Catégories
Uncategorized

Apprendre une nouvelle langue par la chanson serait la meilleure méthode

Si vous désirez apprendre une nouvelle langue ou encore en faire apprendre une nouvelle à vos proches ou à vos enfants, pourquoi ne pas le faire… en chantant!

C’est la théorie avancée dans une nouvelle étude publiée par des chercheurs de l’Université Reid School d’Édimbourg, d’ailleurs rapportée par Santé Log.

Ils ont tenté l’expérience avec trois groupes de sujets. Ces derniers ont donc pris part à une série de tests, et le groupe qui devait tenter de maîtriser la langue hongroise (rien de moins) par le chant a été de loin le plus performant.

On note chez ce groupe une meilleure prononciation, une meilleure capacité à se souvenir des mots et une plus grande capacité et précision d’exécution que les autres groupes.

On croit que la mélodie retrouvée dans une chanson est l’un des facteurs qui permettent une meilleure mémorisation. Il s’agit sans aucun doute d’une étude fascinante!

Catégories
Uncategorized

Nos petits parlent vraiment

Les résultats d’une nouvelle recherche conduite par les experts de l’Université de Newcastle publiés sur le site de MedicalXpress démontrent que le langage de nos petits est largement plus élaboré que nous le pensions.

C’est en utilisant des systèmes d’enregistrement sophistiqués afin d’enregistrer des milliers de paroles d’enfants âgés entre 23 et 37 mois.

La Dre Cristina Dye, spécialiste en développement du langage, s’est exprimée sur le sujet en disant : « Beaucoup de bambins que nous avons étudiés ont fait un petit bruit, un souffle léger ou une pause exactement à l’endroit où un mot grammatical devrait normalement être prononcé ».

« Le fait que le son a été produit toujours au bon endroit dans la phrase nous mène à croire que les jeunes enfants connaissent bien des mots grammaticaux. Ils sont beaucoup plus sophistiqués dans leur compétence grammaticale que nous l’avions supposé. »

« Il y a aussi des implications pour le retard de la compréhension du langage chez les enfants. Quand les enfants n’apprennent pas à parler normalement, cela peut entraîner des problèmes graves plus tard dans la vie. Par exemple, ceux qui en souffrent sont plus susceptibles de souffrir d’une maladie mentale ou d’être au chômage plus tard dans la vie. Si nous pouvons comprendre ce qui est “normal” dès que possible, nous pourrons intervenir plus tôt afin d’aider ces enfants. »

Catégories
Uncategorized

User d’humour pour parler sexe avec nos enfants

Selon le renommé Freud et les explications données sur PsychologyToday, l’humour serait une excellente façon de relâcher la tension face au sexe.

Étant un sujet relativement tabou, même chez les adultes, il est parfois franchement inconfortable de recevoir une question de cette nature de notre petit de 7 ans!

Les enfants sont curieux, et le sexe fera partie de leurs questionnements un jour ou l’autre. Fréquentant d’autres enfants à l’école, par exemple, il se pourrait bien qu’il arrive un jour en vous demandant ce que veut dire « le faire » ou qu’est-ce que « la chose » des filles ou vice-versa.

Les chances sont qu’il trouvera les mots utilisés par ses camarades drôles et gênants. Premièrement, il est conseillé de ne pas ignorer la question. Si vous ne comprenez pas les termes utilisés, posez la question : « Qu’est-ce que tu crois que ça signifie ». Montrez-vous ouvert. Après tout, vous êtes parmi les parents chanceux de jouir d’une telle confiance de votre enfant.

En général, les enfants trouvent que tout ce qui concerne la sexualité est drôle ou « dégueu ». En effet, si vous utilisez les mots « vagin » et « pénis », votre enfant risque de s’écrouler de rire ou rougir de gêne. Utilisez ces mots et l’humour dont il fait preuve, s’ils sont appropriés.

Après tout, la sexualité est une belle chose et n’a pas à être discutée avec les sourcils froncés!

Catégories
Uncategorized

Les livres sans images sont meilleurs pour les enfants

Une récente étude publiée dans le journal First Language et conduite par les chercheurs de l’Université de Waterloo démontre que les livres sans mots procureraient plus de bénéfices à votre enfant que les traditionnels livres d’histoires.

