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Plus de détails sur les menus de restaurant, une méthode qui fonctionne

On parle de plus en plus de cette volonté à obliger les restaurateurs à inscrire précisément ce que contiennent les repas affichés sur leur menu, afin de permettre au consommateur de faire des choix plus éclairés.

Voilà que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude américaine sur le sujet, qui vante les mérites de cette approche.

On avance même que cette façon de faire, notamment d’indiquer clairement les apports caloriques des mets sur le menu, permettrait non seulement aux gens soucieux de leur santé d’être mieux servis, mais également de conscientiser ceux qui ne se soucient guère de leur santé.

Plus facile de faire une prise de conscience lorsqu’on a tous les éléments en main, croient les chercheurs du Jean Mayer USDA Human Nutrition Research Center on Aging qui publient cette recherche.

« C’est encourageant, car l’information pourrait bien aider ceux qui en ont le plus besoin », conclut Lorien Urban, qui étudie justement les impacts d’ajouter de l’information sur les menus de restaurant.

Les sujets de l’étude ayant eu accès à un menu détaillé ont baissé leurs apports caloriques de façon hebdomadaire, et ces changements, même minimes, peuvent avoir un impact intéressant sur la santé physique.

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Le sommeil serait le reflet de votre régime alimentaire

Plusieurs sources, dont Santé Log, rapportent aujourd’hui une nouvelle étude qui trace un lien entre les habitudes alimentaires des gens et leurs cycles de sommeil.

On dormirait comme on mangerait, donc, selon les chercheurs de Pennsylvanie. Ceux qui éprouvent des problèmes à dormir longtemps devraient regarder d’abord et avant tout leurs habitudes de consommation.

C’est ce que l’on comprend des conclusions de l’étude, qui cible particulièrement certains nutriments et apports alimentaires importants, dont les protéines, les glucides, les vitamines et les minéraux.

Aussi, on constate que ceux qui se satisfont de courtes nuits de sommeil ont tendance à consommer plus de calories que les autres dans une journée. Ceux-ci feraient aussi preuve de moins d’imagination quant aux choix des repas et des aliments consommés, contrairement à ceux qui dorment plus longtemps (sept ou huit heures de sommeil par nuit).

Donc, pour ces spécialistes, il est clair que dormir suffisamment et plus longtemps est un gage de santé, et cela améliore la qualité de vie. Cependant, il reste à déterminer l’impact du régime alimentaire sur la qualité du sommeil.

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Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes

Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

En fait, certains de ces produits ne respecteraient même pas ce qu’ils affichent sur leurs propres étiquettes, selon un rapport alarmant publié dans la plus récente édition de JAMA Internal Medicine.

Même les posologies affichées ne seraient pas toujours véridiques, certains suppléments renfermant plus de vitamine D que ce qu’annonce l’étiquette, alors que d’autres en contiendraient moins que prévu.

Les chercheurs en tête de l’étude sont spécialement inquiets de cette dernière affirmation, car ceux qui se voient prescrire ce genre de suppléments alimentaires ont le droit d’obtenir la dose requise.

« Il est plutôt difficile de faire une surdose de vitamine D. Par contre, ces conclusions peuvent être une source d’inquiétude pour ceux qui doivent prendre ces suppléments de vitamine D sur ordre du médecin et qui se retrouvent avec un produit qui n’en contient pas assez », explique la Dre Erin LeBlanc, du Kaiser Permanente Center for Health Research de Portland.

On veut que les compagnies productrices de ces produits fassent preuve de plus de rigueur. Au même moment, les apports nécessaires en vitamine D font l’objet d’une polémique.

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Réduire le sel dans l’alimentation collective pourrait sauver 500 000 vies

Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.

Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.

Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.

Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.

Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.

On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.

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Trop de calcium nuirait à la santé cardiaque

Prendre suffisamment de calcium dans un régime alimentaire équilibré, c’est bien. En prendre trop pourrait cependant s’avérer plus néfaste qu’autre chose, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

C’est une étude-analyse des National Institutes of Health qui dévoile cet état de fait, en ciblant particulièrement les suppléments de calcium vendus en capsules.

Selon ces spécialistes, trop de calcium pourrait avoir un impact négatif sur le cœur.

« L’effet d’un supplément de calcium sur le cœur et d’éventuelles maladies cardiaques a toujours été un peu une thèse non prouvée. Il se pourrait que les suppléments fassent dépasser les doses nécessaires et adéquates de calcium dont on a besoin, mais les raisons qui expliquent l’impact d’un trop-plein de calcium sur le cœur demeurent incertaines », explique Howard Sesso de Harvard.

Ce phénomène serait vérifiable chez l’homme, et beaucoup moins chez la femme, apprend-on. Bien que les raisons restent à être éclaircies, les chercheurs croient fermement à cette cause à effet.

On conseille donc d’inclure du calcium à son alimentation, mais de demander l’avis d’un praticien avant de se tourner vers les suppléments.

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L’acide folique peut réduire les risques de cancers pédiatriques

Depuis quelques années, l’acide folique était connu pour réduire le risque d’anomalies du tube neural chez les nouveau-nés.
 
Voilà que des chercheurs des universités de Washington et du Minnesota viennent enrichir les bienfaits de l’acide folique en période prénatale, en démontrant son incidence sur le cancer du rein (tumeur de Wilms) et les tumeurs cérébrales (tumeurs primitives neuro-ectodermiques PNET) chez l’enfant.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont remarqué qu’après 1992, moment où l’apport de 400 microgrammes d’acide folique par jour pour la future mère a été recommandé par la FDA, les taux d’incidence des tumeurs de Wilms et PNET avaient diminué.
 
Les effets bénéfiques d’un apport de vitamine B9 dans l’alimentation ou en suppléments ont surtout été constatés pour les enfants nés à partir de la fin des années 90, révèle l’étude parue dans la revue Pediatrics qui s’est basée sur les données de 8829 bambins enregistrées au National Cancer Institute entre 1986 et 2008.
 
Un surplus d’acide folique chez la femme en âge de procréer n’a pas permis de prouver la réduction des risques de cancers pédiatriques autres que ceux du rein et du cerveau.
 
Les chercheurs précisent toutefois que la bonne nouvelle est que si l’acide folique ne diminue pas les risques d’autres cancers, il ne les augmente pas non plus.