nationales et internationales de réduction des apports en sucre dans les produits afin de contrer la crise de l’obésité », résume la Dre Margaret Ashwell, membre de la Scientific Advisory Board of the Global Stevia Institute.

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L’apport calorique du fast-food encore sous-estimé par la population

« Manger du fast-food, ce n’est pas pire que ça. » Voilà ce que pense fondamentalement une majorité de citoyens des pays largement industrialisés, où pullulent les chaînes de restauration rapide.

Selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, une grande partie de la population en général sous-estime encore grandement les apports caloriques des repas-minute, banalisant ainsi le phénomène.

D’abord les adolescents, qui sous-estiment le nombre de calories ingérées dans leur repas minute préféré dans une proportion de 34 %. Les adultes ne font pas beaucoup mieux, la proportion d’ignorance s’établissant à 20 %, et 24 % chez les parents de jeunes enfants.

Les gens se trompent donc souvent, les chercheurs en tête de l’étude estimant que la différence entre le nombre de calories réelles ingérées et celui présumé par les amateurs de fast-food peut parfois dépasser les 300 calories.

« Plusieurs personnes qui mangent du fast-food ne sont pas bien informées… Obtenir les bonnes informations est une étape importante pour quiconque veut effectuer des changements », s’indigne le Dr Jason Block, qui dirige l’étude.

Il rappelle également que les apports caloriques varient en fonction des chaînes de restaurant, et que toutes les informations concernant ces repas sont disponibles sur demande du consommateur.

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Les féculents, pas aussi dangereux pour la santé qu’on pourrait le croire

Santé Log rapporte les conclusions issues d’une nouvelle étude commandée et publiée par NutriNet Santé, qui laissent croire que les féculents subissent une mauvaise presse pas toujours raisonnable.

Depuis quelques années, plusieurs célébrités et nutritionnistes sont partis en guerre contre les féculents, que l’on accuse d’être des acteurs principaux dans la prise de poids.

Face à un problème d’obésité grandissant un peu partout dans les pays industrialisés, il est facile de pointer du doigt certains apports alimentaires, alors que la solution réside souvent dans le simple manque d’activité physique.

Les féculents, qui contiennent notamment des glucides et des fibres, peuvent effectivement encourager une certaine prise de poids, mais favorisent également (et surtout) un apport énergétique de qualité.

L’étude constate que la campagne de peur a porté des fruits, et que les citoyens ont fait passer leurs apports en féculents sous la barre recommandée.

On suggère donc de retrouver le plaisir du pain, des pommes de terre, des pâtes et du riz, avec modération et sans culpabilité!

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La vitamine D aiderait aussi à la santé pulmonaire

Une récente étude propose de nouvelles vertus à la vitamine D, que l’on sait déjà bénéfique pour les os. Selon cette recherche rapportée par Medical News Today, la vitamine D pourrait aussi aider grandement à améliorer le système respiratoire et les poumons.

En plus de permettre une meilleure respiration, un apport respectable de vitamine D pourrait du même coup protéger contre la tuberculose. Cette maladie est d’ailleurs étrangement en hausse à travers la planète, un phénomène qui n’est pas sans inquiéter plusieurs spécialistes.

L’étude, qui a été publiée dans The Endocrine Society’s Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism (JCEM), explique que le meilleur moyen d’obtenir de bons apports en vitamine D est l’exposition aux rayons du soleil, ainsi qu’un régime alimentaire adéquat.

« La recherche montre clairement une connexion entre les fonctions des poumons et les niveaux de vitamine D dans le sang. Ce lien demeure intact malgré l’âge, le sexe, le poids ou le style de vie des individus », résume l’auteur en chef de l’étude, Chan-Jin Choi.

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Plusieurs produits n’affichent pas le taux de potassium qu’ils contiennent

The National Library of Medicine rapporte une étude new-yorkaise qui met en garde la population contre un phénomène alimentaire qui a de quoi inquiéter.

On apprend que plusieurs produits et aliments contiendraient des taux de potassium, une information que plusieurs compagnies gardent secrète, à l’insu des consommateurs.

Ces derniers ont pourtant le droit de savoir, puisqu’il s’agit d’une loi, mais aussi parce que le potassium peut avoir un impact majeur sur l’organisme.

Par exemple, certaines personnes vont rechercher des apports élevés en potassium, pour diverses raisons, alors que d’autres devront s’en méfier (notamment les gens aux prises avec des problèmes rénaux). Il est donc primordial que les taux de potassium soient connus, avance la Dr Susan Kansagra, du New York City Department of Health and Mental Hygiene.

« Les régimes riches en potassium font baisser les effets négatifs du sel, alors il faut bien comprendre l’importance du ratio sel/potassium. Nous savons que la plupart des Américains ne consomment pas assez de potassium », termine Kansagra, qui collabore à l’étude.

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Impact positif des oméga-3 sur le cancer du sein

Plusieurs spécialistes avançaient que les oméga-3 ont un impact sur la prévention et sur la progression du cancer du sein, mais personne ne l’avait officiellement démontré.

Selon Santé Log, une nouvelle étude sur le sujet prouverait finalement cette théorie, qui parle même de la capacité de ces acides gras à réduire du tiers la croissance de ces tumeurs.

Les femmes gagneraient donc à adopter un régime alimentaire qui comprend des oméga-3, croient fermement les chercheurs de l’Université Guelph, en Ontario.

« Nous montrons qu’une exposition à vie aux oméga-3 joue un rôle bénéfique dans la prévention du cancer du sein. Nous prouvons que les oméga-3 sont le facteur moteur de cet effet bénéfique. », se réjouit le Dr David Ma, professeur et co-auteur de l’étude.

Pour arriver à ce constat, l’équipe du Dr Ma a littéralement créé un type de souris qui développe des tumeurs mammaires, un fait qui semble relever de la fiction. D’autres souris similaires ont ensuite été créées, avec en prime une autre capacité, celle de produire simultanément des oméga-3.

Les rongeurs du deuxième groupe ont développé trois fois moins de tumeurs que les autres, et ces dernières étaient 30 % moins grosses en se développant.

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La table des calories dépassée ?

Top Santé rapporte une opinion que plusieurs spécialistes en nutrition semblent partager, selon laquelle la bonne vieille table des calories retrouvée sur la plupart des aliments serait désuète et souvent erronée.

Les spécialistes rappellent que la calorie est une unité de mesure qui symbolise la valeur énergétique d’un met ou d’un produit. Cependant, avec les différents régimes alimentaires offerts et adoptés par les Nord-Américains, de plus en plus soucieux de leur santé, il peut survenir des erreurs de calcul majeures.

« Par exemple, les personnes qui suivent un régime riche en fibres ont souvent une sous-estimation d’environ 25 % du nombre de calories qu’elles avalent quotidiennement, car les tables de calories ne tiennent pas compte de la valeur énergétique des fibres.» Explique le professeur Richard Wrangham, d’Harvard.

« À l’inverse, poursuit le professeur Wrangham, les calories de certains aliments très protéinés comme un steak de thon sont surestimées de 20 % en moyenne, car la table de calories ne tient pas compte de l’énergie qui est dépensée par notre corps pour digérer les protéines.

Or, quand on est au régime, il est important de savoir qu’on brûle plus d’énergie en mangeant un steak de poisson qu’en avalant deux tranches de pain blanc! »

Il semble qu’une révolution en matière d’affichage et d’information sur les aliments est sur le point de se produire, cette sortie s’ajoutant à plusieurs autres analyses parues depuis peu.