Les résultats s’expliquent par le fait que les parents lisant les livres illustrés contenant des mots se contentent de pointer l’image et de le nommer, tandis que sans mots, les parents auront tendance à utiliser un vocabulaire plus complexe pour parler de l’image.

Par exemple, au lieu de simplement pointer le chat et dire « C’est un chat », s’il n’y a pas de mots correspondant à l’image, le parent sera porté à plutôt dire quelque chose comme « Regarde, c’est un chat! Comme celui de la voisine, tu te souviens de son nom? »

L’enfant est ainsi exposé à beaucoup plus de vocabulaire et développera lui-même une tendance à faire de même lorsqu’il sera en âge de parler. Il s’agit du constat fait alors que 25 mères ont été observées pendant qu’elles lisaient un livre de chaque sorte à leur bébé.

Les responsables de l’étude conseillent donc aux parents de mélanger les livres de lecture et ceux ne présentant que des images afin de maximiser le développement du langage de leur enfant et ainsi stimuler son imagination.

 

Catégories
Uncategorized

Nous apprenons à parler comme les oiseaux apprennent à chanter

Sachant que les bébés apprennent à parler d’abord en répétant une syllabe à la fois, comme « ma-ma-ma », et ensuite en les combinant l’une à l’autre, comme « ga-ba-ma », il était précédemment cru que d’apprendre à parler était inné et se développait tout naturellement.

Ce phénomène est aussi observé chez les oiseaux chanteurs qui apprennent à chanter. En fait, ils s’y prennent exactement comme nous.

Une nouvelle étude publiée sur le site nature Today1 démontre que pour parler, nous devons faire des efforts assez considérables. La recherche a été conduite auprès de 3 espèces : le pinson bengali, le mandarin diamanté et l’humain. Les résultats ont confirmé que les trois ne l’avaient pas facile.

Les oiseaux ainsi que les humains apprennent, comme nous le disions, syllabe par syllabe, combinaison par combinaison, prenant plusieurs jours à maîtriser chacune, même lors d’un apprentissage volontaire (pas seulement par observation et répétition).

En analysant les enregistrements vocaux de 9 bébés humains, les chercheurs ont découvert que l’apprentissage général du langage de base, le babillage, s’étendait sur une longue période, soit de 20 à 30 semaines.

En résumé, la prochaine fois que votre enfant vous fera causette, vous pourrez être impressionné; il aura mis d’énormes efforts pour vous prononcer toutes ces charmantes tonalités!

Catégories
Uncategorized

La patience envers les enfants

Quand leur « bouton tornade » est collé, les enfants pourraient faire hurler un moine! Il est tout à fait normal de parfois perdre patience. Afin d’améliorer l’harmonie familiale, le site ParentingSquad vous donne quelques trucs.

Premièrement, les enfants ne possèdent pas le même niveau de maturité et de compréhension que nous. Il est donc normal qu’ils n’arrivent pas toujours à prendre les bonnes décisions. Ils sont en constant apprentissage, et c’est notre devoir de les aider.

Au fil du temps, vous pouvez apprendre à anticiper les situations qui vous sont déplaisantes, en tentant d’éviter les éléments déclencheurs du comportement de vos enfants, comme la faim, la fatigue ou l’ennui.

Une petite introspection peut s’avérer constructive. Si vos enfants présentent une certaine attitude, peut-être le prennent-ils d’un de leurs parents? Ils sont souvent nos miroirs, ce qui veut dire que certains changements de votre côté pourraient adoucir vos petits.

Finalement, quand on sent que quelque chose de regrettable est sur le point de sortir de notre bouche, on tourne les talons, on change de pièce et on décompresse! Que ce soit en prenant une grande respiration ou en criant dans un oreiller, l’important est de limiter les mauvaises interactions entre les membres de la famille.

Catégories
Uncategorized

Ce que nous apprennent les amis

Nous avons tous des souvenirs d’amitiés d’enfance. Sur le site PsychologyToday, la psychologue clinicienne Eileen Kennedy-Moore nous rappelle l’importance du rôle que joue l’amitié.

Elle fait d’ailleurs un lien intéressant entre l’amitié et la vie. En effet, tout comme la vie, l’amitié peut être amusante ou douloureuse, excitante ou frustrante, difficile, agréable et imprévisible. Voilà pourquoi avoir quelqu’un avec qui partager tout cela est important.

Entre autres, les enfants y gagnent beaucoup d’estime de soi. Avoir quelqu’un qui aime les mêmes choses que nous et qui se plaît à ce qu’on passe du temps ensemble nous aide à nous définir hors du cercle familial.

Aussi, l’amitié aide énormément au développement de l’empathie. Le souci de l’autre empêche l’enfant d’être trop tourné vers lui-même. Pour conserver l’amitié, il devient essentiel d’être conscient de ses émotions et d’avoir une réaction positive à cet égard.

La gestion de problèmes est une des grandes leçons de vie qui peuvent être apprises dès un très jeune âge. Les aptitudes en négociation, en persuasion et en acceptation en font partie.

Que ce soit par le choix de jeux à jouer ou des règlements à suivre pendant une chasse au trésor, les enfants apprennent à gérer les conflits et façonnent ainsi d’excellentes bases qui leur serviront tout au long de leur vie.

Catégories
Uncategorized

Les enfants apprennent durant leur sommeil

La revue Nature Neuroscience a publié les résultats d’une étude montrant une fois de plus à quel point il est important pour les enfants de dormir suffisamment.

Des recherches précédentes ont déjà démontré que chez les adultes, le sommeil sert à soutenir « l’entreposage » à long terme de ce qu’ils ont appris. Durant la nuit, la mémoire rend l’apprentissage futur plus facile et transforme les connaissances implicites en connaissances explicites, ce qui les rend plus faciles à transférer dans d’autres zones du cerveau.

Des chercheurs ont cette fois testé cette capacité chez des enfants âgés de 8 à 11 ans, ainsi que chez un groupe de contrôle formé de jeunes adultes. Les participants devaient essayer de deviner une série d’actions prédéterminées, sans savoir à l’avance qu’il existait une série à la base.

Après une nuit de sommeil, les participants des deux groupes ont été capables de se rappeler un plus grand nombre d’éléments que ceux qui ont été testés à nouveau à la fin de la journée. Et les enfants ont beaucoup mieux réussi cette tâche que les adultes.

« Les enfants génèrent des connaissances explicites de manière beaucoup plus efficace que les adultes pendant leur sommeil. Et leur capacité extraordinaire est liée à leurs cycles de sommeil profond, qui sont beaucoup plus longs que ceux des grands », a expliqué l’auteure de l’étude, la Dre Ines Wilhelm, selon Science Daily.

Catégories
Uncategorized

Comment apprendre à son enfant à partager

Le concept du partage est tout simplement trop complexe pour la plupart des jeunes enfants, explique Betsy Mann, une éducatrice spécialisée d’Ottawa.

« Ils sont encore beaucoup plus intéressés par leur propre personne. Partager, ça s’apprend à mesure que l’enfant grandit et que son développement cognitif, social et émotif progresse. »

Mais à partir de 4 ans, les enfants deviennent plus capables de considérer le point de vue de quelqu’un d’autre. Vous pouvez par exemple leur dire : « Comment te sentirais-tu si un ami prenait tous les jouets et ne t’en laissait aucun? » Ceci n’aurait aucun effet sur un petit de 2 ans, mais l’enfant un peu plus vieux va probablement comprendre.

Un bon moyen est aussi de leur apprendre par l’exemple. Partagez vos propres choses, avec votre conjoint par exemple, et assurez-vous qu’ils vous voient faire. Félicitez-les également lorsqu’ils font de bons coups : le renforcement positif, ça marche!

Catégories
Uncategorized

Les médecins se portent à la défense de la récréation

L’American Academy of Pediatricsa publié un communiqué vantant les avantages de la récréation, expliquant qu’il s’agissait « d’une pause nécessaire durant la journée » et ajoutant qu’elle devrait « être considérée comme du temps personnel pour les enfants, et ne pas être enlevée pour des raisons scolaires et punitives », selon Med Page Today.

Le fait de prendre une pause entre les périodes de manière complètement séparée de l’environnement de la classe aide les enfants à mieux assimiler les connaissances et à améliorer leur performance scolaire.

La récré diminue également le stress chez les enfants, et elle les fait explorer un environnement social non structuré « qui favorise l’apprentissage social et émotionnel, en leur donnant du temps pour interagir avec leurs pairs et apprendre des compétences sociales essentielles », affirme le communiqué.

La fréquence et la durée des récréations devraient être « suffisantes pour permettre aux écoliers de décompresser mentalement », ont ajouté les pédiatres.